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Comment deux cloportes ont pu s’acoquiner avec le "matamore" (monsieur 11%) ?

Publie le samedi 22 août 2009 par Open-Publishing
5 commentaires

Comment deux cloportes ont pu s’acoquiner avec le "matamore" (monsieur 11%) ?

L’histoire débute, il y a pas mal de temps déjà (malgré les mensonges répétés de celui qui de façon quasi obsessionnelle ne pensait plus qu’à ça : « être khalife à la place du khalife ») ; à cette époque il trahissait plus vite que son ombre, et tous les coups qu’il entreprenait, foiraient lamentablement les uns après les autres.

D’abord la méthode employée n’est pas nouvelle (un peu comme les "réformes" qu’il nous vend, qui sont brillamment décrites par Serge Halimi dans un article intitulé « Le grand bond en arrière », et selon les déclarations du "matamore" dit "monsieur 11%", les "réformes" sont forcément modernes et sensées améliorer le quotidien (1) ; tous ceux qui oseraient en douter ne seraient que d’affreux ringards passéistes !

L’ami des patrons :

Cela débute très classiquement par la constitution de réseaux et d’un système de redevables (voir à ce sujet, deux articles parus sur le site BELLACIAO et intitulés : « Axiome de base. "Le centre directeur est devenu maintenant occulte : on n’y place jamais plus un chef connu, ni une idéologie claire." (axiome extrait de « Commentaires sur la société du spectacle ») et « Liberté de la presse ou encadrement de l’information ? Les médias, la pub, le conseil politique, la sondagite aiguë et la com’ politique », pour cela il occupera (en 1983) à 28 ans, la place très convoitée de maire de Neuilly (2), et il s’active au tissage de réseaux et de clubs de redevables. En 1985, il créera le club Neuilly communication, dont les membres seront : M. de Roquemaurel, président-directeur général d’Hachette Filipacchi Médias, M. de Tavernost, président de M6, ou encore M. de Puyfontaine, patron de Mondadori France (ex-Emap France, troisième éditeur de magazines). M. Sarkozy dit "monsieur 11%", veille également à s’entourer de publicitaires, comme MM. Saussez, président d’Image et stratégie, Gaumont (FCB), puis Goudard (le « G » d’Euro RSCG). Il fréquente enfin les grands annonceurs Philippe Charriez (Procter & Gamble) et Lindsay Owen-Jones (L’Oréal). (3) Des gens qui comptent et qui ont un coffre fort à la place du cœur.

Le parcours "classique" d’un profiteur :

Ensuite, c’est le parcours "classique" du profiteur qui sait s’entourer et se rendre indispensable ; par exemple en juillet 1994, l’actuel président de l’UMP devient simultanément ministre de la communication et ministre du budget du gouvernement de M.Balladur, ce qui lui permet d’être à la fois le décideur politique et le pourvoyeur de fonds publics des grands groupes de médias... (et pas seulement des médias, puisque les grosses fortunes (ra)achètent à tour de bras (entre-autres) les médias…, l’Italie mise à part car y sévit "il Cavalieri", il s’agit d’une spécialité scandaleusement franco-française du mélange des genres.) C’est surtout sa position de porte-parole du gouvernement, puis du candidat Balladur, entre 1993 et 1995, qui l’amènera à rencontrer des hommes d’influence, dont Minc – lequel le conseillera à l’occasion du référendum européen (c’est dire l’incompétence du lascar) – et Colombani, consolidant leur pouvoir au « Le Monde ». Sarkozy dit "monsieur 11%", s’emploiera à orchestrer l’engouement médiatique en faveur de Balladur, dont Minc est un des partisans déclarés, et à présenter son élection comme acquise. Il bénéficie à cette fin de l’appui du sondeur Jaffré (4), alors directeur général de la Sofres. Le 22 mars 1995 « Le Monde » titre en « une » : « et Mme Chirac ont tiré profit d’une vente de terrains au Port de Paris ». L’information émane de la direction du budget chapeautée par... Sarkozy dit "monsieur 11%".
Voilà comment, Sarkozy dit "monsieur 11%", a programmé de gérer la France et son peuple, comme on gère une vulgaire entreprise :
TF1 (et sa filiale LCI) sont également de la partie. Une de ses présentatrices, Chazal (5), signe une hagiographie de M. Balladur tandis que Bouygues ouvre les portes de sa chaîne à celui qui passe déjà pour un vice-premier ministre. Et selon un commentateur, Bouygues (le fils du père), Sarkozy est une espèce de "maître à penser". (6)

Pour Sarkozy, Martin est une force (de la flagornerie sans doute ?).
Leur duo est une association, une PME. Ce qui explique en partie pourquoi, pendant la campagne de 1995, TF1 est devenue “télé Balladur”. Bouygues ne rendait pas service à Balladur, mais seulement à Sarkozy ! »

C’est l’époque où l’opportunisme du ministre, surnommé « Darty », en raison de sa propension à être omniprésent avant et après la météo... (ça n’a pas vraiment changé ! Personne ne s’est chargé de lui dire qu’il n’était plus en campagne ? )

Alors directeur de l’information de France 2, Mano suit le mouvement et participera plus tard à la conception de la campagne menée par Sarkozy dit "monsieur 11%", pour les élections européennes de 1999. L’échec sera cuisant .

