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Brennilis, Un Plan d’Enfer ! Vidéo et anecdotes.
Publie le dimanche 19 octobre 2008 par Open-PublishingUn Plan d’Enfer ! Anecdotes en vrac.

Légende photo LMQ : La porte de l’Enfer, dans les Monts d’Arrée en Centre Bretagne.
Un complément Apéritif ou digestif au p’tit film dont lien ci dessous.
http://video.google.com/videoplay?d...
LE TELEGRAMME DE BREST 11/10/08
Brennilis. Pour éviter le pire...
Hier, à quelques centaines de mètres de la centrale nucléaire de Brennilis (29), un camion de transport de déchets radioactifs a perdu plusieurs de ses fûts après avoir percuté un tracteur. Il ne s’agissait, heureusement, que d’un exercice destiné à présenter le dispositif prévu dans ce genre d’incident et éventuellement à l’améliorer. En tout, 26 pompiers, une dizaine de gendarmes et une dizaine de salariés d’EDF auront été concernés par cette opération.
Déchets radioactifs. Brennilis ne veut rien laisser au hasard
Comment les secours interviennent-ils en cas d’accident de la route impliquant un véhicule transportant des déchets radioactifs ? La simulation organisée hier, à Brennilis, avait pour but de présenter ce dispositif particulier et si possible, de l’améliorer. L’exercice a débuté à 9 h. Il répondait à un scénario bien précis : à quelques centaines de mètres de la centrale nucléaire, un camion de transport de déchets très faiblement radioactifs percute un tracteur. Les portes arrière du conteneur s’ouvrent, laissant échapper une demi-douzaine de fûts floqués de l’effrayant logo jaune et noir. Le conducteur est sain et sauf. Il appelle immédiatement les secours en leur indiquant la nature de son chargement.
Scénario rassurant
L’opération peut commencer. Ce sont les pompiers d’Huelgoat, de Carhaix et de Brasparts qui sont arrivés les premiers sur place. Leur mission : « extraire les victimes de la zone, prendre en compte les dégâts, stabiliser la situation et glaner un maximum d’informations », explique le commandant Quéméneur.
Ces données doivent permettre aux spécialistes des cellules mobiles d’interventions radiologiques (Cmir) de diagnostiquer au plus vite la nature du produit dangereux et d’établir un périmètre de sécurité que les gendarmes feront respecter. Jusque-là, l’opération, s’est bien déroulée. Les experts en radioactivité ont ensuite réalisé des frottis « sur les fûts, le conteneur et les bottes de paille tombées du tracteur ». Pas de contamination. Et pour cause : le scénario prévoyait que les fûts résistent au choc. À 13 h, le dispositif a été levé.
50 personnes sur le pont
En tout, 26 pompiers, une dizaine de gendarmes et autant de salariés d’EDF étaient concernés par cette opération. Un premier débriefing a permis de pointer du doigt d’éventuels problèmes : quelques difficultés de transmission et l’absence sur le territoire de pompiers professionnels. Les élus de Brennilis en ont soulevé un autre : « pas de signal d’alarme pour prévenir la population ». Le patron de la centrale, Xavier Petitjean, leur a répondu que « les procédures d’évacuation ne faisaient pas partie de cette simulation ». Ce sera pour une prochaine fois.
V. L.
SIMULATION : L’OTAN VA PARTICIPER AU DEMANTELEMENT DE BRENNILIS !
En réaction Skapad 12/10/2008
La direction de la centrale nucléaire de Brennilis se fout de la population !
– Une simulation d’un accident de transport de déchets nucléaires à la sortie de la centrale de Brennilis ! Un tracteur qui débouche subitement d’un champ, et percute un camion chargé de bidons « bidons » faiblement radioactifs et même pas encore corrodés, surprenant, non ! Des bidons radioactifs comptabilisés ! L’exercice aurait démontré de l’efficacité des services de sécurité, mise à part quelques problèmes de communication.
