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France : la carte des anciennes mines d’uranium publiée sur internet

Publie le mardi 27 janvier 2009 par Open-Publishing
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La situation actuelle et l’historique de chacun des 210 anciens sites miniers d’uranium en France métropolitaine sont désormais accessibles au public avec la publication d’une base de données diffusées en ligne par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).

Ces données, a précisé lundi l’IRSN dans un communiqué, comprennent "la localisation des sites miniers sur une carte interactive", ainsi que les communes concernées, des données sur l’exploitation de chaque site, les installations présentes sur le site, le dispositif de surveillance, les cours d’eau ou étendues d’eau proches du site, etc.

Cette base de données, qui sera régulièrement mise à jour, a été réalisée dans le cadre du programme MIMAUSA (Mémoire et Impact des Mines d’uranium : Synthèse et Archives), destiné à mettre à la disposition des pouvoirs publics et de la population "une source d’information complète sur les anciens sites miniers d’uranium". MIMAUSA a été lancé par l’IRSN en 2003 à la demande du ministère de l’Ecologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire

Messages

  • .....dans le cadre du programme MIMAUSA (Mémoire et Impact des Mines d’uranium : Synthèse et Archives), destiné à mettre à la disposition des pouvoirs publics et de la population "

    MINAUSA ! de l’enfumage parfumé au mimausa , ils sont vraiment cyniques ces bargeots mégalo.....

    A Brennilis, du temps de sa courte et laborieuse vie, à cette époque ou de ces innombrales mètres cubes de fuites (5 tonnes par jour de CO2 radioactifs) arrosaient méli-mélo les Monts d’Arrée, mème que le Pellerin s’en était félicité d’avoir fait arrèter UL4 après plus de trois ans de débats houleux dans la maison nucléaire ; je disais donc que par chez nous, ils utilisaient des parfums synthétiques à la ROSE* ! De la rose bonbon pour détecter au travers de cette boite en béton les orifices à colmater par des rustines pour tenter de maintenir le tritium issu de cette chaudière nucléaire dite de 1 ére génération !

    Du Minausa à la Rose , rien que de belles images

    * Voir le reportage de FR3 MmE Chevet :

    " Brennilis la centrale qui ne voulairt pas s’éteindre"