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FESTIVAL DES COLLINES : TEMOIGNAGES SUR LE HARCELEMENT POLICIER
Publie le vendredi 15 septembre 2006 par Open-Publishing3 commentaires
Festival des Collines
Pour ceux qui n’auraient pas encore signé la pétition, il est encore temps, faites circuler autour de vous, d’autres festivals ont subit ce genre de harcèlement, demain c’est le votre ou votre concert qui peut ètre saboté par les forces de l’ordre (!!!) ...(lire : farce de l’ordre)
RAPPEL DES FAITS
Barrages nauséabonds
Le jeudi 10 et le vendredi 11 aout a été déployé un dispositif policier des plus importants jamais mis en place dans le département du Var pour une manifestation culturelle.
Tous les accès au site du festival ont été filtrés à 100% par le biais de barrages de contrôle équipés de chiens. Un dialogue instauré en amont de la manifestation entre l’organisation et les forces de l’ordre a débouché sur la promesse que le contrôle ne concernerait que les « gros poissons ». Le résultat est tout autre : nous avons reçu de nombreux témoignages d’intimidation, d’insultes diverses à caractère homophobe, sexiste, diffamants pour le festival.
Nous avons vu se présenter aux caisses des festivaliers tremblants d’émotion.
Nous sommes profondément atteints dans notre action et dans nos idéaux. Nous vous demandons de nous soutenir et de vous mobiliser contre la montée d’une politique sécuritaire de plus en plus effrayante. Vous devez prendre conscience de la gravité du danger et des menaces pour notre avenir à tous.
Nous récupérons actuellement de nombreux témoignages et signatures des festivaliers ayant pu accéder au site afin de constituer un dossier conséquent.
Prenez 5 mn et allez signer la pétition sur ce site :
TÉMOIGNAGES BARRAGES
Voici quelques extrais de témoignages écrits envoyés par des témoins et des victimes(spectateurs ou bénévoles)
M.Christophe M.
« N’ayant rien à me reprocher, j’ai subi une fouille intégrale de mon véhicule ... (une amie l’accompagnait et le gendarme a déclaré que) s’il fouillait c’était avant tout « parce qu’il n’avait pas confiance dans les filles » et je cite : « que les filles c’était comme les chiens, il fallait les éduquer quand elles étaient petites » Puis ... je cite : « De toutes façons y a que les pédés qui vont dans ce festival » ... nous avons dû attendre plus d’une heure avant de pouvoir repartir ... le second jour le dispositif policier était encore plus important ... totalement incompréhensible et anormal, il s’agissait plus d’une atteinte aux libertés qu(e d)’une protection des citoyens. »
Mme Sylvaine L.
Qui tient un stand de crêpes depuis plusieurs années sur le Festival « ... des femmes nous ont fouillées au corps et ont regardé dans nos soutiens-gorge ... c’était la première fois que cela m’arrivait ... d’autres (gendarmes) avec des chiens fouillaient la voiture. Je ne possédais rien d’illicite, je ne suis pas fumeuse ! Le contrôle a duré une bonne vingtaine de minutes.
Ils arrêtaient toutes les voitures. C’était impressionnant.
Ce soir-là et le soir qui a suivi le festival a été déserté. Nous avons vendu le quart de ce que nous vendions les autres années. Depuis que le festival existe je donne un coup de main et je n’ai jamais vu une chose pareille et je ne comprends pas ... »
M. Benoît Q.
« les gendarmes non contents de ne pas avoir trouvé de produits sur moi, m’ont obligé à me mettre à nu ... derrière le camion dehors ... après avoir constaté que je ne possédais rien, ils m’ont accusé d’avoir jeté une « boulette de haschich ». Après de multiples intimidations pour me faire avouer que cette « boulette » était à moi, ils ont fini par me relâcher »