– Pour ce qui est de la communication, ça fait un bon moment que nous l’avions remarqué !
Les années passent, mais les scénarios caricaturaux sont toujours aussi idiots et sont indignes de la capacité du sens critique des populations locales. Autrement dit, ce boutonneux et tout jeune directeur de Brennilis nous prend pour des écoliers demeurés. Il faudra mettre tout cela en avant, de qui ce moque-t-on ?
– Aussi, et pour parfaire sa formation en communication, de ce nouveau scénario ci-dessous inspiré, ce cadre en logistique devra l’étudié au plus près, afin qu’il nous rassure de ses compétences en matière de transport radioactif aux destinations inconnues.
Simulation OTANesque :
– Lors des manœuvres (en vue des opérations civilisatrices afghanes. Euh !) des forces aéronavales de l’OTAN sur le territoire français et tout particulièrement à la pointe Bretonne, une escadrille composée de trois chasseurs d’attaque : Un Finlandais, un Espagnol et un troisième Nord Américain survolent le Finistère dans un vacarme aussi assourdissant qu’inutile.
Suite à une erreur de traduction des ordres de commandement, nos trois chasseurs confondent la base aéronavale de Landivisiau et tentent d’apponter sur le porte avion virtuel qui selon les traductions est en mouillage sur le lac artificiel à proximité de la centrale nucléaire EL4 de Brennilis.
Alors que les deux chasseurs Finlandais et Espagnol, in extrémistes, corrigent d’une seule voltige leur direction, le F16 nord américain, en fin d’appontage virtuel, ne peut éviter le bâtiment réacteur de cette usine EL4. L’impact de celui-ci pulvérise dans un grand fracas le béton encore radioactif de ce bâtiment.
Au même moment, les services météo annoncent en cette fin de journée d’automne des vents de plus de cent kilomètre/heure accompagnées de fortes précipitations ! En ce mois d’octobre, la récolte du mais qui vient tout juste de commencer, est sérieusement compromise.
– Difficulté supplémentaire : Ce F16 made in « Usa », est équipé d’obus a forte pénétration en uranium dit appauvri, option retenue par l’état major des Forces de l’OTAN, qui dans un but d’économie et afin d’alléger les finances en faillite du pays le plus militarisé au monde, on acceptés de supprimer toutes manutentions superflues d’armes fictives et/ou virtuelles. La doctrine est là….
Un seul mot d’ordre : Droit au but !
Monsieur le Directeur, dans ce cas de scénario, quelles seront les mesures que vous et les autorités, penseriez vous mettre en place pour corriger les conséquences de cet accident militaire et nucléaire ?
– Sachant que non loin de là, et suite à une autre erreur de communication, d’autre trouffions ont malencontreusement armés trois missile M51 depuis la base de l’Ile Longue.
La destination de ceux-ci étant elle aussi inconnue !
De Skapad 17/09/2008
LA CAMPAGNE POUR L’ELECTION DES CONSEILS PRUD’HOMMES EST EN ROUTE !
– Les 226 000 salariés du secteur privé seront appelés à voter au mois de décembre prochain pour renouveler les trois conseils de prud’hommes que compte le Finistère. Aussi les représentations des cinq confédérations syndicales CFDT, CGT, FO, CFTC et CFE-CGC se sont réunis pour la troisième fois avec les représentants des employeurs au siège de la Direction du travail du Finistère.
– Sacre bleu ! Après les réunions à « sénateurs » voici venu l’heure des réunions et déplacements pour l’organisation de ces élections en conseil et régulation sociale.
Au vue de la photo publiée pour compléter l’article paru ce jour par Ouest France (17/09/08), je me suis amusé à estimer les kilométrages en réunionites de ces représentants syndicaux et accessoirement grand producteur de CO2.
