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Hold up de l’Etat sur les retraites complémentaires des salariés du privé 6 milliards d’euros
Publie le dimanche 7 février 2010 par Open-Publishing2 commentaires

IL ne s’agit pas d’opposer le public au privé,
mais cette information qui n’est pas révélée
au grand jour, se doit d’etre mise sur la place publique
Il s’agit du plus grand hold up que l’état s’apprète à
réaliser dans les caisses de retraite complémentaire des salariés du privés .
En effet l’état sarkoziste sous la houlette du dangereux
Estrosi, "sinistre" de l’industrie, s’apprète en catimini à
voler 6 milliards d’euros, dans les caisses de l’Arcco et de
l’agirc respectivement, les fonds de retraites complémentaires des salariés du privés, ouvriers et cadres,
déjà en situation délicates au profit de l’Ircantec caisse
qui gère les retraites complémentaires des salariés du public et collectivitées territoriales qui elles ont des finances saines
Il est bon de signaler que l’Arcco et l’Agirc font partis du grouppe Malakoff Médéric dirigé aujourd’hui par Guillaume
Sarkozy ancien n°2 du Medef
En définitive, en agissant ainsi l’Etat employeur veut faire des économies, alors qu’il n’est pas regardant, sur les gaspillages qu’il pratique en dépensant des sommes faramineuses pour assurer son train de "Cours Royale" avec ses Courtisans
L’article original est de Patrick Bonazza sur le point.fr
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2010-01-28/retraites-un-hold-up-d-etat/916/0/418159
Messages
1. Hold up de l’Etat sur les retraites complémentaires des salariés du privé 6 milliards d’euros, 7 février 2010, 19:24, par Mengneau Michel
C’est une habitude car lorsque la CRIC, (Caisse de Retraite des Ingénieurs et Cadres) s’est trouvée en dificulté financière à la suite d’une boursification désastreuse, un certain Baladur n’a pas trouvé mieux que d’allonger le nombre d’années minimum de cotisations qu’il fallait pour commencer à percevoir cette complémentaire, qui néanmpoins a disparu au profit des autres caisses. Marrant, Baladur, c’était pas le "bourbonneux’ qui avait comme laquais exécuteur des basses oeuvres un certain Sarkozy....Nicolas, celui-là !
2. Hold up de l’Etat sur les retraites complémentaires des salariés du privé 6 milliards d’euros, 7 février 2010, 19:34, par Patrice Bardet
bien des militants dans cette période troublée en viennent à relayer involontairement la propagande de cette officine qui s’apelle "Sauvegarde Retraites" : ça fait bien, généreux, de vouloir "sauvegarder" !
ben tiens !
si les "révélations" de cette "association" sont aussi douteuses que les précédentes concernant les retraites des sénateurs, ce n’est pas à prendre, même avec une longue cuillère !
Rappelons en quelques mots ce qu’est cette "association" forte de "80.000" membres ( rien que ça ??? )
– une officine ultra libérale
– une association très liée aux journaux de droite
– un packaging pour nous vendre des "fonds de pension"
Cette "association" met en avant l’oeuvre ses gourous :
– José Pinera, ex ministre du Travail de Pinochet au Chili qui a privatisé le régime de retraite par répartition
– Jacques Bichot, membre de l’Institut Montaigne (think thank patronal de Bébéar) qui a écrit l’ouvrage collectif "Le courage de réformer " dirigé par ......Bébéar, et rédigé la note "Comment financer la protection sociale " de... l’Institut Montaigne (transformer les retraites en un régime unique par points, à cotisations définies et retraite "à la carte" à neutralité actuarielle)
dans leur grande mansuétude, ils ont même pensé aux "pauvres retraités" : Mettre en place une garantie de pension de même inspiration que le RSA
Les personnes n’ayant pas gagné des droits contributifs à
pension suffisants pour vivre décemment durant leur
vieillesse percevront un complément de ressources. Ces messieurs sont trop bons !
– Pascal GOBRY , secrétaire général du SAIGI, syndicat "maison" des administrateurs et inspecteurs généraux de l’Insee : "Ainsi, un fonctionnaire qui cotise à un taux de 7,85 % pourrait tout aussi bien cotiser à 10,35% sans que son salaire net ne bouge d’un iota"
On lira Travailler plus pour mourir plus vite de Jean Marie Harribey une réponse argumentée à Pascal Gobry