En 1995, Sarkozy dit "monsieur 11%" avait déjà choisi le mauvais camp...

Qu’importe puisqu’à l’aide des médias à sa botte, il profitera d’une ascension-éclair pour imposer le style vulgaire qui le caractérise et une "image" à géométrie variable (déjà à l’époque, il ne brassait que du vent !)

En mai 1993, une spectaculaire prise d’otages dans une maternelle de Neuilly le fait connaître des téléspectateurs. « Il était toujours devant les caméras, sans parler, rappelle About, rédacteur en chef au service enquête (?) de TF1. Mais le lendemain, lorsque HB (Human Bomb, nom donné au preneur d’otages) a pris une balle (7), il avait disparu du dispositif. Un coup de maître (encore ! C’est de l’opportunisme point !), puisqu’il n’est pas lié à la polémique sur l’opportunité de tuer le ravisseur qui a suivi. » (ceci reste à vérifier, bien-sûr…)

Cette technique dite du « mouvement permanent » (8), qui consiste à se saisir de l’actualité immédiate (quitte a fabriquer ladite "actualité") pour apparaître toujours à son avantage dans les médias, et surtout à s’approprié le bon rôle sur d’autres non-événements à venir, constitue la marque (la tare serait mieux adapté à cet exercice) de fabrique de Sarkozy dit "monsieur 11%".

Voici comment Sarkozy dit "monsieur 11%", s’employa à créer une méthode (en réalité de vieilles "ficelles") déjà éprouvée par d’autres, et comment sa légende en cours de préparation, lui en attribuera tout le mérite :

En 2002, après la campagne présidentielle (et sa énième trahison, dans ce cas il s’agissait de Chirac), un premier passage au ministère de l’intérieur lui permet de systématiser cette mise en scène de sa communication.

Sa chaîne, TF1, sera chargée de la sale besogne ; les journaux télévisés mettrons en scène un faux climat d’insécurité, et ce média sera le relais (un peu trop visible, car tout le monde a constaté la grossière manipulation) zélé de la riposte ministérielle.
Le 22 mai 2002, une mise en scène orchestrée par le ministre Sarkozy et relayé par sa chaîne, TF1, une intervention à Strasbourg du groupe d’intervention régional, à cette occasion et comme à son habitude, l’homme politique sera omniprésent. TF1 donnera le ton en évoquant la saisie d’"armes de guerre" : deux malheureux pistolets et quelques bricoles (caméscope, ordinateurs et appareils photo numériques), c’est dire l’importance de la saisie ! Et comme toujours, le ministre se substitue à la parole policière et devient le seul interlocuteur des médias.

En novembre 2005, à cause de l’inconséquence et suite aux paroles provocatrices du ministre de l’intérieur (Sarkozy), les émeutes de banlieue éclatent. Une cellule de communication est installée Place Beauvau et toute l’"information" (du moins l’information selon Sarkozy) passera par le formatage sarkozyste, alors ministre de l’intérieur.

Le si peu premier secrétaire du Parti socialiste, Hollande, osera même cette saillie : « C’est le nouveau présentateur du JT de 20 heures », ironisa-t-il. Les médias sont inféodés à sa parole, et pour certains en sont aussi les dépositaires.

Sarkozy dit "monsieur 11%" a un parlé et un style vulgaire qui leur plaît. Tout lui est dû (comme tous les profiteur sans vergogne) ; par exemple, ses apparitions dans les journaux télévisés comme ministre, ne sont pas prise en compte dans le décompte du temps de parole. Chabot, lui fait la bise, alors il est trois fois son invité à l’émission « 100 minutes pour convaincre » de France 2. Et à ce qu’il paraît, il a fait le plein d’audience à chacune de ses apparitions, entre 4 et 6 millions de téléspectateur ; mais là on peut douter de cette statistique (ce sont les médias concernés qui l’affirment).

Sa soit-disant adresse oratoire devrait beaucoup aux vieilles « ficelles » (cordes serait plus approprié) du métier d’avocat (le peuple ne les gratifie-t-il pas du surnom de "bavard" ?) : périphrase, recours systématique aux formules interrogatives et aux approximations verbales, effets surannés d’images surfaites, posture grandiloquence et faux « parler vrai ». Une soit-disant séduction jouerait auprès des journalistes ! On a beaucoup de mal à croire de telles affirmations. Ceux qui croient à son baratin sont soit de faux-derches, ou soit qu’ils sont totalement soumis et en croque à outrance.

L’exemple du faux-cul par excellence, Lebègue, "journaliste" à « Libération » avoue : « Il a une manière de poser les questions qui fait qu’on est toujours d’accord avec la réponse. On fait un peu office de sparring partner (...) Il voit comment les arguments passent auprès des journalistes avant de les diffuser à grande échelle. »

Il nous ferait prendre des vessies pour des lanternes ce Lebègue !