Partant de ce constat photographique, ainsi les 8 protagonistes syndicaux présents sur la photo et sans compter les patrons ! Car on ne ce mélange pas, dans ce cas là, les syndicats et les patrons surtout et précisément à l’aube d’une nouvelle campagne électorale prud’homale ! Ainsi ces représentants venus de tout le département breton auront parcouru pas moins de 3400 km cumulés sur les chemins finistériens ! Tout ça pour piquer le boulot des secrétaires et autres postiers en attente de privatisation.
– Mise à part cette boutade kilométrique, ce qui m’aura surtout interpellé dans ce papier explicatif en procédure d’organisation électorale prud’homale, c’est avant tout l’intervention du représentant de la CFDT de Morlaix. Car le 3 décembre prochain, l’enjeu sera surtout la représentativité syndicale sachant qu’au dernier scrutin seul 35 % des inscrits avaient daignés ce déplacer pour élire cette élite en conseil de régulation sociale. Car la vitalité nécessaire de cette institution mériterait à ce que les salariés s’y intéressent en premier chef. Je le cite :
« Avec la réforme de la justice, on a été à deux doigts de voir fermer le conseil de Morlaix. Les salariés ont pourtant intérêt à avoir une justice de proximité. La régulation sociale passe par les conseils de prud’hommes »
– Bref, que du petit lait, que des vœux pieux ! J’y mettrais tout de même un bémol, qui explique peut être et en partie le peu d’intérêt des salariés à venir voter pour ces représentants gourmands de déplacements pas forcément probants ! En effet, ce même représentant avait déclaré lors du licenciement abusif des 80 salariés du chantier de démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis, et suite à une faute inexcusable du donneur d’ordre et Maitre d’Ouvrage, à savoir EDF et son coactionnaire Etatique, Monsieur Guengant disait à propos de ces licenciements :
« Alors qu’il ne s’agit après tout, que d’un vice de procédure, les conséquences sont disproportionnées …. » Et suite voir Ouest France du 27/06/2007.
– D’ailleurs, ses paroles de conseiller avaient été sanctifiées et confirmées par son chef hiérarchique. Le secrétaire départemental UD CFDT, et suite à ma proposition de faire la démonstration de la vitalité de cette institution, Monsieur le secrétaire avait écrit dans un courrier du 3/07/07.
[De plus, les orienter vers une action juridique est tout aussi surprenant compte tenu de la durée prévisible de celle-ci et des frais que cela engendre. Qui va payer cette procédure prud’homale et qui va leur donner à « bouffer » en attendant l’issue hypothétique d’un jugement]
Glups ! et re Glups !
– En définitif, l’entreprise de reclassement CATALYS (partenaire de la CFDT), avait ainsi put obtenir un marché de près de 200 000 euros (estimation) pour le reclassement de ces licenciés abusifs (3000 à 3500 euros par salarié). Cette prestation de service a été payé a 50% par l’Etat et 50% par EDF, ce qui de fait confirme à cent pour cent la responsabilité juridique du Maitre d’Ouvrage qui gère ce chantier.
Sauf a croire aux miracles !
– Néanmoins, et pour éventuellement réinjecter un peu de vitalité dans cette institution et pour informer les ouvriers licenciés de Brennilis, il faut aussi le leur rappeler qu’un délai de cinq ans permet de provoquer une nouvelle procédure ! Procédure dont nos représentants voudront certainement, à la veille de ces élections ce charger de le leur expliquer.
Skapad Lundi 1/09/2008 FR3 Ouest 19/20 :
Quand nos ingénieux atomistes du centre de recherche du CEA de Saclay s’amusent à plaire aux personnes à mobilité réduite, une idée forte sympathique et qui ne manquera pas d’être exploitée !
En collaboration avec le centre KerPape dans la région de Lorient, les ingénieurs du CEA de Saclay, sont actuellement en phase de tests et de validation d’un bras robotisé automatique, qui obéit aux ordres informatisés des personnes à mobilité réduite, grâce à des capteurs installés sur une paire de lunette. Ainsi depuis sa vision sur un écran informatique, l’heureux bénéficiaire de cette généreuse mécanique (un peu quantique !) peut ordonner au bras robot, la prise d’objet pour ses besoins ordinaires.
