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FRANCE/COMORES : MAYOTTE UN PETIT "TIBET", MAIS UN "TIBET" QUAND MEME

Publie le lundi 21 avril 2008 par Open-Publishing
18 commentaires

Oui, Mayotte n’est pas française comme le Tibet n’est pas chinois.

Aujourd’hui, les medias français, les hommes politiques français condamnent la Chine en oubliant que ce qui se passe à Mayotte (Comores), c’est plus pire :

– La France n’a jamais respecté les résolutions de l’ONU.

– Le rapport déposé au sénat le 06 juin 2001 (Rapport n° 361 (2000-2001) de M. José BALARELLO), précise que de 1997 à 2001, on estime à 4.000 le nombre de morts dû à des naufrages de kwassa-kwassa. Soit 1000 morts par an. (Proportionnellement à la population Française cela correspondrait à 300 000 morts français par an)

– Pour avoir la conscience tranquille, on nous dit que c’est la volonté des Mahorais de rester français. Mais Mayotte n’est pas française. Elle fait partie des Comores.

Pourquoi ne dénonce-t-on pas ce qui se passe là-bas ? Bacar et ses acolytes ont trouvé refuge chez qui ? Aujourd’hui Bacar et sa garde rapprochée sont devenus des « gentils garçons », ils n’ont rien fait : Ils sont propres.

Mais pourquoi a-t-il peur qu’on lui applique la peine de mort, alors qu’il n’a rien à se reprocher ? Bizarre !!!

Combien de fois la France a-t-elle violé les mesures imposées par la communauté internationale au régime Bacar ? Pourquoi ce silence de cimetière quand il s’agit du Tibet comorien ? Pourquoi ?

F. Naïl

Messages

  • Le Tibet est Chinois comme la Slovénie était YOUGOSLAVE à la seule différence que la Chine n’est pas une fédération de républiques...moins facile à démanteler à moins de risquer de perdre très gros...

    Sache qu’en Chine il y a au moins 56 ethnies, autant de langues. La Chine en est l’enveloppe. Le nationalisme chinois n’a rien à voir avec le nationalisme tout court. Il exprime un attachement à cette multitude d’identités, toutes reconnues et préservées dans le respect de l’intérêt commun. Après, pour le reste et la réalité des rapports sociaux, je ne vous fais pas un dessin, c’est la zone.

    Pour ce qui est de Mayotte, d’accord, c’est pas la France, leur ancêtres ne sont sans doute pas Gaulois... reste que pour virer la France de là bas il va falloir des muscles et de la stratégie, et puis un projet et des moyens aussi pour développer les Comores sans ingérence étrangère impérialiste. Il ne suffit pas d’être nationaliste il faut pouvoir avancer un projet d’avenir crédible.

    Que les comoriens s’y mettent, on les soutiendra si ils le méritent.

  • Bonjour,
    Que l’on parle des résolutions de l’ONU, oui. Comment peut-on vivre sans règles communes ? Sauf que Naïl, en bon nationaliste, oublie que le droit international n’est pas uniforme, et qu’il est un principe fondemmental qui consiste à respecter la volonté des Mahorais.
    A partir de sa posture, c’est de bonne guerre après tout de soutenir sa thèse. Sauf que, dans cette histoire, il y a plusieurs paramètres à prendre en compte. Parmi eux, il y en a 3 qui ne reçoivent jamais de réponse :

    1- Pourquoi occulter systématiquement la volonté des Mayotte ? A croire des fois que Mayotte existe dans ses habitants. Jamais dans un discours de nationaliste Comorien, on ne veut affronter cette question. Pourtant, si des gens peuvent discuter les conditions du référendum qui a abouti à l’indépendance de la RFIC, la volonté mahoraise de rester française, elle, n’a jamais de démenti. Aujourd’hui encore, la + haute assemblée de représentation (le Conseil Général) vient de saisir la France pour, une énième consultation en vue deu référendum. A moins tous, à Mayotte, ne savent pas ce qu’ils veulent et qu’il faille qu’on décide pour eux chez les voisins. Et si on devait moins infantiliser les Mahorais et imaginer que ce sont des gens raisonnables et qui savent délibérément ce qu’ils veulent ?! Parlons de Mayotte donc, oui : mais parlons aussi des Mahorais et de leur choix. Ne parlons pas d’eux, parlons avec eux.

