Accueil > Comores / France : GENOCIDE MODERNE

Comores / France : GENOCIDE MODERNE

Publie le vendredi 21 novembre 2008 par Open-Publishing
1 commentaire

Dans la nuit de jeudi 20 à vendredi 21 une embarcation transportant une trentaine de personnes a fait naufrage en tentant d’entrer clandestinement à Mayotte. Un bilan provisoire fait état de 4 morts et 17 disparus.
L’an dernier à la même période (dans la nuit du lundi 3 au mardi 4 décembre 2007), une collision entre une embarcation de clandestins comoriens aux Comores) et une vedette de la police aux frontières, avait fait deux morts et 8 disparus dans le lagon de Mayotte. Certains rescapés avaient parlé d’ « accident » provoqué par la police française. La CNDS (Commission nationale de déontologie de la sécurité) avait demandé qu’il soit "impérativement mis fin, conformément à la réglementation internationale en vigueur à la pratique de la navigation en dérive feux éteints lors des opérations de recherche en mer des clandestins".
On ne saura jamais la vérité. L’enquête est passée aux oubliettes. Des « sous-hommes » viennent de tomber sous le silence de la communauté internationale.
En droit international, Mayotte fait partie des Comores. La France est « clandestine » à Mayotte.
Lors de son voyage aux Comores en 1990, le Président François Mitterrand avait déclaré que la loi séparant Mayotte des Comores est une loi injuste.
Michel Rocard, lundi 28 janvier 2000, à Washington : “au regard du droit international, l’administration de Mayotte par la France est illégale”
Le comorien renvoyé tentera toujours de revenir. Il est ainsi exposé à une mort certaine. On appelle cela « génocide moderne ».

F. NAIL

Messages

  • les anjouannais, grand comoriens, et mohéliens sont des pleureuses, faute de s"étre trompé en prenant leur indépendance, ils le regrettent à présent et se retrouve dans un trou de misére moroni= enfer, donc pour ne pas périr seule i veulent appelé les mahorais à les rejoindre. Pathétique.
    Comme toi F. Nail pourquoi, tu rentres pas aux comores si t’aime tant que ca ton pays.