Aussi après l’explication de texte, la présentation en avant première de cette fabuleuse machine et dans un micro-reportage présenté sur FR3 Ouest, le bras robotisé a put nous démontrer de son efficacité en cette fin de journée de rentrée.
Faut le voir, pour y croire. Le robot à put se saisir d’une bouteille plastique remplie d’eau, de la sortir d’un placard, d’exécuter une marche arrière, puis hop ! de la laisser tomber dans une corbeille d’osier ! Vous en prendrez bien un deuxième, ma p’tite Dame. Et rebelote, deux bouteilles dans le panier !
Pour le service en verre, faudra s’y faire !
Nul doute que cette avancée technologique aura retenue toute l’attention du public. Reste à démontrer de la réelle nécessité d’un tel développement pour ce bras robotisé et uniquement dans ce secteur d’activité ! La présence humaine me semble plus efficace que cet ersatz d’aide à domicile mécanisé.
Mais il est certain que tôt ou tard, nous finirons par connaitre l’origine de cette machine. Certainement, une autre application dérivée de ces robots développés pour les travaux en zone ultra confinée, genre réacteur pour médecine nucléaire en panne de production de produit traceur radiologique. (1)
A ce propos, et pour une fois en ce cas de radioactivité médicale, cette panne là, aura été elle plus que diffusée tout au long de ce dernier WE de congé. Histoire de nous rappelé que la radioactivité, c’est aussi bon pour la santé !
En tout cas, si c’est ce genre de machines et de procédés, qu’ils comptent utiliser pour démanteler le réacteur de Brennilis ! Nous pouvons être enfin rassurés !
Vous imaginez, des blocs bétons radioactifs ainsi délicatement déposés par ces machines, dans de jolis petits paniers d’osier !
Bonne rentrée, fallait bien recommencer.
(1) Panne d’un réacteur nucléaire « médical » au Pays Bas
A propos du lac artificiel de Brennilis :
Le démantèlement du barrage sur l’Ellez sera t il un jour envisagé ?
Pour restituer les terrains spoliés des paysans en leurs temps, de leurs descendants et habitants des Monts d’Arrée. L’État Français et ses coactionnaires peuvent certainement mieux faire qu’un certain Italien Berlusconien qui en ces jours, a annoncé le versement de 5 milliards de dollars à l’État Libyen, en dommage des errances impérialistes et coloniales de la Botte Romaine durant l’occupation italienne de ce petit bout du Sahara.
Un peu d’histoire pas si ancienne.
« On dit [….] vous aurez de la lumière. […], l’électricité est une chose qui se vend et qui produit des bénéfices. …On électrifie les campagnes pour que les paysans achètent de l’électricité et pour que les actionnaires fassent de gros bénéfices. * »
Paroles d’altermondialistes ? D’antinucléaires ? Non ceci est paru dans :
La Bretagne ouvrière n°1 du 5 octobre 1935. Hebdomadaire publié par le parti communiste de l’époque du Front Populaire.
Dans ce numéro, on trouve une vive protestation contre le barrage de l’Ellez et la construction du lac artificiel de Brennilis ! Les communistes d’avant le second conflit mondial et à un degré moindre les socialistes, dénonçaient alors les expropriations de terrains opérées dans le marais par la Société hydraulique des Monts d’Arrée qui siégeait au Huelgoat.
Le PC tonnait : « …Le Syndicat d’Electrification se conduit dans nos campagnes comme en pays conquis, exactement comme les gros exploiteurs coloniaux se conduisent en Afrique centrale* … »
Pourtant, 1935 n’est pas si lointain, car depuis ces soixante-dix années passées, et après la nationalisation et la création de l’EDF et du CEA peu après 1945, certains du PC ont non seulement acceptés ces expropriations mais tolèrent également le pillage des pays du Centre Afrique en particulier le Niger et ses mines d’uranium d’Arlit.
