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Ces bêtes qu’on abat (videos)

Publie le dimanche 14 juin 2009 par Open-Publishing
23 commentaires

de Michèle Scharapan

Dante a décrit l’enfer. Celui ci existe... Il a été crée par l’homme.

Il faut absolument lire ce livre qui dit le quotidien des abattoirs dans toute son horreur .Cela me semble impossible qu’après l’avoir lu, les gens puissent continuer à" manger l’agonie", comme l’écrivait Marguerite Yourcenar .

Bien sur cet homme Jean-Luc Daub est végétarien, et je crois même végétalien. il est la preuve, contrairement à beaucoup d’idées reçues, que de se battre contre TOUT ce qui est perpétré contre les animaux, n’ est pas antimonique avec le combat pour protéger nos semblables , bien au contraire.

Merci à lui d’avoir eu le courage d’écrire ce livre , pour témoigner de ce qu’il a vu .


Ces bêtes qu’on abat - Journal d’un enquêteur dans les abattoirs français (1993-2008) de Jean-Luc Daub, préface d’Elisabeth de Fontenay, Edition de l’Harmattan.
Il est aussi en vente sur le site de L214
http://www.l214.com/

La viande coûte cher aux animaux. Engraissés dans des bâtiments obscurs dont ils ne sortent que pour être abattus, privés de toute relation avec leurs congénères, entravés, parfois sanglés au point de ne pouvoir bouger, ces animaux sont tués à la chaîne dans l’indifférence la plus absolue. Les enquêtes effectuées par Jean-Luc Daub dans les abattoirs français durant une quinzaine d’années lèvent le voile sur le malheur de milliards d’animaux. La force de ce témoignage tient dans la description, d’une précision extrême, des opérations d’abattage qui font inexorablement passer les bêtes de vie à trépas, dans ces lieux dont la législation dit qu’ « aucun animal ne doit ressortir vivant ». Les instances qui ont compétence pour faire appliquer la réglementation en matière de protection des animaux font preuve d’une passivité qui confine à la complicité. Plus largement, c’est à une réflexion de fond sur la condition des animaux élevés pour être mangés que ce livre nous invite. Pourquoi les avons-nous à ce point bannis de tout ?

Parallèlement à son activité d’enquêteur dans les abattoirs pour des associations de protection animale, Jean-Luc Daub travaille en Alsace dans le secteur médico-social ; il est éducateur technique spécialisé auprès de personnes atteintes de troubles psychotiques.



Messages

  • Je suis de tout coeur avec vous !
    Les élevages et abattoirs c’est l’enfer pour les animaux

  • En août 2008, avant la parution de son livre, Jean-Luc Daub avait fait une intervention aux Estivales de la question animale dans laquelle il témoigne de son expérience de visiteur d’abattoirs. On peut lire ce témoignage à cette adresse :
    http://question-animale.org/fr/his/e08/cnt/171.html

    On peut se procurer son livre "Ces bêtes qu’on abat" en librairie ou l’acheter en ligne sur la boutique de L214 :

    http://boutique.L214.com/index.php?cat=8

    • C’est de voir que tout se déshumanise qui me donne envie de me battre, mais que fait la majorité pour lutter contre ce fléau qu’est la rentabillité voulut par le capitalisme.
      Jean Cocteau nous avait prévenu qu’ils leurs falaient jouer coeur ou tricher le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils ont déjaalain 04 beaucoup tricher

  • Merci à tous les militants qui dénoncent l’horreur de ces élevages et abattages massifs au plus grand mépris de la souffrance et du respect que nous devons aux animaux. Quand les humains vont-ils en prendre conscience, d’autant plus qu’une alimentation végétarienne est fortement recommandée pour la santé et celle de la planète ! Halte aux lobbies agro-alimentaires qui détruisent la nature et les animaux pour le seul profit de l’argent !

  • Merci à l’auteur de ce livre...en espérant qu’il en vendra bcp.
    Mais rien que de le lire l’article de Mme Scharapan, j’en frémis d’horreur.