Ministre de l’intérieur, un poste qui ne garantit pas d’ordinaire une grande popularité chez les journalistes, ni chez les gens du peuple d’ailleurs ;
Et Marie Bénilde ajoute : « … un homme qui montre qu’il adore les médias et qui se prête à leur jeu de l’image ne saurait être mauvais... »
Un, les médias,…, il les déteste totalement, et certains témoignages sont là pour l’attester sans conteste ; deux, "le jeu de l’image", en ce qui concerne Sarkozy dit "monsieur 11%", c’est un miroir déformant dont il s’agit et l’image qu’il reflète est à géométrie très variable ; au point que l’original n’a plus aucun rapport avec l’image qu’il souhaiterai qu’on ait de lui !

L’"ami" des fortunés favorisent aussi les journalistes :

Ses nombreuses casquettes lui ont permis, grâce à l’argent publique de favoriser les uns et les autres au détriment de l’intérêt général. Deux exemples peuvent l’attestés : le premier, alors qu’il était ministre du budget et des finances, il a su amadouer la caste des journalistes inféodés en se gardant de toucher à l’abattement fiscal (très contesté) des journalistes (7 650 euros par an déductibles du revenu imposable), mais ceci était une broutille comparée aux somptueux cadeaux qu’il accorda aux plus friqués, adoptant des positions très libérales sur la défiscalisation des entreprises, l’impôt sur la fortune ou les droits de succession ; ces nouveaux privilèges ne pouvaient que satisfaire les magnats-héritiers que sont MM. Lagardère, Bouygues, Dassault, Edouard de Rothschild, etc. et de surcroît grands patrons de presse. Comment les gens du peuple ont-il pu se faire gruger par un tel escroc ? Il tutoie tout le monde (c’est là un signe de mépris qu’il porte à ces contemporains) et tout particulièrement des journalistes, tels Joffrin, Colombani, et même Plenel ! (Plenel, s’il vous reste une once de courage, envoyez le péter une bonne fois pour toute !)
En fait, il agit par la bande et dès qu’un journaliste lui déplait, il téléphone à son patron pour le faire virer ; c’est aussi ça la méthode Sarkozy dit "monsieur 11%" ; un égocentrique forcené qui ne supporte pas qu’on lui résiste, sinon il se venge salement. Il dispose de préposés aux basses œuvres tel Louvrier, Elkabbach etc.

Il dit tout et le contraire de tout, car il sait que les médias ne relaierons pas l’"information" si cela nuisait à son image, ou qu’ils la transformeraient à son avantage ; grâce à cette complicité il gagne sur tous les tableaux ! Il est capable de faire sienne des citations de gens réputés à gauche, car croit-il, personne ne serait capable de lui reprocher ses emplois abusifs ; dans le monde à part qui est le sien, il s’imagine seul, sans opposition valable, où il peut se permettre toutes les facéties.

Le peuple il s’en contrefout, seul pour lui compte les médias inféodés, ceux qui relaient de grès ou de force ses "pensées" (navrantes de lieus communs et ultra-conventionnelles), et ceux qui possèdent (les ultra-friqués), les autres peuvent crever !

C’est surtout ça le système Sarkozy, un égocentrique forcené, un homme sans éducation, un rustre sans grande morale ; un capricieux sordide, qui n’hésite pas une seconde à biffer tous ceux qui lui résistent ; quant il aura disparu de la scène médiatique et politique, les gens seront heureux de s’être enfin débarrassé de lui. Il a dit et répété à l’envie qu’il n’aurait aucun mal à se recaser dans le privé (ce qui ne veut pas dire, hors de la sphère politique, la collusion entre le personnel politique et les nantis n’est plus à prouver) ; ici, on ne peut que le mettre en garde de ne pas trop préjuger du futur, car celui-ci pourrait lui réserver de vilaines surprises…

Alors, pourquoi ce titre « Comment deux cloportes ont pu s’acoquiner avec le "matamore" (monsieur 11%) ? » me direz-vous ? Parce que selon un ministre sarkozyste, la presse depuis deux ans est très gentille avec lui (Sarkozy dit "monsieur 11%"), elle serait fascinée par lui comme le papillon le serait par la lumière (c’est d’une platitude renversante) ; en deux ans Sarkozy aurait fait le vide (dans son cerveau certainement ; mais de quoi était-il plein ?) il serait seul, tout seul, sans personne en face de lui (il devrait se méfier de ses arrières, car elles réservent toujours de mauvaises surprises) à droite comme à gauche il n’aurait aucun candidat crédible etc.
Il continue sur le même ton incrédule, on espère pour lui qu’il ne croit pas aux débilités qu’il profère !

Tout ça pour en venir aux alliances contre nature (pas si sûr après tout…) dont il aurait eu (seul) l’idée (avec d’un côté, l’agité du bocage, et de l’autre, Nihous, l’homme qui ne supporte plus ses scores minables ; le banc et l’arrière banc en quelque sorte), pour ne plus apparaître comme un candidat qui n’aurait obtenu que 11% de votants en sa faveur (mais qui malgré se score minable, rafle la moitié des sièges à pourvoir), pour , selon ce fin stratège et des conseillers tel Giacometti, écraser les autres (on se demande comment il fait pour écraser du vide ?) et paraître le seul capable de rassembler plus de 11%.