M. Florian H.
« A quelques kilomètres de Mazaugues, un véritable barrage routier était installé. Toutes les voitures étaient arrêtées !!!! Une voiture a d’ailleurs failli créer un carambolage parce qu’une autre s’était arrêtée trop tôt sur la route ...Après quelques quinze minutes d’attente un agent cynophile s’approche de nous : « Sortez de la voiture ! Laissez votre sac !! Bougez pas monsieur !!! ... ». Son chien était surexcité et agressif ... Il a fini par le tirer dans la voiture et un homme m’a fouillé. Je n’avais aucune forme de drogue ... le chien a abîmé la banquette de notre conducteur et (l’agent cynophile) en partant a lancé : « Vous avez de la chance mais on vous aura » ... arrivés sur place, une véritable armada, une haie d’honneur composée de gendarmes ... paradoxalement nous avons eu l’étrange sensation d’être en insécurité alors que nous étions tous en règle. Le parking était pratiquement vide tout comme le Festival « intramuros ». Ces hommes (les gendarmes) ont clairement reçu l’ordre de dégoûter tout festivalier de
revenir dans le but inavouable de casser ce festival ...
Melle Lina B.
Je m’appelle Lina B. et suis bénévole dans une association de prévention santé, et j’étais présente à Mazaugues durant les trois jours du festival ou je tenais un stand de cette association, comme on le fait dans de nombreux concerts et festivals de la région.
Le premier soir, suite aux rumeurs sur un gros mouvement policier et à la vue du très faible nombre de festivaliers, je suis allée me promener autour du festival. La mobilisation était impressionnante et surréaliste. Je fréquente des concerts et petits festivals depuis plusieurs années, jamais je n’avais vu une telle organisation des forces de l’ordre. Les voitures étaient filtrées une par une, à l’entrée du festival les douaniers avaient installé un camion (très chaleureux comme accueil...) où ils procédaient à des contrôles anti-drogue une fois que les voitures avaient passé le barrage. De retour au stand,
nombreuses personnes nous ont raconté qu’elles avaient été provoquées voire humiliées par les policiers.
Nous sommes rentrés vers 1heure dans la nuit, et les barrages policiers étaient encore présents ; ils n’ont pas jugé bon de fouiller notre voiture en apprenant que l’on faisait partie d’une association de prévention, mais nous ont quand même arrêté, comme toutes les autres voitures, que ce soit à l’aller ou au retour du festival.
Le lendemain les barrages policiers étaient encore présents si ce n’est renforcés, et les choses se déroulaient de la même manière. L’ambiance était lourde que ce soit du côté des organisateurs ou du peu de festivaliers courageux qui étaient présents. Malade, j’ai été finir la soirée dans la voiture, garée dans le parking des artistes ; à deux reprises j’ai vu un gendarme et un douanier munis de grossesl ampes torches passer dans l’obscurité de ce parking (qui aboutissait aux tentes personnelles des artistes).
Ce qui s ‘est passé est bien plus que scandaleux, le site était magnifique, l’organisation irréprochable, une multitude de petits stands et commerces chaleureux, bref tout était réuni pour créer une ambiance géniale et un très bon festival, à la hauteur de la réputation des Collines. Le village de Mazaugues semblait lui aussi se réjouir d’ailleurs puisqu’il était en fête et que les bars et restaurants ne désemplissaient pas. Plusieurs personnes nous ont cependant parlé d’une rave-party qui se déroulait dans le secteur, mais je ne sais pas ce qu’il en était réellement.
M. Adrien B.
Arrivés à ce lieu de contrôle on aurait dit être arrivé à une frontière placée sous haute surveillance. Il y avait entre 30 et 50 gendarmes (avec leurs chiens, motos, voitures et fourgons...) ! Je n’avais jamais vu ça ! Tout véhicule sans exception était arrêté et contrôlé entièrement tout comme ceux qui s’y trouvaient.... (Le gendarme m’a demandé) si je n’avais rien d’illicite, à quoi je lui ai répondu que non. ...il me demanda froidement de mettre les mains sur le toit et d’écarter les jambes. Là, il m’enroule ma jambe droite et commence à me tâter toute la partie droite a partir de la tête ; je n’avais ni casquette ni cheveux, mais il a quand même insisté 20 bonnessecondes à me frotter la tête assez brutalement à me mettre les doigts derrière les oreilles, dans les oreilles...