    Comment faire changer les hommes ? Comment les faire sortir de l’obscurantisme qui leur donne tous les droits ?
    De cet enfer, il n’y a pas de sortie...il n’est que de parler avec les braves gens pour se decourager.
    Ceux qui parfois, veulent bien nous prêter une oreille pour conclure : c’est trop dur. J’aime tellement tout ça, je ne pourrai pas m’en passer...
    voilà pourquoi je suis pessimiste. On ne peut pas faire grand chose pour changer les hommes et les sauver de leur aveuglement.
    Cependant, là où la pitié et la morale échouent, dévoilant notre espèce comme la pire, l’instinct de survie de l’humanité va peut être aider à abandonner en partie, je dis bien peut être, la consommation animale excessive. Nous n’en sommes pas à l’abandon pur et simple. Hélas, l’horreur, l’effroi ne sont pas près de s’éteindre. La "bravitude" des braves gens n’est guère brave au sens de courage.

  • JE VAIS ACHETER LE LIVRE EN PLUSIEURS EXEMPLAIRES

    MAIS JE NE SAIS PAS SI JE PARVIENDRAIS A LE LIRE JUSQU’AU BOUT

    J’AI ADHERE A LA PMAF ET SOUVENT JE N’ARRIVE PAS A TERMINER DE LIRE LES

    DOSSIERS QU’ILS M’ENVOIENT TELLEMENT IL EST FAIT ETAT DE CRUAUTE

    Michèle

  • Mes chers compatriotes pendant que nous divergions, que nous parlions, des animaux meurent chaque seconde dans l’indifférence et l’anonymat. Seuls les numéros attribués rappellent leur triste existence, leur fin misérable. Ces animaux sont comme des artistes qui effectuent leur dernier numéro, mais personne n’est là pour les applaudir, juste un con pour les comptabiliser. Vous êtes leur plus beau publique en tant que végétarien, ce dernier numéro de cirque en abattoir sera pour vous, pour que vous preniez leur défense, pour eux , pour les suivants, pour les autres innocents. Vous êtes leur meilleur publique, les animaux vous aiment, avant de mourir, et pour toujours. Et si dans un dernier tour de piste, les portes des abattoirs s’ouvriraient vers la lumière, l’amour, la liberté…. Grâce à quelques héros qui ne vous mangent pas votre chair, vous reprenez alors le couloir de la vie, nous danserons tous ensemble à grand pas sur la piste, pour un numéro de vie ensemble…

  • Bravo pour avoir oser dire la réalité. Mais qui sommes nous pour generer autant de souffrance ? L’homme ne s’interroge plus sur rien il est comme une machine à détruire jusqu’à luimême. C’est de la connerie , de l’irrespect total pour la vie de la non conscience de ce que nous sommes sencés être, du sucide . Au lieu de semer l’amour on séme la mort est-ce vraiment ce que nous souhaitons ? Ou allons nous une telle souffrance à manger ne peut entrainer que notre propre souffrance. tu es ce que tu manges ? Quel monde !

    • A défaut d’imagination de l’autre, peut être que ceux qui pensent que les animaux sont sur terre pour "leur" plaisir gustatif, pour être utilisés, industrialisés, pourraient au moins avoir de l’empathie pour leurs "semblables" . En effet en cessant de manger les animaux, ils permettraient au milliard d’affamés d’avoir de quoi ne pas mourir de faim. Les tonnes de céréales utilisées pour "élever" les animaux seraient alorssuffisantes pour nourir la moitié de la planète..
      http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3807

    • Tout à fait d’accord !!! Une alimentation végétalienne équilibrée, constituée de fruits, de légumes, de légumineuses et de céréales, permet non seulement de vivre soi même en bonne santé, mais aussi un plus juste partage des ressources céréalières de la planète. Dans un monde végétalien, il n’y aurait pas de famine. Il y a un facteur 10 entre la production de céréales nécessaires à l’alimentation des animaux d’élevage et celle des humains ; il est aussi égoîste de ne pas en tenir compte que de déforester l’Amazonie pour faire pousser du soja à des fins d’élevage. Alors effectivement, si les humains sont incapables d’avoir un coeur pour les animaux, ils pourraient au moins faire un petit effort pour leurs semblables, même si le manque de compassion d’une grosse partie de l’humanité face à la souffrance animale reste problématique et inquiétante.