Quelle ambition ! C’est fascinant comme le papillon attiré par la lumière…

Pour rédiger cet article, il a été un peu emprunté à Marie Bénilde en ce qui concerne les noms et les dates mais pas en ce qui concerne le commentaire ! Alors, rendons à Marie ce qui lui appartient !

NOTES
(1) "modernes", mot fourre tout qui permet de faire passer n’importe quoi pour du progrès ! Les pseudo-réformes n’amèliorent que le quotidien du clan sarkozyste et de ses "amis" redevables.

(2) A comparer au parcours laborieux et chaotique du père de Sarkozy (Pal Sarkozy), qui débarqua en France (à Paris), sans un rond en poche, un jour de décembre1948, qui comme tous les parasites vivant aux crochets de la « Société du spectacle », créera une agence de pub (en réalité agence d’influence et d’opinion, dont Bleustein-Blanchet avec son consortium havas, en sera l’une des figures emblématiques ; son parcours sera érigé en "modèle" et il sera même sacré "pape" de la pub) ; pour couronner le tout il s’autodéclarera "artiste" ("artiste" ! Quand l’"art" rapporte du fric, évidemment !). Voir à ce sujet (la définition de l’art et le véritable statut d’artiste) une série de quatre articles parus sur le site BELLACIAO et intitulés : « " Quand j’entends le mot culture, je sors mon transistor " », « L’art populaire et les "CoBrA" ». Première partie, L’art populaire et les "CoBrA". Seconde partie, L’"art" selon l’I.L., l’I.S. et la bande à Debord : (l’ I.L., l’Internationale lettriste, l’I.S., l’Internationale situationniste). Et pour finir, cet homme fait bougrement penser à un "Tatie Danielle" masculin plutôt qu’à un brave et sympathique Vieillard...

(3) Tous ces gens auront soit une promotion, soit des contrats etc. payés avec les sous de l’État (un retour sur investissement en somme) dans tous les ministères qu’occupera Sarkozy dit monsieur 11% ; il est comme ça Sarkozy dit monsieur 11%, généreux avec l’argent publique, et pourvu que cela sert ses propres intérêts...

(4) Agence d’opinion, qui se font volontiers passer pour des "instituts" afin, espère-t-il, se donner l’aspect d’organisme "scientifique" !

(5) Qui n’hésite pas un seul instant, à se faire passer pour une journaliste !

(6) « Une espèce de "maître" penseur… » Ceci est totalement antinomique, comment peut-on associer Sarkozy dit "monsieur 11%" et "maître" penseur ?

(7) En fait le preneur d’otage s’en est pris une dizaine dans la tête ; c’est ce qui avait fait polémique ; à l’époque, la famille du preneur d’otage avait porté plainte ; l’affaire a été enterré ; le commando de flics qui l’avaient allumés a été récompensé, touchant une prime et recevant une décoration.

(8) En ce qui concerne "monsieur 11%", la bougeotte aiguë (ou danse de saint-Guy) serait plus approprié ; il a l’art de brasser du vent avec une virtuosité toujours inégalée à ce jour !

Messages

  • la "danse de saint-Guy" est probabement l’expression la plus appropriée !

    Si on considére que cela correspond à la maladie de Huntington, mouvements nerveux désordonnés, brusques, voire incontrolables, on est en plein dans le sujet...Au moyen âge on brulait les gens ayant ses symptômes car on les considérait comme possédés, on est encore en plein dans la réalité. Même si les méthodes du moyen-âge peuvent paraître barbares de nos jours, à y bien réfléchir, on pourrait regretter parfois qu’elles ne soient pas encore d’actualité.......

    • Hélas, trois fois hélas, pourquoi ne sommes nous pas en 1793 près de nos amis les Enragés (que les Montagnards me pardonne, mais ils étaient décidément trop tièdes) ; peut-être n’est-il pas trop tard ?
      Selon Marx : « …l’Histoire ne se répète pas (souvent) elle bégaie ! » ; il ne tiendrait qu’à nous qu’elle serve aussi nos desseins (et que nous tranchions enfin dans le vif, en épurant ces fameuses écuries d’Augias)
      Pourquoi Chirac etc. Sarkozy "monsieur 11%" est (avant de tuer le Père !) "pasquoïen" (faut-il vous rappeler que Pasqua fut ministre de l’intérieur, poste éminemment stratégique, et qu’il détenait certaines informations sur les uns et les autres ; c’est toujours aussi dissuasif, non ?)
      Dans ce petit paragraphe vous avez (semble-t-il ?) la réponse à votre question : « … Tout ça pour en venir aux alliances contre nature (pas si sûr après tout…) dont il aurait eu (seul) l’idée (avec d’un côté, l’agité du bocage, et de l’autre, Nihous, l’homme qui ne supporte plus ses scores minables ; le banc et l’arrière banc en quelque sorte), pour ne plus apparaître comme un candidat qui n’aurait obtenu que 11% de votants en sa faveur (mais qui malgré se score minable, rafle la moitié des sièges à pourvoir), pour , selon ce fin stratège et des conseillers tel Giacometti, écraser les autres (on se demande comment il fait pour écraser du vide ?) et paraître le seul capable de rassembler plus de 11%. …)
      Il s’agissait des résultats obtenus par les candidats qui se présentait sous les étiquettes ump et nc aux dernières élections européennes (lors de cette élection il s’agissait de pourvoir des postes de députés pour un "Parlement européen" fantôme, l’ersatz de démocratie par excellence, car ils (la Commission et ses commissaires auto-proclamés) agissent au nom du peuple (alibi) souverain, faut-il le rappeler ?
      sergio

