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J’ai comme l’impression que les socialos n’en ont rien a foutre de nos retraites.

une photo trouvée sur le blog du "comité de salut public"
– http://comite-de-salut-public.blogs...
Les salariés ne se sont pas abstenus de descendre dans la rue
Ce mardi, ils étaient 800 000 manifestants selon la CGT, 380.000 selon la police, pour défendre pour les retraites et l’emploi.
Après les régionales dimanche, salariés du privé et du public étaient appelés à descendre dans la rue ce mardi pour les retraites et l’emploi. Ils étaient 800 000 personnes selon la CGT, 380 000 selon la police. C’est loin du pic historique du 19 mars 2009 (3 millions selon la CGT), mais leaders syndicaux et politiques se disent plutôt satisfaits.
Dans le défilé parisien, Bernard Thibault de la CGT a jugé la mobilisation « plutôt bonne compte tenu de l’absence de communication des médias auprès du public sur la journée d’action et de certains éléments de division syndicale ».
Pour François Chérèque (CFDT), les syndicats attendent « un signe de justice sociale ». « Tout le monde sait très bien que le problème des retraites ne pourra pas être résolu tant qu’on n’aura pas fait chuter le chômage et remonter l’emploi dans ce pays. »
Et Jean-Luc Mélenchon du Parti de Gauche d’analyser : « Chaque fois qu’on met une tannée à la droite, cela fait remonter la mobilisation sociale et chaque fois que nous, nous prenons une tannée, la mobilisation descend » dans les manifs.
« A La Poste, on voit les conséquences de la crise au quotidien »
A Paris, le cortège a rassemblé 31.000 personnes selon la police et 60.000 pour les syndicats. A voir, notre galerie photo avec les témoignages de profs, infirmières, greffier, postier, retraités ou chômeurs, croisés entre la place de la République et Bastille.
A voir aussi, la vidéo : La manif des slogans
(Photo prise dans les rues de Rennes, ce mardi. Crédit : PHA)
A Rennes, la mobilisation, avec ses 5000 à 10 000 manifestants, a d’abord surpris les leaders syndicaux, eux-mêmes. « Quand on cible les vrais problèmes des gens, il n’y a pas d’abstention. Les vrais enjeux ils sont là ! », s’est réjoui Patrice Forgeou, secrétaire adjoint de l’union départementale CFDT en Ille et Vilaine. Le reportage dans les rues de Rennes, ici.
A Bordeaux, ils étaient entre 8.000, selon la police, et 20.000 selon les syndicats, à défiler ce matin dans le centre de Bordeaux pour « imposer d’autres choix ». Un cortège, de plus de 3 km de long, qui s’est étiré au rythme des chansons, du type « il y a longtemps que l’on sème, nous voulons récolter ». A lire sur LibéBordeaux, le témoignage d’une prof en colère, travaillant dans un établissement qui accueille des élèves lourdement handicapés.
« Quand on voit les similitudes entre la gestion du public et celle du privé, on ne peut être que déçu. Je ne suis pas entré dans la fonction publique pour assister à cette dérive », explique Patrick, un agent du ministère de la justice, croisé à Orléans. Reportage et vidéo ici.
A Toulouse, ils étaient entre 9.000 et 18.000 manifestants, selon la police et les organisateurs. « Une bonne manif de reprise du mouvement social », juge un syndicaliste (la suite ici).
Du monde aussi dans les rues de Lille (6 000 pour la police, 8 500 pour les organisateurs). Et surtout ouvriers et enseignants ensemble. Un point commun, la dégradation des conditions de travail. Témoignages à lire sur LibéLille.

(Photo : Pascal Rossignol/Reuters)
10 à 15.000 manifestants à Lyon. Entre 12.000 et 50.000 à Marseille, dont les salariés de Fralib (groupe Unilever) fabriquant des sachets de thé Lipton, qui entament leur troisième semaine de grève pour obtenir des hausses de salaires. Des cortèges aussi à Tarbes (de 4 à 9.000 selon les sources), à Nantes (de 9.000 à 25.000), Rouen (de 10 à 15.000), Caen (de 10.000 à 12-17.000), Le Mans (de 7.000 à 30.000), Tours et Le Havre (5 à 5.500 selon la police, bien plus selon les syndicats), 5.000 à Grenoble, plus de Clermont-Ferrand, selon la police.
http://www.liberation.fr/societe/0101626275-le-tour-de-france-des-manifs
Messages
1. Les salariés ne se sont pas abstenus de descendre dans la rue, 24 mars 2010, 08:37, par dawa
une journée de grève c’est du pipi de chat, ça sert à rien, 300000, ou 800000, c’est du pareil au meme, une journée( haha..), et le lendemain, une main devant et l’autre derrière, la queue entre les jambes, allez hop, tous au boulot, jusqu’a la prochaine au mois de mai(il fait beau)sur que nos dirigeants rigolentet la grève generale, c’est quand, on attend la cgt et fo, je suis mort de rire, ciao a tuttiç dawa
1. Les salariés ne se sont pas abstenus de descendre dans la rue, 24 mars 2010, 09:18
tu proposes quoi ? je suppose que tu as bossé hier...
2. Les salariés ne se sont pas abstenus de descendre dans la rue, 24 mars 2010, 11:30, par dur dur
moi je propose des équipes de porte à porte il faut casser le discours libéral et la parole du JT de 20.00h
3. Les salariés ne se sont pas abstenus de descendre dans la rue, 24 mars 2010, 11:44
Oui ça c’est juste ! Porte à porte à la sortie des taules, des usines, du pôle emploi, des CAF etc... comme dans les années 70
4. Les salariés ne se sont pas abstenus de descendre dans la rue, 24 mars 2010, 20:13, par Copas
Le porte à porte à l’ancienne, c’est bien et c’est toujours valable de discuter directement avec les voisins.....
Si les digicodes ne t’empêchent pas le contact.
Prends une rue normale d’une ville normale d’un quartier populaire normal (on mettra Neuilly de côté, quoique).
Dresses la liste dans cette rue des adhérents et sympathisants de partis de gauche et syndicats, associations progressistes, demandes de contacts des uns et des autres.
et prends contact par cette proximité avec ceux-ci pour un combat utile, etc...
Complémentaire à d’autres façons de militer...
5. Les salariés ne se sont pas abstenus de descendre dans la rue, 25 mars 2010, 13:11
OUI ! refaire ce travail de communication directe qui a été très malheureusement abandonné !
Et monter une coordination, puisqu’on ne peut pas faire confiance aux syndicats.