    2- L’intégration de Mayotte est un leitmotiv, dans tous les discours des hommes politiques des Comores. Même Sambi qui ne devait plus, selon ses promesses de campagne, faire de Mayotte les cordes vocales de son discours, ni l’épine dorsale de sa stature, a fini par céder. Soit ! Et si le vrai problème était chez les Comoriens qui déploient toute leur énergie à ne parler que de Mayotte ? L’on croit des fois que le retour -de gré ou de force- de Mayotte dans le giron comorien réglera tous les problèmes.

    3- Quel projet commun de développement a t-on imaginé, va-t-on imaginer, pour attirer les Mahorais jusqu’à là, très hostile à l’intégration ? quelles infrastructures pour l’économie. On va imaginer une vie de couple (en réalité un quadruple) : quelle place imagine-t-on pour Mayotte. Dragons Mayotte avec des projets et non avec des discours, des menances et des chantages, non plus par des droits et des contre-droits.

    Au lieu de rester obnibulés par le rattachement inconditionnel de Mayotte, comme seule solution à tous les problèmes comoriens, projettons, imaginons, estimons (ne les sous-estimons pas ces Mahorais), etc.
    Et si, on devenait un exemple pour attirer les Mahorais, car c’est plutôt le contraire qui se produit actuellement.
    Arrêtons de parler que de Mayotte, ça énerve les Mahorais. Dragons-les avec des bons arguments, car ils constituent aussi un maillon du "problème" !

    Ensuite, au préalable déjà, discutons un peu plus de nos problèmes internes, économiques, ceux liés au développement des infrastructures vitales. Ayons un esprit imaginatif pour aller de l’avant, affronter la pauvreté endémique. Si tousles efforts fournis à parlementer sur Mayotte étaient déployés pour le pays, son économie et son dévéloppement, les Mahorais en face nous regarderaient différemment.

    • Monsieur le conseiller pro colonialiste français,

      Reprenons point par point votre argumentaire certes très travaillé mais faisant partie du standard des tenants de Mayotte française. En tant que (faux) comorien séparatiste, vous connaissez les analyses des comoriens nationalistes, mais il vous faut persister contre la masse de plus en plus importante qui vous contre vous et votre camp.

      1- « Pourquoi occulter systématiquement la volonté des Mayotte ? A croire des fois que Mayotte existe dans ses habitants … »
      Vous connaissez aussi la thèse développée dans le film d’Agnès Fouilleux, vous l’avez probablement vu récemment sur RFO. L’occupation de Mayotte résulte d’une épreuve de force, initialement fomentée par l’extrême droite, puis la droite radicale et foncièrement colonialiste, du genre Mesmer et Debré. Tout y est passé, de la mise à tabac des maorais indépendantistes aux manœuvres d’intimidation perpétrée par la clique Marcel Henry.

      Aujourd’hui, de plus en plus de Maorais ont déchanté, changent de position, et vous le savez et ça vous perturbe ! Tant mieux ça vous fera évoluer aussi.

      2- L’intégration de Mayotte est un leitmotiv, dans tous les discours des hommes politiques des Comores.
      Vous savez aussi, même ça ne vous ferait par plaisir de le dire, c’est aujourd’hui le discours d’une majorité de comoriens (grand’comoriens, mohéliens et anjouanais et de plus en plus de maorais) . Le président Sambi est rendu à se conformer à cette volonté populaire malgré la forte pression exercée sur lui par le colonisateur français par l’intermédiaire de ses conseilles proches reconnus pour être de farouches défenseurs des intérêts français (ce qu’on appelle les caniches du colonialisme en milieu radicalement anticolonial). Mais au fait, vous en êtes trèsz probablement (ou avez vocation à l’être !) ; en tout cas on vous reconnaît facilement car ce discours est dans le standard de conseillers pro françafricains !

      3- Quel projet commun de développement a t-on imaginé, va-t-on imaginer, pour attirer les Mahorais jusqu’à là, très hostile à l’intégration ?
      En essuyant 9 coups d’état fomentés par la France à partir de sa base arrière Mayotte, une décennie de mercenariat imposé par la même France « amie des Comores » .. comment pouvez vous pousser le cynisme jusqu’à mettre l’état d’appauvrissement des Comores sur l’incapacité supposée des Comoriens ?

      Pour finir, même le président Sambi, si mal entouré, a compris qu’il faut marquer une étape en sollicitant ailleurs que par la « France amie » si l’on veut réellement décoler. Et ça va décoller, ce qui ne manquera pas de vous attrister. Tant pis pour ceux qui ne composent pas avec la marche de l’Histoire !

      Msa Hazi des Comores à libérer.

    • Bonjour

      Je sais bien qu’étant donné que le forrum est modéré,mon post ne risque pas de passer,mais tout de même,je suis sûr que le modérateur l’aura d’abord lu avant de le virer,et pour moi c’est déjà quelque chose.