  • OK mais (mille excuses !!!) pourquoi 11% ??? Merci d’éclairer ma "lanterne"... J’ai bien pourtant une petite idée mais...

  • Pourquoi Chirac l’ a-t-il gardé pendant toutes ces années sans le virer de son poste de ministre de l’intérieur ????????????????

  • Serait-il possible de vous proposer cette version remaniée ? sergio

    Comment deux cloportes ont pu s’acoquiner avec le "matamore" (*monsieur 11%) ?

    *il s’agit du pourcentage total obtenu (le nombre total d’inscrits sur les listes électorales et dont les abstentionnistes ont été évacué) aux dernières élections européennes par les candidats concourant sous les étiquettes ump et nc, et dont Sarkozy avait décidé de participer directement et personnellement avec le succès que l’on sait.

    L’histoire débute, il y a pas mal de temps déjà (malgré les mensonges répétés de celui qui de façon quasi obsessionnelle ne pensait plus qu’à ça : « être khalife à la place du khalife ») ; à cette époque il trahissait plus vite que son ombre, et tous les coups qu’il entreprenait, foiraient lamentablement les uns après les autres.
    D’abord la méthode employée n’est pas nouvelle (un peu comme les "réformes" qu’il nous vend, qui sont brillamment décrites par Serge Halimi dans un article intitulé « Le grand bond en arrière », et selon les déclarations du "matamore" ("monsieur 11%"), les "réformes" sont forcément modernes et sensées améliorer le quotidien (1) ; tous ceux qui oseraient en douter ne seraient que d’affreux ringards passéistes !

    L’ami des patrons :

    Cela débute très classiquement par la constitution de réseaux et d’un système de redevables (voir à ce sujet, deux articles parus sur le site BELLACIAO et intitulés : « Axiome de base. "Le centre directeur est devenu maintenant occulte : on n’y place jamais plus un chef connu, ni une idéologie claire." (axiome extrait de « Commentaires sur la société du spectacle ») et « Liberté de la presse ou encadrement de l’information ? Les médias, la pub, le conseil politique, la sondagite aiguë et la com’ politique », pour cela il occupera (en 1983) à 28 ans, la place très convoitée de maire de Neuilly (2), et il s’active au tissage de réseaux et de clubs de redevables. En 1985, il créera le club Neuilly communication, dont les membres seront : M. de Roquemaurel, président-directeur général d’Hachette Filipacchi Médias, M. de Tavernost, président de M6, ou encore M. de Puyfontaine, patron de Mondadori France (ex-Emap France, troisième éditeur de magazines). M. Sarkozy dit "monsieur 11%", veille également à s’entourer de publicitaires, comme MM. Saussez, président d’Image et stratégie, Gaumont (FCB), puis Goudard (le « G » d’Euro RSCG). Il fréquente enfin les grands annonceurs Philippe Charriez (Procter & Gamble) et Lindsay Owen-Jones (L’Oréal). (3)

    Des gens qui comptent et qui ont un coffre fort à la place du cœur.

    Le parcours "classique" d’un profiteur :

    Ensuite, c’est le parcours "classique" du profiteur qui sait s’entourer et se rendre indispensable ; par exemple en juillet 1994, l’actuel président de l’UMP devient simultanément ministre de la communication et ministre du budget du gouvernement de M.Balladur, ce qui lui permet d’être à la fois le décideur politique et le pourvoyeur de fonds publics des grands groupes de médias... (et pas seulement des médias, puisque les grosses fortunes (ra)achètent à tour de bras (entre-autres) les médias…, l’Italie mise à part car y sévit "il Cavalieri", il s’agit d’une spécialité scandaleusement franco-française du dangereux mélange des genres.)
    C’est surtout sa position de porte-parole du gouvernement, puis du candidat Balladur, entre 1993 et 1995, qui l’amènera à rencontrer des hommes d’influence, dont Minc – lequel le conseillera à l’occasion du référendum européen (c’est dire l’incompétence du lascar) – et Colombani, consolidant leur pouvoir au « Le Monde ». Sarkozy ("monsieur 11%"), s’emploiera à orchestrer l’engouement médiatique en faveur de Balladur, dont Minc est un des partisans déclarés, et à présenter son élection comme acquise. Il bénéficie à cette fin de l’appui du sondeur Jaffré (4), alors directeur général de la Sofres. Le 22 mars 1995 « Le Monde » titre en « une » : « et Mme Chirac ont tiré profit d’une vente de terrains au Port de Paris ». L’information émane de la direction du budget chapeautée par... Sarkozy ("monsieur 11%").

