Accueil > Ingrid Bien-en-cour laisse entendre qu’elle a pu être violée par les FARC !!!

Ingrid Bien-en-cour laisse entendre qu’elle a pu être violée par les FARC !!!

Publie le vendredi 11 juillet 2008 par Open-Publishing
13 commentaires

Que des mauvaises nouvelles :

 D’abord, Ingrid Bettencourt dit qu’elle n’a pas l’intention de rentrer bientôt en Colombie !!! On va se la farcir longtemps cette "martyre" qui a subi un "calvaire" (image christique s’il en est, mot repris par toute la "presse". Sauf que là, la croix devait être en polystyrène expansé, vu la forme éblouissante de sa porteuse, et son pouvoir de nocivité intact) ?

 Une accusation contre les FARC : ce serait parce-qu’elle craint les "représailles", qu’elle ne rentre pas tout de suite. Merde ! Qu’ils nous la reprennent ! Pitié ! Aucun Français n’a mérité une calamité pareille ! Une garde de paramilitaires devrait suffire à protéger ce joyau d’Uribush, non ?

 Autre accusation, lancée de manière plus subtile, mais franchement immonde : quand un journaliste US lui demande si elle a été abusée sexuellement durant sa captivité, elle répond : "je préfère ne pas répondre à cette question. Je crois qu’il y des choses qui doivent rester dans la jungle.". (On imagine le cinema de pudeur blessée, de souffrance secrète qu’on assume avec "bravitude", etc...)

http://www.aporrea.org/internaciona...

Notons qu’en tant que Colombienne, Ingrid Bien-en-cour doit se forcer pour utiliser le terme "jungle", car on dit plutôt là-bas, "la forêt".

Pourquoi se force-t-elle ? La jungle, vue d’ici, est terrifiante ! La simple "forêt", beaucoup moins. Il y a des Français, peut-être, qui croient qu’il y a des lions dans la "jungle" de Colombie ?

Titre d’une pièce de BertoldBrecht : "Dans la jungle des villes".

La "jungle" et les bêtes féroces sont à Bogota. Et à Paris.

Messages