Accueil > D’où vient la vitalité de notre omniprésent souverain ?

D’où vient la vitalité de notre omniprésent souverain ?

Publie le jeudi 3 janvier 2008 par Open-Publishing
3 commentaires

de Michel MENGNEAU

Lors des dernières présidentielles, je m’étais interrogé pour savoir comment les candidats pouvaient tenir le coup en courant dans tous les sens afin de remporter la course à l’Elysée. Naturellement le dopage m’était venu à l’esprit, d’autant que celui qui gagna avait fait preuve d’une suractivité douteuse. Une fois son triomphe officialisé, on aurait pu croire qu’il aurait fait preuve d’un peu de quiétude. Que nenni, il est encore plus surexcité et agité qu’auparavant. Y-a donc un truc ! Cependant…

Sarkozy, cet homme est fatigué ! Les cernes sous les yeux, le creusement des rides, des propos indécents et des rictus incontrôlés sont les témoins de la mauvaise santé du personnage. On a longtemps pensé à un abus de céciliate. Mais ce médicament sous forme de pilule douce amère était trop inconstant pour être totalement incriminé. D’ailleurs il a abandonné ce genre de prescription. Depuis il utilise des lampes à ultraviolet pour sembler toujours en forme. Cela se voit, du moins le fait-il voir dans tous les médias, il est de plus en plus bronzé. Mais ce n’est pas le fait du hasard, au su au vu de tout le monde il s’offre des séances de bronzage avec une grande bringue « murmureuse », l’effet est incontestable « Car l’a Bruni ».

Pourtant çà ne suffit pas…

Car le regard parfois terne, suivie de période où l’on constate que c’est celui d’un halluciné, laissent à croire qu’il prendrait plutôt des drogues plus fortes et de façon plus régulière que de la céciliate périmée. Nous n’irons pas jusqu’à prétendre qu’il s’approvisionne en produits auprès du cartel de Medellin, se serait probablement exagéré. Quoique, dans le monde qui est le sien, la séparation avec des milieux peu recommandables, mais aux chiffres d’affaire non négligeables, n’est pas toujours très bien définie. Nous ne citerons que les banques, dans lesquelles circulent de l’argent blanchi, mais pas propre pour autant.

Ayant plus ou moins écarté cette hypothèse, c’est en feuilletant un dictionnaire des champignons que nous est venu la réponse sur les causes de l’état déliquescent du personnage.

Cela vient d’une pratique peu commune utilisée par ses lointains ancêtres pour s’envoyer en l’air. Dans des temps reculés, les peuplades d’Europe centrale faisaient sécher un champignon bien déterminé, puis une fois le séchage terminé ils en mâchaient des petits fragments qui les transportaient dans un monde hallucinatoire. Nous avons omis volontairement de précisé le nom de ce champignon hallucinogène de peur que des inconscients, des faibles d’esprits, accros des paroles, des façons de faire démagogiques du fac-similé de Napoléon veuillent sans discernement suivre son exemple. Nous rajouterons, pour les dissuader totalement, que ce champignon dans un premier temps donne mal à la tète, puis rend à moitié fou, et si on a le malheur de l’avaler c’est l’issue fatale en perspective.

Non content de faire des rêves d’hallucinés par des moyens qui peuvent paraître à certains naturels, il se shoote définitivement en complétant avec un machin conseillé par son frère : de la médef., pure et dure de surcroît. On connaît bien les propriétés de ce produit, allant de paire avec la méthode utilisé précédemment il favorise la folie des grandeurs, exacerbe le goût du gain, tout cela en supprimant radicalement chez l’individu un quelconque respect du bien-être social. Moralité, y-a vraiment pas de quoi être rassuré !!

En fait, son frère n’était qu’une sorte de petit pourvoyeur. Donc pour mieux s’alimenter en Cachets, il va s’approvisionner directement chez les grands pontes regroupés en cartel, « le Cartel de Médef-ine ». Suivant l’expression consacrée, il vaut mieux s’adresser au bon dieu qu’à ses « seins ». A ce propos, ce syndicat de personnes douteuses pose problème car vis-à-vis de lui la Mafia fait figure d’entreprise artisanale. Effectivement, le soi-disant cartel est comme les religions reconnues officiellement, il a pignon sur rue, tandis que les autres sont dans la clandestinité, comme quelques religions parallèles et rigolotes qui ne sont pas en odeur de sainteté auprès du Vatican. Il va de soit que lorsque je parle de religion rigolote certaines me viennent tout de suite à l’esprit, comme la congrégation des entarteurs, par exemple.