    Voilà comment, Sarkozy ("monsieur 11%"), a programmé de gérer la France et son peuple, comme on gère une vulgaire entreprise :

    TF1 (et sa filiale LCI) sont également de la partie. Une de ses présentatrices, Chazal (5), signe une hagiographie de M. Balladur tandis que Bouygues ouvre les portes de sa chaîne à celui qui passe déjà pour un vice-premier ministre. Et selon un commentateur, Bouygues (le fils du père), Sarkozy est une espèce de "maître à penser". (6)
    Pour Sarkozy, Martin est une force (de la flagornerie sans doute ?).
    Leur duo est une association, une PME. Ce qui explique en partie pourquoi, pendant la campagne de 1995, TF1 est devenue “télé Balladur”. Bouygues ne rendait pas service à Balladur, mais seulement à Sarkozy ! »

    C’est l’époque où l’opportunisme du ministre, surnommé « Darty », en raison de sa propension à être omniprésent avant et après la météo... (ça n’a pas vraiment changé ! Personne ne s’est chargé de lui dire qu’il n’était plus en campagne ? )

    Alors directeur de l’information de France 2, Mano suit le mouvement et participera plus tard à la conception de la campagne menée par Sarkozy ("monsieur 11%"), pour les élections européennes de 1999. L’échec sera cuisant.

    En 1995, Sarkozy ("monsieur 11%") avait déjà choisi le mauvais camp...

    Qu’importe puisqu’à l’aide des médias à sa botte, il profitera d’une ascension-éclair pour imposer le style vulgaire qui le caractérise et une "image" à géométrie variable (déjà à l’époque il avait compris l’essentiel du discours politique et ne brassait que du vent !)

    En mai 1993, une spectaculaire prise d’otages dans une maternelle de Neuilly le fait connaître des téléspectateurs. « Il était toujours devant les caméras, sans parler, rappelle About, rédacteur en chef au service enquête (?) de TF1. Mais le lendemain, lorsque HB (Human Bomb, nom donné au preneur d’otages) a pris une balle (7), il avait disparu du dispositif. Un coup de maître (encore ! C’est de l’opportunisme point !), puisqu’il n’est pas lié à la polémique sur l’opportunité de tuer le ravisseur qui a suivi. » (ceci reste à vérifier, bien-sûr…)
    Cette technique dite du « mouvement permanent » (8), qui consiste à se saisir de l’actualité immédiate (quitte a fabriquer ladite "actualité") pour apparaître toujours à son avantage dans les médias, et surtout à s’approprié le bon rôle sur d’autres non-événements à venir, constitue la marque (la tare serait mieux adapté à cet exercice) de fabrique de Sarkozy ("monsieur 11%").

    Voici comment Sarkozy ("monsieur 11%"), s’employa à créer une méthode (en réalité de vieilles "ficelles") déjà éprouvée par d’autres, et comment sa légende en cours de préparation, lui en attribuera tout le mérite :

    En 2002, après la campagne présidentielle (et sa énième trahison, dans ce cas il s’agissait de Chirac), un premier passage au ministère de l’intérieur lui permet de systématiser cette mise en scène de sa communication.

    Sa chaîne, TF1, sera chargée de la sale besogne ; les journaux télévisés mettrons en scène un faux climat d’insécurité, et ce média sera le relais (un peu trop visible, car tout le monde a constaté la grossière manipulation) zélé de la riposte ministérielle.
    Le 22 mai 2002, une mise en scène orchestrée par le ministre Sarkozy et relayé par sa chaîne, TF1, une intervention à Strasbourg du groupe d’intervention régional, à cette occasion et comme à son habitude, l’homme politique sera omniprésent. TF1 donnera le ton en évoquant la saisie d’"armes de guerre" : deux malheureux pistolets et quelques bricoles (caméscope, ordinateurs et appareils photo numériques), c’est dire l’importance de la saisie ! Et comme toujours, le ministre se substitue à la parole policière et devient le seul interlocuteur des médias.

    En novembre 2005, à cause de l’inconséquence et suite aux paroles provocatrices du ministre de l’intérieur (Sarkozy), les émeutes de banlieue éclatent. Une cellule de communication est installée Place Beauvau et toute l’"information" (du moins l’information selon Sarkozy) passera par le formatage sarkozyste, alors ministre de l’intérieur.

    Le si peu premier secrétaire du Parti socialiste, Hollande, osera même cette saillie : « C’est le nouveau présentateur du JT de 20 heures », ironisa-t-il. Les médias sont inféodés à sa parole, et pour certains en sont aussi les dépositaires.

