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Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque"
Publie le jeudi 26 mai 2011 par Open-Publishing7 commentaires
Traduction partielle, texte original intégral en espagnol en-dessous :
"(...) Et que faisons-nous ? Qu’avons-nous fait pour profiter de cette force énorme, de cette immense rage rebelle de dizaine de milliers de personnes disposées à venir sur la place et à défier illégalismes et ultimatums ? Avons-nous peut être essayé d’occuper la banque d’Espagne qui est à 3 minutes à pied de la place, ou le siège de Telefonica à deux rues de distance, ou aller en masse crier un peu face au Palais de la Moncloa (siège principal de la présidence de l’État) ?
Non. Nous avons créé mille et une commissions et sous-commissions. Ateliers artistiques, concerts, câlins gratuits et conseils pour être bien avec soi-même. Aujourd’hui mardi 24 mai au matin, je vais sur internet pour voir les horaires des assemblées et commissions du jour et je ne trouve rien de cela, à la place, je trouve les horaires pour la performance des femmes enceintes, pour la réunion des clowns et l’atelier des fours solaires.
Pardon ? Toutes ces choses peuvent être bien, mais ce n’est pas le moment. Pas du tout. Maintenant il faut lutter et ne pas gâcher la force accumulée. Ce qui s’est passé ces derniers jours était une insurrection et c’est une grave erreur d’avoir canalisé et domestiqué cette énergie transformatrice en de simples activités que l’on peut trouver dans n’importe quel centre municipal. Ce que la police et le gouvernement n’ont pas réussis à faire, nous sommes en train de le faire nous-mêmes, inconsciemment je voudrais le croire, : tuer la révolte, l’endormir, la rendre ennuyante, la disperser, en définitive la rendre inoffensive pour le régime.
Le Gouvernement national, après avoir vendu son âme à la banque, est plus faible que jamais, pris dans une énorme crise politique, avec des querelles internes et une grosse pression dans son propre régime pour qu’il démissionne. Parallèlement, l’énergie populaire, l’esprit rebelle des gens, la haine et le mépris envers les banquiers et les politiciens est à son niveau le plus haut depuis plusieurs années. C’est le moment d’être audacieux et d’aller de l’avant, la situation nous permet beaucoup plus de marge pour attaquer, pour forcer, pour faire pression. Nous tenons la carte déjà gagnée de la force symbolique et physique de la Puerta del Sol et des autres places du pays, ne la perdons pas, utilisons-la pour attaquer, pour gagner, et non pour passer un bon moment en regardant du cirque.
P.-S. : Bien sûr n’oublions pas les détenus. Qu’est-ce que ca veut dire une commission qui a engagé des discussions avec des hauts fonctionnaires de la Délégation du Gouvernement sur la suite du campement, quand il y a 24 camarades détenu(e)s et tabassé(e)s sous de fausses accusations ? Qu’ils retirent d’abord les charges contre eux, ensuite, au mieux on les laisse s’asseoir sous une tente pour qu’il nous racontent, avec lumière et sténographes, ce qu’il en est. Ce sont des professionnels du mensonge, du paternalisme et de la menace mafieuse, on ne peut pas laisser deux gosses à peine sortis de la fac négocier en privé avec ces gens."
TEXTE INTEGRAL EN ESPAGNOL
Más indignación y menos circo. Autocrítica sobre acampada en Sol
Escribo esto no como reproche sino como autocrítica constructiva y llamada de atención. El movimiento 15M, a fuerza de sacrificios y esfuerzos ha conseguido un éxito sin precedentes y demostrado una capacidad de organización técnica impresionante. Por eso mismo no podemos desaprovechar ese éxito y esa energía, y creo que lo estamos haciendo. Esto está escrito en Madrid, pero sé que vale también para, al menos, varias de las acampadas de otras ciudades.