      Quand NAIL nous parle de régles communes,j’aimerais bien comprendre lesquelles voudriez-vous ?

      – Quelles types de régeles parlez-vous ?

      Il me semble bien qu’il faudrait bien commencer par respecter les resolutions de l’ONU d’abord,de la part du gouvernement impérialiste français.

      Il n’y a pas de volonté partielle Mahoraise,comme il n’y en a jamais eu,pour les autres iles.

      Il n’y eut qu’une seule volonté,celle du peuple Comorien dans son ensemble qui a voté comme un seul homme,pour l’independance de leur pays.Et d’ailleurs,les temoignages commencent à tonmber dans la presse ces derniers,faisant état des sévices perpetrés par les milices Mahorais de l’époque,aidés et armés par les separatistes Mahorais de tout accabit,et le gouvernement Giscard.

      "Le doit international n’est pas uniforme" ? Cela veut dire quoi ? Je suppose que vous voulez dire parlà qu’il n’est pas appliqué de la même maniére partout,comme en palestine,par exemple.Eh beien,c’est cela qui vaut que les peuples se dressent,s’elevent contre une injustice,contre les grands principes oiseuses faussement defendus par les puissances imperialistes europeenes,en premier la France !!

      Mais franchement....pensez-vous que la nouvelle generation Comorienne va accepter de traduire de telles discours à Mayotte en buvant de la bierre pressée ?

      Mais vous vous trompez eperdûment:Vous ne respectez pas le peuple Comorien,vous ne respectez les resolutions de ’ONU, mais c’est une barbarie.....oui.....barbarie..... et nous vous aurons !!

      Tous mes respects

      El Fatahou SAID

    • Selon vous Beni, le droit international serait « un principe fondamental qui consiste à respecter la volonté des Mahorais ». Drôle de définition du droit international…. Jamais vu nulle part. Le droit international comme tout système juridique, régit entre autres, les rapports entre « sujets » reconnus comme tels par lui. Et sur le plan international, les choses sont claires : les sujets de droit international reconnus, sont : Les Etats, les Organismes internationaux, les entreprises sous certaines conditions ainsi que de grands ONG là aussi sous conditions. Chaque acteur agissant dans le champs du droit international pour être reconnu, doit relever directement ou par rattachement à l’un de ces sujets. Mayotte pour avoir voix au chapitre et être reconnu comme acteur dans ce conflit, doit être rattachée à l’une des parties : soit du côté Comorien, soit du côté français. Car l’entité Mayotte n’a aucune existence juridique internationalement reconnue. La seule reconnaissance de Mayotte sur le plan du droit international, c’est que c’est une partie du territoire comorien. Ceci n’est pas une déclaration nationaliste mais un fait juridique avéré et reconnu à travers des textes (résolutions), basés eux même sur les sources du droit international à travers des traités que la France à ratifié. Pire encore ! Toujours sur le plan juridique, la France est dans cette affaire dans une contradiction sans nom. En effet, elle a signé des accords de coopération avec l’Etat Comorien. Jusque là rien de spécial. Sauf que lorsque ces accords sont signés entre l’Etat Français (nommé dans les accords « République Française » et l’Etat Comorien dénommé dans ces accords (République Fédérale Islamique des Comores », ça change tout. Car la République Fédérale Islamique des Comores est reconnu partout et surtout par le droit international, comme un archipel de 4 iles dont Mayotte. Cela voudrait dire que la signature par la France d’un accord de coopération par exemple avec ce partenaire est synonyme d’une reconnaissance de ce dernier…. Surtout si aucune reserve dans ledit accord n’apparaît. Autrement dit et dans la logique juridique, en signant des accords à plusieurs reprises avec la RFIC la France reconnaît cette dernière dans les frontières qui lui sont attribuées officiellement et reconnues par les Nation Unies.
      On nous sort par ailleurs l’argument « des droits des peuples à disposer d’eux-même ». Ce droit existe bel est bien et constitue un principe fondamental du droit international notamment dans les processus de décolonisations. Et là se posent trois problèmes.
      Le premier c’est dans la définition même du mot peuple. En l’occurrence, Mayotte, donc par élargissement les Mahorais ne constituent pas un peuple au yeux du droit international. Pour bénéficier du « label » peuple sur le plan international, dans les processus de décolonisation, il faut avoir un passé distinct par le mode d’administration. Or l’administration coloniale a fonctionné dans le cadre d’un seul et unique Territoire d’Outre Mer (TOM)…. Et c’est dans ce sens de TOM que des négociations et des accords ont été signé dans le cadre du processus de consultation sur l’indépendance, et bien avant sur l’autonomie interne et autre…Il ne peut donc y avoir à postériori, la création d’une nouvelle entité (un nouveau peuple), dans les rapports entre l’Etat colonisateur et le territoire à décoloniser. Sans cette règle simple imaginez le nombre de peuples potentiels en Afrique ou au sein d’un même territoire on trouve des dizaines d’Ethnie… Il n’y aurait aucun Etat viable aujourdhui sur ce continent. D’ailleurs c’est pas un hasard si ce principe « des droit des peuples à disposer d’eux-même » est une invention géniale d’un grand juriste Africain l’Algérien BEJAOUI.
      Le deuxième problème est l’autre grand principe de droit international : l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation. Ce principe affirme que le territoire décolonnisé est reconnu obligatoirement en tant qu’Etat dans les limites territoriales qui lui ont vu se faire administrer et gerer par l’ancienne puissance coloniale. La France ayant administré l’archipel et engagé les pourparler du referendum avec un TOM composé de 4 iles, elle est ainsi liée par le droit international à reconnaître le nouvel ETAT Comorien dans la limite de ce territoire ni plus ni moins.
      Enfin le troisième problème est la situation de Mayotte aujourdhui et la place des Mahorais dans l’évolution du statut de l’ile. Mayotte ne peut plus faire l’objet d’un referendum d’autodétermination… celui de 1976 n’a d’ailleurs servi à rien. Car ce n’est plus un territoire à décoloniser . En droit international Mayotte est passée lors de l’indépendance des Comores du statut de territoire à décoloniser à celui de territoire occupé.
      La résolution du Conseil Général de Mayotte demandant la départementalisation n’est sur le plan international qu’un avatar administratif d’une puissance d’occupation sur un territoire occupé. En plus sur le plan purement français, le droit international prenant sa source dans un traité ou autre convention légalement ratifié est supérieur au droit interne.
      Malgré cette légitimité juridique qui confirme la souveraineté des Comores sur cette ile,la question de Mayotte reste également un problème politique qui sera résolue par une approche politique.
      Je persiste a dire que les solutions existent pour conjuguer intelligemment à Mayotte la souveraineté Comorienne, le desirs (interessé ?) des mahorais de rester Français tout en assurant une présence française forte.