    Sarkozy ("monsieur 11%") a un parlé et un style vulgaire qui leur plaît. Tout lui est dû (9) (comme tous les profiteur sans vergogne) ; par exemple, ses apparitions dans les journaux télévisés comme ministre, ne sont pas prise en compte dans le décompte du temps de parole. Chabot, lui fait la bise,…, alors il est trois fois son invité à l’émission « 100 minutes pour convaincre » de France 2. Et à ce qu’il paraît, il aurait fait le plein d’audience à chacune de ses apparitions (entre 4 et 6 millions de téléspectateur) ; là on serait tenté de douter de telle statistique (ce sont les médias concernés qui affichent de tels taux d’audience).

    Sa soit-disant adresse oratoire devrait beaucoup aux vieilles « ficelles » (cordes serait plus approprié) du métier d’avocat (le peuple ne les gratifie-t-il pas du surnom de "bavard" ?) : périphrase, recours systématique aux formules interrogatives et aux approximations verbales, effets surannés d’images surfaites, posture grandiloquente et faux « parler vrai ». Une soit-disant séduction jouerait auprès des journalistes !

    On a beaucoup de mal à croire à de telles affirmations. Ceux qui croient à son baratin, sont, soit des faux-derches, ou totalement soumis et en croque à outrance.

    L’exemple du faux-cul par excellence, Lebègue, "journaliste" à « Libération » avoue : « Il a une manière de poser les questions qui fait qu’on est toujours d’accord avec la réponse. On fait un peu office de sparring partner (...) Il voit comment les arguments passent auprès des journalistes avant de les diffuser à grande échelle. »

    Il nous ferait prendre des vessies pour des lanternes ce Lebègue !

    Ministre de l’intérieur, un poste qui ne garantit pas d’ordinaire une grande popularité chez les journalistes, ni chez les gens du peuple d’ailleurs ;

    Et Marie Bénilde ajoute : « … un homme qui montre qu’il adore les médias et qui se prête à leur jeu de l’image ne saurait être mauvais... »

    Premièrement, les médias,…, il les déteste totalement, et certains témoignages sont là pour l’attester sans conteste ; secondement, "le jeu de l’image", en ce qui concerne Sarkozy ("monsieur 11%"), c’est un miroir déformant dont il s’agit, et l’image qu’il reflète est à géométrie très variable ; au point que l’original n’a plus aucun rapport avec l’image qu’il souhaiterai qu’on ait de lui !

    L’"ami" des fortunés favorisent aussi les journalistes :

    Ses nombreuses casquettes lui ont permis, grâce à l’argent publique de favoriser les uns et les autres au détriment de l’intérêt général. Deux exemples peuvent l’attestés : le premier, alors qu’il était ministre du budget et des finances, il a su amadouer la caste des journalistes inféodés en se gardant de toucher à l’abattement fiscal (très contesté) des journalistes (7 650 euros par an déductibles du revenu imposable), mais ceci était une broutille comparée aux somptueux cadeaux qu’il accorda aux plus friqués, adoptant des positions très libérales sur la défiscalisation des entreprises, l’impôt sur la fortune ou les droits de succession ; ces nouveaux privilèges ne pouvaient que satisfaire les magnats-héritiers que sont MM. Lagardère, Bouygues, Dassault, Edouard de Rothschild, etc. et de surcroît grands patrons de presse. Comment les gens du peuple ont-il pu se faire gruger par un tel escroc ? Il tutoie tout le monde (c’est là un signe de mépris qu’il porte à ces contemporains) et tout particulièrement des journalistes, tels Joffrin, Colombani, et même Plenel ! (Plenel, s’il vous reste une once de courage, envoyez le péter une bonne fois pour toute !)

    En fait, il agit par la bande et dès qu’un journaliste lui déplait, il téléphone à son patron pour le faire virer ; c’est aussi ça la méthode Sarkozy ("monsieur 11%") ; un égocentrique forcené qui ne supporte pas qu’on lui résiste, sinon il se venge salement. Il dispose de préposés aux basses œuvres tel Louvrier, Elkabbach etc.

    Il dit tout et le contraire de tout, car il sait que les médias ne relaierons pas l’"information" si cela nuisait à son image, ou qu’ils la transformeraient à son avantage ; grâce à cette complicité il gagne sur tous les tableaux ! Il est capable de faire sienne des citations de gens réputés à gauche, car croit-il, personne ne serait capable de lui reprocher ses emplois abusifs ; dans le monde à part qui est le sien, il s’imagine seul, sans opposition valable, où il peut se permettre toutes les facéties.

    Le peuple il s’en contrefout, seul pour lui compte les médias inféodés, ceux qui relaient de grès ou de force ses "pensées" (navrantes de lieus communs et ultra-conventionnelles), et ceux qui possèdent (les ultra-friqués), les autres peuvent crever !