Tras los palos y detenciones del día 15 y el desalojo del día 16, miles y miles de personas sin experiencia militante inundaron Sol. Reocuparon la plaza más emblemática de España desobedeciendo las leyes del Estado, invadieron Sol para volcar su rabia, su indignación y su odio contra un régimen mafioso de políticos y banqueros.
El régimen ya no podía, ni puede, aplastarnos por la fuerza pues los disturbios serían monumentales y desastrosos para un gobierno en crisis como este. Además, en esta situación la represión haría crecer exponencialmente el movimiento. El enemigo estaba a la defensiva, desbordado y a verlas venir. Su única opción era y es apaciguarnos con mano izquierda, contenernos, entretenernos, influirnos jugando a poli malo poli bueno, hacer que seamos nosotros mismos los que abandonemos “su” plaza y que encima creamos que la decisión es nuestra. No pueden destruirnos a palos, pero ven que pueden influirnos para que nos volvamos inofensivos.
¿Y qué hacemos nosotros ? ¿Qué hemos hecho para aprovechar esa enorme fuerza, esa inmensa rabia rebelde de decenas de miles de personas dispuestas a acudir a Sol a desafiar ilegalizaciones y ultimátums ? ¿Hemos quizás amagado con ocupar el Banco de España que está a 3 minutos andando de Sol, o la sede de la Telefónica a dos calles de distancia, o ir en masa a gritar un poco frente a La Moncloa, todo recto por Gran Vía y Princesa para arriba ? No. Hemos creado mil y una comisiones y subcomisiones. Talleres artísticos, recitales, abrazos gratis y consejos para encontrarte a ti mismo. Hoy Martes 24 de Mayo por la mañana entro en la web para ver horarios de asambleas y comisiones del día y no encuentro nada de eso, en su lugar encuentro los horarios para la performance de embarazadas, para la reunión de clowns y el taller de hornos solares. ¿Perdona ? Todas esas cosas pueden estar bien, pero no tocan ahora. Para nada. Ahora toca luchar y no malgastar la fuerza acumulada. Lo de días pasados fue una insurrección y es un gravísimo error el haber encauzado y domesticado esa energía transformadora en simples actividades que puedes encontrar en cualquier centro municipal. Lo que no pudo hacer la policía y el gobierno lo estamos haciendo nosotros, quiero pensar que inconscientemente : matar la revuelta, dormirla, aburrirla, dispersarla, en definitiva hacerla inofensiva para el régimen.
El Gobierno nacional, tras vender su alma a la banca, está más débil que nunca, inmerso en una enorme crisis política, con rencillas internas y con una enorme presión dentro del propio régimen para que dimita. Al mismo tiempo, la energía popular, el espíritu rebelde de la gente, el odio y el desprecio hacia banqueros y políticos está en su nivel más alto desde hace muchos años. Es momento de ser audaces y de ir para adelante, la situación nos permite mucho margen para atacar, para forzar, para presionar. Tenemos la carta ya ganada de la fuerza simbólica y física de la Puerta del Sol y del resto de plazas del país, no la perdamos, usémosla para atacar, para ganar, no para pasar un buen rato viendo el circo.
PD. Por cierto, no olvidemos a los detenidos. ¿Qué es eso de que una comisión ha entablado conversaciones con altos cargos de la Delegación de Gobierno sobre la continuidad de la acampada, cuando hay 24 compañeras y compañeros detenidos y apaleados bajo acusaciones falsas ? Primero que retiren los cargos de los compañeros, luego a lo mejor les dejamos sentarse bajo una carpa a que nos cuenten, con luz y taquígrafos, de qué van. Son profesionales de la mentira, el paternalismo y la amenaza mafiosa, no podemos dejar que dos chavales recién salidos de la facultad negocien nada en privado con esa gente.
Messages
1. Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque", 26 mai 2011, 10:44, par Alain Grizzly
Depuis le début il y en a qui veillent au grain puisque le mouvement n’est pas tombé du ciel, ça fait des années que les jeunes (et moins jeunes) sont dans la merde, le miracle espagnol est un mensonge médiatique, mes ami(e)s et familiers sont dans le caca depuis des décennies. L’éducation et la santé se sont arrangés mais le reste est resté un foutage de gueule.