Quant aux socialistes ! Que de naïfs, comme si « l’État » voulait toujours dire : droit !
Avec le temps va tout s’en va !
A propos des propos du professeur Pellerin :
Réacteur et taux de fuite de CO2 !
Au secours Roselyne !
Encore un peu d’histoire encore moins ancienne.
Il avait dit :
« Je ne dis pas que Brennilis était très polluante. Je dis qu’elle rejetait beaucoup trop de gaz radioactifs par rapport à sa faible production. Cette centrale était carrément hors-normes, ce qui est normal, vue sa date de mise en service »
Propos du professeur Pellerin patron du SCPRI (Service Centrale de Protection contre les Rayons Ionisants) paru sur Libération le 11 Aout 1987.
A cette époque, deux camps s’affrontaient chez les pro-nucléaires. Certains pèlerins contre ceux du CSIN (Conseil de Sureté des Installations Nucléaires) et qui prônaient le maintien en fonctionnement de ce réacteur hors normes ! Comme le dit si adroitement le spécialiste en nuage toxique radioactif.
Le professeur dans cet article précise également que son avis avait lourdement pesé pour la fermeture définitive de ce site EL4 de Brennilis. Ce prototype nucléaire « normalement » hors normes et en service depuis plus de quinze ans à l’époque de ces débats de physiciens atomiques !
Dans ce papier, il y est autrement signalé de la part de certains agents connaissant l’installation bretonne et à l’époque mutés sur d’autres chantiers, et qui affirmaient que EL4 était une vraie passoire :
« …. les fuites de gaz carboniques (gaz de refroidissement du réacteur) atteignaient environ cinq tonnes par jour, par la cheminée de rejet…. »
Cheminée toujours visible à ce jour, mais pour combien de temps, verrons nous encore ce canon à CO2 radioactif ? (Sans compter tous les autres produits nocifs, tritium et autres dérivés ….).
– Cinq tonnes de CO2 par jour, soit au bas mot près de 22 080 tonnes de fuites radioactives pendant les 106000 heures de fonctionnement de ce réacteur hors normes !(4416 jours) A raison de 7000 habitants constants dans le canton environnant, et par diffusion humide de ces brumes ainsi gazéifiées en radioactivité, et également réparties sur tous les territoires des communes des Monts d’Arrée, soit environ près de 714 kgs de CO2 rejeté par tète de pipe et par an ! Ou encore près de 2 kilogrammes de CO2 radioactif/ habitant/ jour.(sauf erreur et arrondi)
Au secours Roselyne ! Aux fuites ! Aux fuites !
– La reconversion de ce site en objet test grandeur nature pour les démantèlements futurs (de l’époque toujours d’époque !) avait aussi posé question dans la maison atomique. Certain responsables du CEA, doutaient de la stratégie qui a été suivie :
« Mais tester un démantèlement sur une filière abandonnée (1), c’est ridicule »
Non seulement, c’est ridicule mais extrêmement onéreux, voir aggravant quant au résultat final de ces pollutions à neutrons. Car à force d’émietter tous ces déchets, comme le Petit Poucet,ce chantier d’électricité depuis son origine est vraiment confondant.
Au secours Roselyne ! Aux fuites ! Aux fuites ! (2)
Patrig Kéméner. Mespaul 1/09/2008
Notes :
* Huelgoat et les Monts d’Arrée, les Rebelles de la Montagne. Eliane Faucon-Dumont et Georges Cadiou éditions Alan Sutton.
(1) la filière eau lourde fut abandonnée à la faveur d’un brevet des États Unies !
(2) Référence à l’argumentaire de Madame la Ministre Bachelot, concernant des taux de fuite en clientèle au CH de Carhaix. Et repris depuis hier par le consortium de toubibs brestois concernant la maternité. Ils feraient bien, eux aussi de faire attention à leurs déclarations pour le moins
« filtrées »
CONCLUSION : Les Années passent et le camouflage reste adage.