    C’est surtout ça le système Sarkozy, un égocentrique forcené, un homme sans éducation, un rustre sans grande morale ; un capricieux sordide, qui n’hésite pas une seconde à biffer tous ceux qui lui résistent ; quant il aura disparu de la scène médiatique et politique, le peuple souverain sera heureux de s’être enfin débarrassé de lui. Il a dit et répété à l’envie qu’il n’aurait aucun mal à se recaser dans le privé (ce qui ne veut pas dire, hors de la sphère politique, la collusion entre le personnel politique et les nantis n’est plus à prouver) ; ici, on ne peut que le mettre en garde de ne pas trop préjuger du futur, car celui-ci pourrait lui réserver de vilaines surprises…

    Alors, pourquoi ce titre « Comment deux cloportes ont pu s’acoquiner avec le "matamore" (monsieur 11%) ? » me direz-vous ? Parce que selon un ministre sarkozyste, la presse depuis deux ans est très gentille avec lui (Sarkozy, "monsieur 11%"), elle serait fascinée par lui comme le papillon le serait par la lumière (c’est d’une platitude renversante) ; en deux ans Sarkozy aurait fait le vide ; il serait seul, tout seul, sans personne en face de lui (il devrait se méfier de ses arrières, car elles réservent toujours de mauvaises surprises) à droite comme à gauche il n’aurait aucun candidat crédible etc.

    Il continue sur le même ton incrédule, on espère pour lui qu’il ne croit pas aux débilités qu’il profère !

    Tout ça pour en venir aux alliances contre nature (pas si sûr après tout…) dont il aurait eu (seul) l’idée (avec d’un côté, l’agité du bocage, et de l’autre, Nihous, l’homme qui ne supporte plus ses scores minables ; le banc et l’arrière banc en quelque sorte), pour ne plus apparaître comme un candidat qui n’aurait obtenu que 11% de votants en sa faveur (mais qui malgré se score minable, rafle la moitié des sièges à pourvoir), pour , selon ce fin stratège et des conseillers tel Giacometti, écraser les autres (on se demande comment il fait pour écraser du vide ?) et paraître le seul capable de rassembler plus de 11%.

    Quelle ambition ! C’est fascinant comme le papillon attiré par la lumière…

    Pour rédiger cet article, il a été un peu emprunté à Marie Bénilde en ce qui concerne les noms et les dates mais pas en ce qui concerne le commentaire ! Alors, rendons à Marie ce qui lui appartient !

    NOTES

    (1) "modernes", mot fourre tout qui permet de faire passer n’importe quoi pour du progrès ! Les pseudo-réformes n’amèliorent que le quotidien du clan sarkozyste et de ses "amis" redevables.

    (2) A comparer au parcours laborieux et chaotique du père de Sarkozy (Pal Sarkozy), qui débarqua en France (à Paris), sans un rond en poche, un jour de décembre1948, qui comme tous les parasites vivant aux crochets de la « Société du spectacle », créera une agence de pub (en réalité agence d’influence et d’opinion, dont Bleustein-Blanchet avec son consortium publicis, en sera l’une des figures emblématiques ; son parcours sera érigé en "modèle" et il sera même sacré "pape" de la pub) ; pour couronner le tout il s’autodéclarera "artiste" ("artiste" ! Quand l’"art" rapporte du fric, évidemment !). Voir à ce sujet (la définition de l’art et le véritable statut d’artiste) une série de quatre articles parus sur le site BELLACIAO et intitulés : « " Quand j’entends le mot culture, je sors mon transistor " », « L’art populaire et les "CoBrA" ». Première partie, L’art populaire et les "CoBrA". Seconde partie, L’"art" selon l’I.L., l’I.S. et la bande à Debord : (l’ I.L., l’Internationale lettriste, l’I.S., l’Internationale situationniste).

    Et pour finir, cet homme fait bougrement penser à un "Tatie Danielle" masculin plutôt qu’à un brave et sympathique Vieillard...

    (3) Tous ces gens auront soit une promotion, soit des contrats etc. payés avec les sous de l’État (un retour sur investissement en somme) dans tous les ministères qu’occupera Sarkozy ("monsieur 11% ") ; il est comme ça Sarkozy ("monsieur 11%"), généreux avec l’argent publique, et pourvu que cela sert ses propres intérêts...

    (4) Agence d’opinion, qui se font volontiers passer pour des "instituts" afin, espère-t-il, se donner l’aspect d’organisme "scientifique" !

    (5) Qui n’hésite pas un seul instant, à se faire passer pour une journaliste !

    (6) « Une espèce de "maître" penseur… » Ceci est totalement antinomique, comment peut-on associer Sarkozy ("monsieur 11%") et "maître" penseur ?

    (7) En fait le preneur d’otage s’en est pris une dizaine dans la tête ; c’est ce qui avait fait polémique ; à l’époque, la famille du preneur d’otage avait porté plainte ; l’affaire a été enterré ; le commando de flics qui l’avaient allumés a été récompensé, touchant une prime et recevant une décoration.
    (8) En ce qui concerne "monsieur 11%", la bougeotte aiguë (ou danse de saint-Guy) serait plus approprié ; il a l’art de brasser du vent avec une virtuosité toujours inégalée à ce jour !

    (9) Comme à tous les gens du peuple, on m’a appris à ne jamais demander quoi que se soit, « ça ne se fait pas » me disait-on ; seul les tapeurs et les profiteurs réclament sans vergogne !