Ce que nous pouvons comprendre d’ici, suite aux infos qui arrivent, c’est qu’il y a plusieurs collectifs qui ont PREPARE le mouvement du 15M , les deux principaux sont JUVENTUD SIN FUTURO et DEMOCRACIA REAL YA. Le premier est très à gauche, géré par des étudiants sans trop de moyens financiers, proches d’Indymédia Madrid et d’Izquierde Anticapitalista alors que le second est plutot au centre si ce n’est à droite, avec plus de moyens financiers (parce des professeurs et communicant professionnels y participent).
Grosso modo le premier a invité tous les militant(e)s de gauche et d’extrême gauche à s’investir alors que le second a passé son temps à se dire apolitique, ce que je ne sais pas c’est comment l’alchimie a pu prendre entre les deux courants, peut-être qu’ils ont été débordé par l’affluence et que la question "qui de la poule ou de l’oeuf a commencé" n’est plus à l’ordre du jour.
1. Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque", 26 mai 2011, 12:53, par Alain Chancogne
Enfoncer quelques portes ouvertesn’est pas forcèment inutile quand"ça pousse" en face pour les refermer.
Que nous dit ce communiqué :
Voilà qui mérite attention.
J’ai eu hier au téléphone un militant d’un groupe indépendantiste d’extrème-gauche.., qui se trouvait chez son père, à Gérone, camarade et ami cher, ancien dirigeant des CCOO , lequel me donnait son opinion.
J’ai pris le"jeune" en ligne : 36 ans, technicien télécommunications qui participe aux rassemblements.
Il est épuisé, amer, et il en veut à "tout le monde" !
– Aux "gens" qui seraient trop "cons" pour faire passer la Révolte sociale avant l’angoisse du futur Barça-Manchester de samedi soir
"Son "culés" ,no poden sé revolucionaris, collons" !
Approximativement :
(IL sont supporters du Barça -culé est le surnom des "fans" du FC-Barça-Cela vient du mot "culs.".Ceux des spectateurs qu’on voyait de la rue sur les gradins du haut dansl e premier stade de Barcelone-ils ne peuvent pas être révolutionnaires, putain"
– A la "gauche" qui n’est "bonne qu’à flatter la contestation qu’elle a déclenchée en se pliant aux exigences du Capitalisme "
– Aux "communistes" qui ne "comprennent rien" et viennent avec les syndicats , faire de la"retape"(sic) :
"Alain , aquets son les putes del moviment"(inutile de traduire)
– Aux "bobos" qui manifestement ,se font plaisir de sous commissions"de merde en branlettes de bourges"(re-sic) et -je le cite- qui jouent àMai68 à la française genre Nanterre et Sorbonne-Odéon.
Je l’ai écouté patiemment
Sa hargne me confirme -y compris par les termes de ce communiqué en ligne, qui sent la rage des "desespérés", que tout est dit dans le nom dont s’affuble le MP15
INDIGNADOS !
C’est de la contagion"HESSEL"
.
C’est bien, c’est juste.
Mille fois plus rassurant un mouvement ou on se"lève" en trébuchant que la génuflexion individuelle et/ou collective.
Mais qu’on me pardonne.
Je ne partage pas la suite :
"
Cet automatisme n’existe pas !