  • Avez vous regarder le documentaire "Notre pain quotidien" plus bas sur bellaciao , c’est un reportage au coeur des grands groupes de l’agroalimentaire européen, on y voit ce qu’est la maltraitance animale . Des hommes et des femmes, pour gagner de quoi vivre sont devenus des robots, et traitent les animaux comme de vulgaires légumes . Sommes nous encore humain ?

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article87466

  • Je suis tout à fait d’accord sur la nécessité de repenser l’élevage et l’abattage des bêtes à viande destinée à la consommation humaine, de lutter, ne serait ce que pour notre propre santé , contre l’exploitation industrielle, mais force est de constater que 80 % des commentaires que générèrent ce type d’articles sont complètement débiles et font abstraction de quelques vérités justement fondamentales.

    Admettons qu’elles ne soient pas débiles mais révèlent tout simplement une certaine idéologie charlatanesque , limite sectaire, qui a pour fonds de commerce la haine de sa propre espèce ( ce que personnellement je n’arrive pas à comprendre - je conseille aux thuriféraires de ces délires totalitaires de se supprimer eux mêmes s’ils ne supportent pas leur propre espèce.)

    L’homme est un mammifère omnivore.

    Pourquoi serait il le seul mammifère omnivore à ne plus avoir le droit de manger de la viande ?

    A quand la même interdiction pour les tigres, les panthères, les loups, les ours, et j’en passe ?

    C’est vraiment dommage de "massacrer" un juste combat en écrivant tant d’âneries.

    Qui n’a jamais réfléchi ici au fait que des tas d’animaux que tous ces généreux défenseurs semblent vénérer et à qui ils prêtent si facilement des traits de caractère humains sont eux mêmes des monstres si on jauge de leur monde à l’échelle de NOS VALEURS ?

    Le petit cha-chat tout mignon si sensible et adorraaablle et gnagnagna , vous l’avez déjà vu choper une souris ? Même pas pour forcément la manger mais rien que pour JOUER ? Ah c’est tellement mignon...

    La lionne magnifique qui explose sans pitié un bébé antilope pour filer à bouffer à ses rejetons.. Ahhh c’est beau...

    Le chien qui se tape sa "fille", sa "mère" , vive l’inceste institutionnalisé...

    Non mais franchement, vous vous rendez-compte de jusqu’où on peut aller comme ça ?

    Je suis absolument sidérée. Mais c’est encore la preuve qu’un combat juste peut être dramatiquement perverti (et donc, aller droit dans le mur) selon qui le mène et comment...

    Alors, oui, tout à fait d’accord pour la lutte contre l’exploitation industrielle des bêtes à viande, mais dans le sérieux, que diable - et j’ajoute que personnellement, j’avoue humblement ne pas avoir envie du tout qu’on me "condamne" à passer le reste de mes jours à ne bouffer que du tofu, du riz complet, et des algues. Mince alors.

    Présenter le monde des animaux comme strictement pur, beau, sensible, intelligent etc c’est vraiment du grand délire. Je me demande si ces gens là ont déjà vu des animaux sauvages dans leur milieu naturel ?

    Oui l’être humain était un animal ou quasi,mais c’était il y a longtemps. Nous avons des liens de parenté mais nous avons des spécificités, des qualités propres que n’ont pas eues les autres animaux, qui nous différencient, justement, des autres espèces.

    LL

    Ps : question pour un champion, que pensent tous ces beaux parleurs de la violence légitime qu’appelle la lutte des classes entre membres d’une même espèce ?

  • Enfin, vers la fin, quelques commentaires « sains » ! Attention de ne pas sombrer comme Brigitte Bardot dans ce que je résume souvent en un adage détourné : « qui aime trop les bêtes n’aime pas les gens ».

    Comme le dit LL, nous sommes omnivores, la nature nous a faits ainsi, et le mieux, c’est de l’assumer.

    Connerie que d’affirmer qu’un régime végétarien est bon pour la santé : même pour un vieux plein de cholestérol et perclus de goutte, il ne faut pas descendre en dessous de 150g de viande rouge par semaine.

