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LA JAMBE GAUCHE ET LA JAMBE DROITE DU MEDEF DANS LE PERTHOIS !
Publie le mardi 10 avril 2007 par Open-Publishing3 commentaires
Gauche À ma gauche (c’est rare !), Michel BIARD Maire UMP de Vitry-le-François.
À ma droite, Charles-Amédée DE COURSON DU BUISSON Député UDF de la 5° Circonscription de la Marne... Ils sont inséparables, et on peut le vérifier de bulletin municipal en bulletin municipal. À eux deux, ils sont comme la jambe gauche et la jambe droite politiques du MEDEF dans le Perthois et le Pays de Vitry...
L’un est lié à Sarkozy et son idéologie répressive anti-populaire, l’autre se voit ministre de Bayrou ! Vont-ils nous faire croire que l’un est pour "la rupture" et l’autre "ni droite ni gauche" ?! Il faut arrêter de nous faire croire à leur différence à Paris quand ils sont cul et chemise à Vitry...
Je dis çà pour ceux qui, parmi mes amis principalement issus de l’immigration et habitant les quartiers périphériques, sont prêts à voter pour l’un pour empêcher l’autre de s’emparer du pouvoir. J’ai sillonné ces quartiers ces jours-ci et j’ai pu mesurer à quel point cette tentation limite politicienne revient dans les conversations.
La seule façon d’empêcher l’un ou l’autre d’accéder à la magistrature suprême au profit de toute façon du MEDEF c’est de mettre la barre à gauche à fond avec le vote Marie-George BUFFET !
Le vote Marie-George BUFFET c’est le seul vote dont on sait qu’il ne sera pas perdu pour le 2° tour.
NOSE DE CHAMPAGNE.
Messages
1. LA JAMBE GAUCHE ET LA JAMBE DROITE DU MEDEF DANS LE PERTHOIS !, 10 avril 2007, 20:34
ENCOURAGEMENTS…
Ce matin j’étais à une distribution du "4 pages" (A3 plié en 2 et écrit sur 4 versants) de la fédération PCF de la Marne "SECURISER L’EMPLOI ET LA FORMATION". Il s’agissait de populariser cette proposition de Marie-George BUFFET à la sortie des entreprises KADANT-LAMORT (victime des fonds de pension américains en 2005) et VALLOUREC-VPE (rachetée dernièrement par la groupe allemand SALGITZER) à Vitry-le-François. Au total près de 800 emplois...
À 11 heures 15, attendant le concours des 2 autres camarades prévus, je suis à la porte de l’immense parking Vallourec, juste à côté de la pancarte "Marolles". Nous allons rencontrer la sortie de l’équipe du matin. Nous remarquons de nombreux "A" (jeunes conducteurs) sur les lunettes arrières des voitures à l’arrêt. Un jeune approche de son véhicule, besace au dos et air las. Il ouvre sa voiture, s’y assoit et démarre pour passer à côté de moi. Il ouvre son carreau... Je lui demande : "CDD ?" (Il faut parler court, car il y a du monde qui attend derrière !). De la tête il me répond "oui". Je lui montre le titre en rouge bien gras... Il dresse le pouce droit et me dit "super !" , prend le tract, puis referme et démarre...
De nombreux autres jeunes, durant 3/4 d’heure (1 sur 3 pour les 150 salariés touchés aujourd’hui chez VPE) ont montré, à leur façon, leur satisfaction devant cet écrit : soit pouce dressé, soit le visage s’éclairant rapidement d’un sourire sympathique...
Ce travail fait par les communistes aux entreprises ne rencontre aucune concurrence... Voila bien une spécificité de notre militantisme qu’il faut conserver et cultiver.
Cet après-midi, nous allons à la Faïencerie SARREGUEMINES-SANITAIRES (qui sort à 15 H), puis au CHG…
Jean-Jacques POIGNANT.
1. LA JAMBE DROITE au 1er tour en 2002, 10 avril 2007, 20:51
http://image.radio-france.fr/reportage/photos/article/255000073-photo.jpg
2. LA JAMBE DROITE au 1er tour en 2002, 11 avril 2007, 22:27
Dix ans après les marches contre le chômage et la précarité (dont celle partie de Brest le 12 avril 1997) qui ont convergé vers Amsterdam le 17 juin 1997 c’est le MANIFESTE d’ATTAC qu’il faut propulser contre la même régression sociale qui perdure . Le Manifeste dispose en effet d’un volet social conséquent : Interdire les licenciements, augmenter les salaires de 300 euros, augmenter les minima sociaux, les pensions de retraite, récupérer les subventions publiques accordées aux entreprises qui licencient.
Ce Manifeste d’ATTAC mérite d’être porté haut et fort contre le libéralisme économique, surtout contre les ultralibéraux de plus en plus dangereux mais aussi contre les sociaux-libéraux qui cèdent constamment devant les éxigences du patronat. A ce propos, le néo CPE nommé « contrat première chance » proposé par Ségolène pour l’emploi des jeunes est une nouvelle récidive du socialibéralisme. Il s’agit bien d’un nouveau contrat spécifique alors que les jeunes veulent un CDI et un emploi stable.
CD