Les Camarades "indignados" et Hessel ne m’en voudront pas de plonger dans ce que d’aucun appellent le"dogmatisme archaïque"
Hessel aurait du, hier au soir, dans l’émission de G.DURAND entendre l’ex"trotskyste" ...Moscovici conseiller à ce cher philosophe bien en cour dans l’Humanité , Michel ONFRAY
"Si vous vous intéressez à Marx, allez aux Etats UNIS..ils est omniprésent dans les analyses etc"
( verbatim approximatif)
Il ne suffit pas pas comme S.H et ceux qui brandissent des pancartes anti-pourris duPognon", "patrons-voyous", etc etc d’écrire :"
ref :
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-5-preceptes-d-indignez-vous-de-stephane-hessel_948929.html
Tant que, dans l ’indignation qui parcourt ce monde , le courant révolutionnaire avec un PARTI de classe, communiste donc , (au sens qu’ici nous donnons à ce mot magnifique , pas à sa caricature , stalinienne d’hier, tragicomique du"frontisme mélanchonien d’aujourd’hui), ) ne viendra pas SANS prétention "léniniste"de"DIRIGER" mais avec le souci de mettre en débat le Communisme autogestionnaire de caractère inédit-à "construire" ensemble ! - alors, le "juste partage des richesses" restera aussi vain , incantatoire, que le cierge qu’ on allumerait dans les favellas de Rio , ou le tapis sur lequel on en appellerait à Allah dans Gaza surGlane, afin que le Bonheur triomphe au Brésil ou en Palestine.
Il y a un moment ou Jaurès se doit d’être re-cité :
Le courage , c’est de dire aux INDIGNADOS, fraternellement , solidairement mais franchement !
«
Arrêtez svp de chercher midi ià 14h
Ce qui ne porte pas en perspective construite dans de"l’ en-COMMUN" du Communisme , c’est voué à de la désillusion massive ! »
Ceci précisé, et à cette heure, rien n’est joué
Puisque dans les rangs des"indignados" la question des "pourquoi " en termes de "limites" de cette action est d’un débat qui engage ceque V.Illitch posait dans"QUE FAIRE"..
.Ce débat n’aurait jamais eu lieu sans ce mouvement des places d’Espagne
.
Il faut(excusez-moi) dé-..placer les termes du débat..pour mener à son terme le processus-"Indignation-Colère- REVOLUTION"
Cordialement
A.C
2. Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque", 26 mai 2011, 15:13
De "Stéphane Hessel" à "roulés sous les Hessel" ?
;-)
LL
3. Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque", 26 mai 2011, 19:04, par A.C
:))
C’est pas parce que certains y voient contagion des révoltes du Maghreb..pour que cela te conduise à confondre paella et couscous..
biz
A.
4. Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque", 26 mai 2011, 19:12, par richard PALAO
je n ’ai qu’un mot à dire ALAIN : bravo !!!
et ce n ’est pas pour te cirer les pompes , tu sais que ce n est pas mon genre ; mais même si j ai observé avec sympathie le mouvement des INDIGNES du 15 M , ça commence à me gonfler sérieusement cette multitude d ’indignés qui pour la plupart comme HESSEL vont aller voter PS et donc participer au maintien d’un système qui crée les injustices qui les "indignent" .
5. Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque", 27 mai 2011, 10:10, par Cop
Bien sur qu’il y a un lien avec les révolutions en cours au Magreb. Bien sur que ces poussées populaires ont été et sont des encouragements à la résistance en Europe.
Qu’il y ait des forces qui sachent utiliser ces aspirations en Europe pour les asexuer tout en les accompagnant c’est une autre question.
Là, il y a ceux qui trouvent moyen de se trouver au bon moment au bon endroit avec un flair suffisant pour s’y glisser et glisser leurs discours politiques (je pense là à des forces bobos d’accompagnement dont on reconnait les faux nez dans les mots utilisés pour "mobiliser") ET il y a l’irruption de dizaines de milliers de personnes dans la danse, évènement qui transforme le contenu, fait glisser l’enjeu.
Pour passer à l’étape supérieure il faudrait l’irruption des travailleurs en tant que travailleurs par des grèves et des occupations, des quartiers populaires par l’auto-organisation.
Et effectivement du contenu beaucoup plus anticapitaliste .
C’est possible, et c’est nécessaire pour élargir .
Mais ça....