  • Je ne connais pas le Tibet mais en tout cas, à Mayotte, personne n’a manifesté son désir de retour dans le giron comorien.

    Certes, à cause du cas de Mayotte, nombreux sont les comoriens qui meurent dans le canal de Mozambique mais il me semble bien qu’il s’agit ici de gens qui veulent se rendre à Mayotte pour de meilleures conditions de vie.
    Peut être qu’il serait plus judicieux de rendre moins dangereux la traversée ... ou de faciliter les échanges.

    Du fait de la colonisation et des processus d’indépendances, Mayotte a été séparé des autres territoires des Comores. Il me semble bien que c’est le cas de plusieurs groupes d’ethnies séparés à cause de la colonisation (et des processus d’indépendances) et c’est pas pour autant que l’ONU ait condamné ces situations ...

    Il faut arrêter de brailler pour rien ; le jour où la situation des comoriens s’améliorera, les Mahorais rentreront tout naturellement au bercail ; jusqu’à présent, ils se sentent bien avec la France ... Aux comoriens alors de faire quelques efforts ...

    • Avec tout le respect que je dois à ton intervention mon cher NAIL, permets-moi de reprendre sur un point et de te corriger. Lorsque tu affirmes que Mayotte a été séparé des autres îles des Comores tu te trompes fortement. Mayotte n’a pas été séparé du reste des Comores et c’est là que réside tout le problème. Aucune frontière n’a été posée entre Mayotte et le reste des Comores. Le statut que possède Mayotte à ce jour est celui de figurer dans deux constitutions : la constitution comorienne (reconnue par le droit international) et la constitution française (contestée en ce qu’elle va à l’encontre du droit constitutionnel de l’Etat français).

      La question n’est de forcer les mahorais à prendre la nationalité comorienne !!! Il faut cesser de se voiler la face !!!! Le véritable problème est que la France avec la complicité de certains mahorais se rendent coupables de plusieurs crimes contre l’humanité et les Comores sont leur cible. Au lieu de palabrer sur la volonté de Mayotte de rester française, répondez plutôt sur ces accusations. Les mahorais ne sont pas au dessus des lois et la France non plus. Rien ne peut justifier les crimes qui sont commis tous les jours à Mayotte contre la communauté comorienne d’Anjouan. Tous les français ne sont pas des monstres sanguinaires et xénophobes jusqu’à preuve du contraire. Tout le monde sait que ce qui ce passe à Mayotte ne serait pas toléré en France métropolitaine car ici on respecte un minimum les droits de l’homme. Bah oui, en métropole on prône la ségrégation positive (j’insiste sur "ségrégation") et non la sauvagerie, le viole et la tuerie….