Pendant ce temps une gendarmette s’occupait de ma copine ...
Mme Gaby V.
C’est avec indignation que je veux témoigner de ce qui s’est passé lorsque j’ai voulu me rendre au festival des Collines à Mazaugues le vendredi 12 août 2006. Depuis de nombreuses années de nombreux amis et moi-même sommes des habitués de ce festival... il y règne toujours une ambiance bon enfant, toutes les générations présentes y trouvent un vrai plaisir, de la bonne humeur et une belle harmonie. Mes deux garçons ... sont plutôt fiers de participer à un tel évènement qui au fil des années n’a cessé de s’améliorer en prestations, accueil, organisation. Les nombreux jeunes bénévoles sont entourés par les aînés du comité d’organisation qui par leur savoir-faire arrivent à créer une vraie dynamique de groupe ; c’est une excellente école de responsabilité, d’initiative, d’entre aide.
De ma vie, je n’ai vu un tel déploiement de forces de l’ordre ... On m’a fait descendre de la voiture, et une femme m’a entièrement fouillée jusque dans le soutien-gorge. Un chien a reniflé l’intérieur de la voiture, mais surtout, à quelques mètres de moi un jeune homme avait le pantalon sur les chaussures et se faisait fouiller aussi, j’ai senti un grand mal-être, de la détresse, révolte et incompréhension. Une femme a dû se plier vers l’avant pour être fouillée, ce que j’ai vu dépassait l’entendement on avait l’impression d’être de dangereux criminels.
Nous leurs parents nous avons assisté à cela en toute impuissance mais je peux témoigner que d’une femme paisible que j’étais cette expérience m’a profondément révoltée. Je me suis sentie harcelée sans raison et j’ai surtout eu peur pour la réaction de nos jeunes à qui on est censé donner confiance, apprendre la tolérance. Avec autant d’injustice, difficile de faire mieux pour développer de la révolte et de la haine chez des jeunes gens et jeunes filles qui étaient là en toute quiétude et confiance. Il n’y a pas si longtemps, j’ai même pu penser que la police pouvait aider la société, j’ai perdu toute illusion en les voyant à l’oeuvre et j’ai surtout compris ce qui peut se passer dans la tête des jeunes qui subissent à répétitions de telles humiliations, monsieur les dirigeants votre façon de faire me terrorise.
M. Romain A.
Président pendant 4 ans du Festival du Haut-Var (festival de musique classique), Président ensuite de « Théâtres en Dracénie », je sais les qualités requises pour (être) organisateur de spectacles. Ce travail professionnel, je l’ai reconnu au fil des différentes éditions du Festival des Collines. ... sur la route de Mazaugues, j’ai vu se dresser un barrage d’uniformes ... »Sortez ! mettez les mains sur le capot ! Ecartez les jambes ! » que répondre à ce mauvais scénario qui privilégie la force et l’humiliation voire l’oubli du droit ? ... ce déploiement de forces ... aura tué en deux jours un Festival qui existait depuis 7 ans et la confiance de beaucoup de jeunes et de moins jeunes dans l’espace de vie et de liberté qu’il nous reste aujourd’hui.
Marion C.
Bénévole au Festival des Collines, j’occupais un poste de sécurité routière ... je demande à (une voiture policière) de ralentir et le conducteur policier me répond en me faisant un doigt d’honneur
Thomas F.
Cela fait 5 années que l’on se réjouit de passer cet évènement culturel ... et vendredi soir nous avons été surpris par l’ampleur des contrôles de police ... sommes-nous des terroristes pour la seule raison de vouloir passer un week-end ensemble dans un rassemblement des plus sains ?
Patricia H.
