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BNP PARIBAS DANS L’AVIS DE PRÊTS à Al-Qaïda

par Viky Charo (du Kenya )

Publie le samedi 14 novembre 2015 par Viky Charo (du Kenya ) - Open-Publishing

Le géant financier français à la barre aux États-Unis pour le soutien qu’ils ont apporté aux pays qui soutiennent le groupe terroriste responsable des massacres contre les ambassades américaines de Nairobi et Dar es Salaam en 1998.

Le géant bancaire français BNP Paribas serait "délibérément et sciemment » fourni de l’argent d’Al-Qaïda ", de soutien et de ressources matérielles" qui a permis aux terroristes de mener des attaques sur les ambassades américaines à Nairobi et Dar es-Salaam en 1998.

Ce soupçon, dont l’Institut (avec certaines de ses filiales) est tenu de rendre compte devant un tribunal des États-Unis. Soixante-huit victimes et des membres de la famille de citoyens américains sont morts dans les attaques, obtenir une indemnisation de 2,4 milliards de dollars.

Les parties lésées se sont appuyés sur Fay Kaplan, un cabinet d’avocats spécialisé dans ce genre de cas internationales, que les dirigeants de BNP connaissent bien. En Juillet 2014, en effet, la banque à travers les Alpes a été condamné à payer 8,9 milliards $, après une entente de plaidoyer - dirigé par la même équipe d’avocats - dans laquelle il reconnaissait sa responsabilité dans la violation des embargos Américains au Soudan, l’Iran et Cuba.

Pendant le procès, il a été établi que l’institut servirait essentiellement « banque centrale pour le gouvernement soudanais," le financement des organisations terroristes à travers l’échange d’argent entre l’Amérique du Nord et BNP BNP Suisse. "Les défendeurs - le document lit l’acte d’accusation de ce nouveau processus - ont conspiré avec le gouvernement soudanais, les banques et autres entités contrôlées par Khartoum, ainsi que les organisations terroristes opérant dans le pays, y compris le Hezbollah et Al-Qaïda, de se déplacer délibérément et volontairement millions de dollars dans le système financier des États-Unis, en violation de terrorisme anti-américain ".

Dans un autre cas, déposée par la même équipe d’avocats en 2011, la Cour a reconnu la responsabilité de l’Iran et le Soudan à l’appui du terrorisme, décrétant la saisie de marchandises dans les deux pays (pour une valeur de 907 millions de dollars) en compensation victimes. Un jugement, ceci est rendu possible par le Foreign Sovereign Immunities Act, une loi qui permet même aux citoyens non-américains travaillent à l’étranger par le gouvernement, de poursuivre les États qui parrainent le terrorisme. A cette occasion, le régime iranien a été reconnu coupable de fournir (par l’intermédiaire du Hezbollah) les explosifs et la formation qaidisti, dans des camps dans le sud du Liban, tandis que le Soudan a offert "refuge" à Oussama ben Laden, lui permettant de planifier les attaques de en 1989, qui a tué 200 Kenyans, 12 américains et 10 Tanzaniens.

De ces jugements et l’admission précédente de la responsabilité du géant financier français, elle est basée la poursuite de cette nouvelle cause. Actions qui, comme ses prédécesseurs, exclut les plus de 500 Kenyans touchés de diverses manières par les actions terroristes qui ne figuraient pas sur la feuille de paie du gouvernement américain et qui ont été oubliés par le gouvernement de leur pays.

10/11/2015

http://www.nigrizia.it/notizia/bnp-paribas-a-giudizio-per-finanziamenti-ad-al-qaida

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