    Mais surtout, c’est con limite criminel d’élever un gosse sans produits animaux. Tous ceux à qui on l’a infligé sont chétifs et toujours plus ou moins malades.

    Ce qui me fait le plus rigoler (tendance humour noir), c’est l’idée que si on est végétarien, on est intellectuellement supérieur. Je sais : sur Bellaciao, on rencontre plutôt mécréant et compagnie. Mais combien voit-on ailleurs de gens qui s’imaginent faire preuve de « spiritualité » en se privant de viande.

    J’ai envie de leur dire de se procurer le DVD du film « L’Odyssée de l’Espèce », ou n’importe quel bouquin de paléontologie. Ils y apprendront que s’ils ont un « esprit », c’est grâce au fait que leurs très lointains ancêtres, il y a quelques centaines de milliers d’années, étaient carnivores, voire charognards, ne sachant encore ni chasser ni faire du feu. Mais sans cet apport de protéines qui a déjà envoyé certains de mes lecteurs dégueuler aux chiottes, notre cerveau n’aurait pas pu se développer et l’être le plus évolué sur terre serait le gorille, puisque chimpanzés et bonobos, nos plus proches cousins, ne sont pas purement végétariens.

    Alors je sais bien, tout cela ne justifie pas certains modes inutilement cruels d’élevage et d’abattage. Mais de grâce, pas d’anthropomorphisme ! (Ouaiaiais !!!! J’ai réussi à l’écrire sans faute du premier coup !) Un animal à l’abattoir n’a aucune conscience de la mort. Un humain beurré comme un petit Lu et qui prend des risques inconsidérés sur le route a des millions de fois plus conscience de ce qu’il lui arrive qu’un animal de boucherie.

    L’immense majorité de citadins qui surfent sur Bellaciao ont-ils déjà vu des canards et des oies faire la queue pour se faire gaver ? C’est ainsi ! Le gavage consiste à profiter d’une tendance naturelle de ces animaux. Je pense que mes éventuels lecteurs ne sont pas tous des antialcooliques ni des antitabagiques acharnés. Si je leur offre une cartouche de clopes et une bonne bouteille, leur toubib pourra me traiter d’assassin, mais eux, ça m’étonnerait qu’ils me traitent de sadique. Et pourtant, contrairement aux oiseaux, il savent que leur addiction réduit leur espérance de vie. La cruauté n’est pas toujours là où on veut la voir.

    Re-humour noir : je vois déjà les végétariens de service rechercher mon nom et mon adresse pour venir me foutre un coup de fusil au nom de la bienveillance due aux êtres vivants. Tant il est vrai que, dans toutes les religions, même celles qui se croient laïques, le refus de l’animalité de l’être humain conduit tout droit à la bestialité.

    Ce qui est beaucoup plus inquiétant dans ces histoires d’élevage et d’abattage, c’est le gaspillage et la surproduction de viande. Combien d’entre vous, les non végétariens, j’entends bien, savent cuisiner les « bas-morceaux » ? Qui sait encore se régaler d’un ragoût, d’un pot au feu, d’un cœur de bœuf braisé,.......? Pourtant les moyens de cuisson modernes (cocotte minute, micro-ondes) permettent de les préparer sans y passer des heures. Qui sait apprécier un « as de pique » de poulet, avec les si bien nommés « sot l’y laisse » ? Mais non. Ces morceaux partent à la poubelle ou dans des pâtées pour chiens et chats, et on produit deux à trois fois trop de bêtes de boucherie, avec tout ce que cela comporte de pollution (lisiers, méthane, CO2), pour ne manger que des cuisses et des blanc de poulet, que des steaks et des rôtis.

    Il n’y a pas si longtemps, on a même fait bouffer ces « bas-morceaux » à des herbivores sous forme de farine, déclenchant l’épidémie de vache folle.

    Il serait temps qu’on devienne raisonnable, mais c’est comme pour tout : ce n’est pas faisable dans le cadre de la sacro-sainte économie de marché.