Par contre cette association de malfaiteurs n’est nullement discriminatoire envers la gente puisqu’ils ont laissé les commandes à une dame, du moins une demoiselle, Miss Parizot. Et oui, il existe encore des demoiselles dont on ne serait mettre en doute l’intégrité physique. Cela ce comprend aisément, imaginez des soupirants qui après avoir fait des galipettes avec un institut de sondages ce retrouvent au matin avec des statistiques sur leurs performances de la nuit. Y-a de quoi en rebuter plus d’un ! Par contre la sondeuse est balaise, car à défaut de tripoter des choses naturelles, elle tripote les résultats des enquêtes d’opinion pour ne pas perdre son principal client, de surcroît son meilleur V.R.P. et surtout excellent avocat pour défendre la cause de son cartel.

La donzelle eut pu rester garde meubles, mais son caractère acrimonieux et profiteur en a fait une négrière. Certes elle n’est pas issue du Quai de la Fosse à Nantes d’où il y a encore deux siècles les grandes familles d’armateurs expédiaient leurs bateaux sur les côtes africaines pour récupérer de la main d’œuvre à bon marché qu’ils convoyaient alors vers les champs de coton et de canne à sucre de Louisiane et des Antilles, etc. Mais comme ce genre de pratique est l’apanage des gens qui veulent faire fortune sur le dos des autres, la miss faisant partie de cette catégorie, elle applique donc en toute impunité se genre de principe sans aucun remord. Moralité, il va falloir travailler plus pour gagner moins, pendant que l’exploiteur aura le regard rivé sur les cadrans de la bourse en guettant le « bling-bling » des royalties résultant d’une rentabilité maximum. Rentabilité non pas obtenu à coups de fouet ainsi que ce le fut jadis, mais avec des méthodes plus subtiles et néanmoins aussi efficaces, des brimades, des menaces de licenciement, de flexibilités complètement irréalistes, pour conclure : Ferme-la, et bosse ! Il parait que cela s’appelle de l’esclavage…

Voilà où et auprès de qui notre guignol national va puiser son énergie. Mais comme cela ne lui suffisait pas il arrose le tout avec de l’eau bénite conditionnée dans la pensée fangeuse de Charles Maurras.

Peuple lève toi !

Messages

  • Bravo, ce texte m’a bien plu, et ce génie là, n’est pas coté à leur bourse !
    SAd

    • sous medoc ... et assez costaud ...
      des jours avec et des fenêtres therapeuthiques ... car des jours secoues de tics (les fenêtres) et des jours oeil vague et épaule terne .... sous medoc

      Peut-être comme les cyclistes ?
      La selle c’était son truc.
      Il court plus ? Ya plus de reportage ... ca me manque son beau mollet !

    • Il n’est pas à exclure que sa vitalité provienne du soutien massif que lui accorde les débiles

      Le 4 septembre 1996, le premier ministre Alain Juppé avait déclaré d’après L’Express : « Il faut parfois mettre entre parenthèses les droits de l’homme pour protéger ceux de l’enfant » . Dans un article du 18 octobre 2006, Isabelle Debergue souligne que la même source faisait déjà état d’une déclaration de la future experte de l’affaire d’Outreau, Marie Christine Gryson, affirmant en tant que "psychologue, responsable d’une structure d’accueil aux victimes" à Hazebrouck (Nord) : "nous disposons d’une méthodologie fiable pour déterminer si un enfant dit la vérité".

      Il s’agissait de l’affaire d’Outreau. Le seul nom du ministre suffit à évoquer toutes les largeurs dont bénéficient les corrompus.
      En vertu de quoi , cette année 2007, le peuple de France se sera majoritairement prononcé pour :
       l’intrusion de la présomption de discrimination
       la présomption de culpabilité

      Quels démocrates !

      régis duffour