    • C’est bien là le problème mon bon ami… On a l’impression que le Mahorais pro Français d’aujourdhui pourrra bien devenir un independantiste acharné pour peu qu’on instaure le RMI aux Comores.
      Nous ne voulons pas de gens qui rentrent au bercail comme vous dites quand c’est devenu l’eldorado… Un pays prospere ça se construit. Et entre nous qu’ils aillent au diable en prenant la citoyenneté de la planete Mars s’ils le souhaitent… Mais qu’ils liberent la terre comorienne de Mayotte … Etant democrate, j’ajoute qu’ils peuvent même y vivre en tant qu’etranger

  • BONJOUR
    Merci pour votre article mais rien ne m étonne sur la relaxe de BACAR et rien ne saura fait pour que le peuple comorien puisse avoir vraiment son indépendance car ne l oublions pas la grande comore a demandé son indépendance seul mayotte est sois disant français sois disant car les mayorais n’ont pas les même droits quand france à savoir les assedics prestations familliales et tant d autre .Les mayorais ne sont ni DOM ni TOM difficile pour nos chères dirigeant de tranchés et difficile pour eux de ne pas voir d abord leur intérêt avant celle du peuple ou du pays convoité.Pourquoi cette hypocrisie de la france ?Pourquoi vouloir faire comme les us ?Pourquoi ne laissons ces quatres iles trouver une solution a leur problème ?L emprise que la farnce a sur certains pays africain est une forme d esclavagisme n ayons pas peur des mots .

    • Il n"y aura pas de stabilité aux comores ni de développement tant que la France restera à Mayotte. C’est une évidence.
      Prenons le cas Bacar, il ne sera jamais renvoyé aux comores pour être jugé car la France n’aura pas d’autres Bacar.
      Pour pouvoir manipuler d’autres comoriens pour son compte, la France doit obligatoirement protégé Bacar.
      C’est bien beau de dire qu’il faut que les comores fassent des efforts pour son développement, mais on oublie que la France fera tout (comme elle le fait) pour bloquer et elle a les moyens

  • toi qui a écrit cet cette article tu rien compris sur l’histoire de mayotte c’est le problème. tu mayotte n’est pas au maaré, alors les comores doit tué tout le maoré car les comorien n’ont jamais mayotte, mayotte c’est maoré, de plus a ce jour on ne parle plus de ça mayotte on parle de la département tu la ou le seul de parle de ça je te dis va au comors si t’envie et tu sera belle et bien la ou le bien venu va si tu envies et laisse les maorés tranquille on a marré de entendre ce blabla ; déplus même si tu le dis tu est mal barre car le présidente comorien ne pourra rien faire je sais pas avec ton article ce que tu peu faire ha ha ha !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    vive MAYOTTE
    vive les maorés
    VIVE 976

  • En effet l’histoire de Mahorais est semblable à celle ddu Tibet. Et il est inadmissible que les Francais ose donner de lecon de bonne conduite à la Chine, une fois qu’elle occupe illégalement Mayotte, Mais comme disent les Comoriens un voleur n’aime pas un voleur comme celui qui n’est pas du tout habillé et qui rigole de celui qui est mal habillé.

    Comble de malheur c’est de conster que les médis français soutiennent la France pour ses agressions et violation du droit de l’homme. Un tel geste donne de mauvaise image au journaliste surtout occidentaux et un jour ca peut causer du tort à des jourmalistes sincères, honnetes et engaés pour le travail journaliste que de faire le travail des politicard.

  • les gars : la seule chose que j’aimerais qu’on se le dise c’est que vous soyez d’acord ou pas ; mayotte est français et le restera...Le tibet n’a jamais choisis d’être chinois ; contrairement à mayotte ! donc ne comparez pas l’icomparable !!! concernant les gens qui meurent en voulant traversr la mer en kwasa kwassa ; il faut appelé un chat un chat : le premier responsable c’est évidement l’état comorien ! a ce que je sache il a toujours fermé les yeux et il continue toujours de le faire ...Il n’a jamais rien fait pour empêcher ces homme et ces femmes d’accepter de mourir plutot que de rester chez eux ! donc arrêtez de dire n’importe quoi !!! a bon entendeur salut !