    A part ça, dommage que les intégristes végétariens ne réussissent pas à me dégoûter des bonnes choses. Je pèse quand même 15 kg de plus qu’à l’époque où je tenais le 30 km/h de moyenne à vélo (et quel vélo !).

    • " En Angleterre, un "végétarien" coûte au service national de santé anglais 12 340 livres (soit environ 19 818 €) en traitement hospitalier, sa vie durant : son temps d’hospitalisation représente 22 % seulement de celui d’un "ominivore", lequel coûte en moyenne 58 062 livres (92 994€)

      La mortalité par cancer est réduite de 40€ chez les sujets végétariens. Cela est vrai surtout pour les cancers du sein, du côlon et du rectum, mais aussi de la prostate. "

      Changez d’alimentation Prévention des cancers Professeur H. Joyeux Collection Ecologie Humaine François-Xavier de Guibert.

      L’excès de protéines animales n’est peut-être pas étranger à l’abaissement continuel de l’âge des règles chez les filles. 18 ans au début du 19 ème siècle, 16 ans à la fin du 19ème siècle, 14 ans au début du 20ème siècle et 12 ans à la fin du 20 ème siècle. D’autres éléments ont été mis en évidence. Sujet à approfondir donc.

      L’Homme n’est pas omnivore par nature. Il l’est essentiellement devenu par la force des choses pour survivre dans un environnement hostile. L’excès de protéines animales n’est peut-être pas étranger au développement de son troisième cerveau (cortex), il s’est fait aussi au détriment de son deuxième cerveau le système limbique celui des émotions...

      " Si tu manges de la viande, tue l’animal toi-même !"

      "Manger de la viande est mauvais pour la santé des animaux !"

    • L’Homme n’est pas omnivore par nature. Il l’est essentiellement devenu par la force des choses pour survivre dans un environnement hostile.

      Waow, alors c’est GÉNIAL on a une nouvelle thèse scientifique qui remet en cause tout ce que les plus grands savants ont découvert depuis des siècles, en direct live sur Bellaciao !!!

      Nan... c’te blague... Avant, Homo Sapiens Sapiens, on était herbivores, cousins des vaches, c’est ça ? Et c’est comme ça, grâce à cette nourriture de fffoliiieee, qu’on s’est développés sans doute ?

      De nbses recherches montrent que les autres espèces "d’homos" se sont éteintes en partie peut être aussi à cause d’un pb d’alimentation qui a freiné le développement du cerveau, des muscles etc.

      Et puis moi j’adore l’argument qui consiste à mélanger les effets des excès d’une consommation de protéines animales (et je fais partie des "omnivores" qui pensent qu’on bouffe à la fois trop et de trop de mauvaise barbaque alors...), et la consommation de protéines animales tout court !

      C’est pas sérieux ce genre de débats. Vraiment pas sérieux. Ça fait pas envie.

    • Que chacun reste ancré dans ses certitudes ! Omnivore ou pas,carences ou pas,
      la seule chose que me dicte ma conscience à moi,c’est d’éviter de donner ou de faire donner la mort,accompagnées de ces terribles souffrances qu’entraînent les élevages,les transports et les abattoirs.

    • La conscience c’est vraiment une affaire très personnelle.

      Personnellement jem e battrais toujours pour que l’exploitation et l’"abattage soient revus et corrigés, et bien, mais certainement pas pour des ayatollahs du poireau-tofu qui voudraient m’empêcher de manger un steak de temps en temps et d’en donner à mes enfants.

      Comme dit "Virginie" moi, le plaisir, ça me parle aussi beaucoup.

      RIKA ZARAÏ, SORS DE CE COOORRRPPPSSS !!!

    • oui,le plaisir aussi,c’est vraiment personnel,le mien c’est de ne pas cautionner
      les massacres et le sang versé

  • Eh, ça va pas bien non, on va pas nous dire maintenant ce qu’on doit manger quand même.
    Parce que là, excusez moi mais m......... on mange ce qu’on veut, ce qu’on peut et/ou ce qui nous fait plaisir.
    La notion du plaisir, moi ça me parle.
    Maintenant que les abattoirs soient revus et corrigés, certainement.