Il est sur qu’il y a une tendance qui renacle devant les obstacles et cherche à retourner vers son nombril. Normal, pour avancer il faudra passer dans le dur, se faire pousser des griffes et des dents. Pour l’Espagne.
Pour la France, la marque de fabrique que certains essayent de mettre d’emblée à ce qui est pour l’instant l’ombre d’une ombre d’un mouvement des verrous et des limitations, une espèce de soap opéra guimauve de la rébellion, pour le faire merde in french.
A vrai dire, en décryptant certains textes j’ai cru reconnaitre des sabirs que l’on a croisé ces derniers temps comme pour l’anniversaire du vote de 2002, etc...
Pour tout dire ça donne comme l’impression de vouloir être socialo-compatible.
Ce n’est pas en faisant plus mou qu’on fait plus large, ce n’est pas en faisant plus large qu’on fait obligatoirement plus mou.
Mais est-on obligé de laisser cela ainsi alors qu’il existe un potentiel non négligeable de rébellions en France ?
Ne sommes nous pas également "coupables" de ne pas faire nous même les cahiers de mobilisation autrement qu’en langages doctrinaires et nombrilistes ? Avec ceux qui veulent en découdre évidemment, je ne parle pas là de culture hors-sol.
Dans la péninsule ibérique il y a plusieurs plate-formes qui existent pas seulement concurrentes mais également géographiques et avec des contenus fort différents, les unes sont comportent beaucoup de flous et les autres ont pas mal d’éléments intéressants.
Au delà de tout cela, ce sont bien des cahiers de mobilisation et de revendications qu’il nous faut rédiger tapant et proposant de supprimer ce qui fait le malheur des peuples : la bourgeoisie, le capitalisme, les banques, les actionnaires, leurs hommes et femmes politiques de paille. Mettre tout sous contrôle de la classe populaire, en socialisant ce qui a été privatisé par les potes de Sarko, DSK, Zapatero, la Zapatera, etc...
Il faut aller vers ce qui est insupportable au capitalisme. Car quelque part le capitalisme là est franchement insupportable, et ces agressions se font de plus en plus géantes et féroces.
Les dernières agressions en Grèce comme en Espagne dépassent l’entendement pendant que la bourgeoisie et le capital s’engraissent du fruit de ces rapines géantes baptisées austérité ou rigueur.
Ces agressions vont devenir encore plus terribles et on n’a rien vu encore.
Il y a et il y aura des rébellions, des résistances, des révoltes et des révolutions, comme il y a des risques de fascisme.
Mais les secousses populaires vont être de plus en plus fortes et seule notre niaiserie, la lourdeur de nos pas, nos paranoïas nées de longues et répétées défaites, nous empêche de trouver notre chemin là dedans pour trouver des portes sur le printemps.
6. Espagne : autocritique d’un participant "Plus d’indignation et moins de cirque", 27 mai 2011, 10:31
En en même temps quand tu lis ce genre de choses sur la page Facebook d’un des "animateurs", t’as tout pigé à leur concept de "révolution (faussement) Bisounours".
Aux chiens , aux chats, aux 30 millions d’amis.....
Peu importe que tu sois capitaliste ou pas si tu es dans la mouvaaannnccceee....
Ils devraient appeler ça le "mouvement ripolin" ou, comment, avec l’aide de qq vieux routards de la politique politicienne française type Mélenchon etc, on essaie de repeindre la démocratie bourgeoisie qui pourrit par la tête et par les pieds, sans trop écorner le capitalisme...
On ne sera pas méchants, on ne leur fera pas remarquer que :
1. Parmi les altermondialistes aujourd’hui se trouvent BCP de FACHOS.
2. Parmi les "républicains" aujourd’hui se trouvent BCP de FACHOS.
3. Parmi les "écolos" se trouvent BCP d’anticommunistes ( de tous poils) viscéraux.
4. Les lambertistes ont toujours été les ennemis des travailleurs (on les voir à l’œuvre logés dans FO etc)
Bref.