Ils ont ... fait rentrer leur chien dans le véhicule en précisant que ... celui-ci allait nous « défoncer » le véhicule. Celui-ci n’a rien trouvé. Un deuxième chien a été appelé pour vérifier et n’a rien trouvé non plus. Lorsque nous sommes repartis un des agents nous a demandé si nous allions au « festival
d’homosexuels ».
Mélanie B.
Les chiens s’en sont pris à mon sac à main ... (Nous avons été) retenus 45 minutes.
AUTRES FESTIVALS EN DANGER
Voici quelques témoignages reçus d’autres festivals mis à mal par les forces de l’ « ordre » ou par une préfecture zélée :
Le Festival Landscape à Parlan (300 hab.) Cantal, est peut-être le plus exemplaire. En effet leurs problèmes ressemblent à s’y méprendre à ceux des « Collines » : ce Festival reggae a commencé petit. Il a grossi jusqu’à accueillir en 2004 2 500 spectateurs par soir. A partir de 2005 les gendarmes ont commencé le harcèlement systématique, sur la route, les parkings, fouilles, sièges éventrés etc ...Les organisateurs sont, comme nous, allés voir de jeunes gendarmes qu’ils ont trouvés honteux de leurs propres actions ... En 2006 ils ont accueilli moins de 1 000 personnes par soir.
La population de Parlan soutient le Festival comme le CG, le Maire, la sous-préfecture et le Président de la communauté d’agglomérations. Ils vont faire une réunion de tous pour essayer de repartir sur des bases plus saines en 2007 mais leur public est déjà dégoûté.
Salut
J’ai pris connaissance de ce qui est arrivé a votre festival, par le biais du reportage de France 3 d’abord puis par e mail
Je suis bénévole et organisateur du festival au pont du rock en Bretagne
Cela fait 2 ans que l’on subi cette politique et une grosse pression de gendarmerie autour de notre festival, et de nombreux autres festis au alentours sont dans le meme cas Moyen importants mis en place a chaque fois, le public est souvent prévenu a l’avance par voie de presse, ce qui doit certainement en décourager de venir Du tout répressif, quand tu leur demande des ballons pour faire de la prévention et les distribuer au public, il te dise qu’il ont pas les moyens !! Un public normal et festif, que l’on stigmatise !! et tout est bon pour verbaliser ! facile de faire du chiffre au radars par exemple lorsque 15 000 personnes affluent vers un festival !
Les riverains sont aussi victimes de ce dispositif démesuré, parfois jusqu’à 4 éthylotests dans lajournée ! Beaucoup de gens dorment sur place mais les controles continuent le lendemain jusqu’à 17 H00
Cette stigmatisation met en jeu la pérénité de la culture c’est évident
Je vous soutiens, on est face a un vrai probleme !
bonjour,
nous avons reçu un mail présentant les grosses galères que vous avez rencontré lors du déroulement de votre festival. notre festival, le ZOU MAÏ festival, prévu cette année les 18, 19 et 20 août, a purement et simplement
été annulé, suite aux pressions de la gendarmerie sur notre association et sur la commune d’accueil de la manifestation (noves - 13). une vingtaine de groupes ont dû être déprogrammés, dont 100 g de têtes et jim murple memorial. je vous passe les conséquences financières liées au non déroulement de la manifestation. j’aurais souhaité entrer en contact avec vous, afin de mieux comprendre le pourquoi du comment de tout cela, échanger nos expériences et nos ressentis mutuels et enfin entrevoir d’éventuelles résolutions liées à ce contexte répressif (mais est-ce encore possible ???!). à défaut de nous occuper du déroulement de notre festival, nous sommes en congés jusqu’au 21/08.au plaisir de converser avec vous.
pour TERRE DE SONS, Cédric MASSON
C’est pas grand chose, mais je tenais à vous témoigner mon soutien devant ce qui s’apparente soit à une mission de sabotage, soit à une totale incompétence de la préfecture en matière de médiation ...(voir les deux).
