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Comment ne pas le mentionner avec l’actualité sur le courage de la liberté d’expression ?

par CAPJPO-EuroPalestine

Publie le mardi 13 janvier 2015 par CAPJPO-EuroPalestine - Open-Publishing

Le 1er caricaturiste à être assassiné pour ses dessins de "Liberté d’expression" est un palestinien Naji al-Ali. Assassiné par les sionistes israéliens du Mossad à Londres le 22 juillet 1987 d’une balle dans la tête. Il succomba à ses blessures le 29 août 1987.

Il est Mort en résistant, mort en luttant avec ses dessins, mort pour ses dessins qui pouvaient être compris par le monde entier. Mais surtout mort pour sa liberté d’expression. Il a reçu plusieurs récompenses au moyen orient en tant que caricaturiste Arabe. Mais aussi après sa mort, sa famille a reçu le prix du "Golden Pen Of Freedom" par l’association mondiale des journaux qui le décrit comme l’un des plus grands caricaturistes depuis la fin du 20ème siècle.

Le fameux dessin que Naji créa, représentant "Hanthala" : Un petit garçon âgé de 10 ans, correspond à l’âge qu’avait Naji lorsqu’il avait quitté la Palestine, pieds nus comme tous les enfants qui habitent les camps de réfugiés palestiniens. Hanthala est situé dans l’espace sans terrain d’appui car il est sans patrie. C’est le témoin de la tragédie de tout un peuple, le personnage est toujours dessiné de dos, visage tourné vers la Palestine, et les mains croisées en signe de refus des solutions proposées par les États-Unis et leurs alliés arabes et israéliens. Il ne devrait dévoiler son visage que le jour où la dignité arabe ne sera plus menacée et où il retrouvera sa terre natale la PALESTINE.

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