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Hier soir sur France 3, l’ancien salonnard de la rue de Grenelle a expliqué "qu’avoir Aschiéri dans la rue à la place des lycéens, c’est le bonheur, parce qu’avec lui, on sait à quoi s’en tenir, en particulier parce que son syndicat et le SGEN-CFDT, eux, ont fait des propositions pour introduire le contrôle continu".
Les enseignants non adhérents aux syndicats pro-Allègre (SGEN-CFDT, SE-UNSA) sont massivement favorables à la pérennisation du baccalauréat national et anonyme, égalitaire donc sans contrôle continu, et premier grade universitaire.
Pourquoi acceptent-ils d’être représentés par des syndicalistes de cette dimension ?
Les lycéens sont sur la même ligne que les enseignants.
Pourquoi acceptent-ils d’être représentés par les syndicats favorables au contrôle continu que sont l’UNL et la FIDL ?
Messages
1. > Ferry mouille Aschiéri, 22 février 2005, 07:07
Acquis d’une manière ou d’une autre, le bac de chômeur n’a-t-il pas la même valeur ?
1. > Ferry mouille Aschiéri, 22 février 2005, 17:31
Le problème posé est celui du contrôle continu. Autrefois le Brevet était un examen qui sanctionnait l’acquisition de connaissances. Sa transformation en un examen-maison par l’intermédiaire du contrôle continu en a fait une mascarade grotesque, que met en évidence le fait que 3 élèves de Seconde sur 5 obtiennent zéro à une dictée ...du brevet.