Sans allé aussi loin, nous avons fait les frais de représentants de l’état "frileux" et comprenont à quel
point ces derniers peuvent "pourrir" l’ambiance d’un festival, mettre en péril des emplois (quand de notre coté nous nous efforçons de respecter toutes les consignes de sécurité, et même a allér plus loin en terme d’éducation et de prévention !) et bien plus grave, limiter la diffusion culturelle, les échanges, l’éfusion des savoirs et de la compréhension, ainsi que la convivialité !
Bon courage !
Soutien amical
Brice Gourdol
Festival Les Oreilles du Renard
Mais aussi : le festival des fennecs en Bretagne :
– le festival air libre à Marseille :
– des provocations policières au festival des Monfort (04) (90euros au président qui roule sans casque sur le site !!!)
http://www.festivaldemontfort.com/
....et sûrement beaucoup d’autres...
Var Matin du Mardi 29 Août 2006
Sujet diffusé sur France3 au 19-20 Régional et repris dans l’édition des Régions (nationale)
________________________________
>>> Les pétitions > www.delacolline.org
Ecoutez le 19-20 de FR3 du 14 aout ici :
http://mangefigues.free.fr/collines/video-FR3-1920reduit.wmv
MERCI POUR VOTRE SOUTIEN !!!!
Contact Sud Musique
contactmusique@wanadoo.fr
csm@delacolline.org
Tél. : 04 94 85 61 74
Messages
1. > FESTIVAL DES COLLINES : TEMOIGNAGES SUR LE HARCELEMENT POLICIER, 15 septembre 2006, 23:11
SCANDALEUX !!!
Ca promet pour les festivals de l’été prochain si SARKOPHAGE est élu Président.
Abstention : piège à con
COLUCHE
2. > FESTIVAL DES COLLINES : TEMOIGNAGES SUR LE HARCELEMENT POLICIER, 16 septembre 2006, 07:04
VOICI CE QUE J’AI ECRIT HIER SUR CE SITE :
15 septembre 2006 - 20h00 - Posté par 86.***.39.**
Je demeure à CANNES où chacun se plaint de la répression policière qui tombe sans cesse sur les
cotoyens ordinaires :
90 euros, 180 euros, 220 euros ,etc... pour de modiques effractions à l’encontre de gens qui se
débattent pour gagner leur vie et subisent une répression jamais vue
On demande à la police de faire du chiffre (obligation de résultat)
Toutes ces vidéos surveillance mises en place pour nous protéger du terrorisme (officiellement)
il faut bien les payer !!!
mais pour l’efficience, c’est autre chose :
Que fait le Ministre de la police ?
Dans son édition du jeudi 14 septembre, Le Figaro Economie publie les derniers chiffres de l’INSEE, concernant les données économiques et sociales françaises de l’année 2006. L’enquête révèle ainsi que le nombre de personnes mises en causes pour crimes et délits s’est élevé à 1 067 000 : Les déclarations médiatiques de Nicolas Sarkozy et son agitation devant les caméras n’y auront rien fait : « Jamais un tel niveau n’avait été atteint les années précédentes ». Si l’on ajoute à cela les 12 millions de Français qui ont « expérimenté le cannabis » et un « coût social pour les drogues illicites » qui s’est élevé à 2,8 milliards d’euros, on finit par se demander à quoi le Ministre de l’Intérieur, à part lorsqu’il organise des rave parties, occupe ses journées...
Michèle
En conséquences, je suis de tout coeur avec vous
3. > FESTIVAL DES COLLINES : TEMOIGNAGES SUR LE HARCELEMENT POLICIER, 17 septembre 2006, 10:46
malheureusement je ne suis pas surprise, de ce coup de force.
N’oubliez pas que nous sommes dans le Var.
A qui profite cette action manu-militari ?
Les expo de santons, les fêtes de l’olivier, enfin le bon ton est de mise, dans nos communes toutes lisses. Ou les retraités
sont à l’abri. Puisque les forces de l’ordre veille sur leur sommmeil. dormez braves gens, nous surveillons ces chenapans
voyer nos dispositifs commme ils sont beaux, et actifs.J Vincent