LA MARINE NATIONALE… COULEE ?

Marine Le Pen, adulée par la presse, il y a peu, se trouve reléguée à la dernière place aujourd’hui. Dominique Strauss Kahn, favori des sondages, au printemps, plonge dans l’hiver de sa carrière après une histoire américaine. Pourquoi la candidate d’un Front National, pourtant honni par la presse, avait-elle été propulsée au premier plan ?

L’année 2011 a vu le couronnement de notre Marine nationale.
La presse a su la faire remonter à la surface, l’a renflouée après le coulage historique du bateau paternel qui prenait l’eau de toutes parts… au point de faire de « la peine ».

Aujourd’hui, en fin d’année, à quelques mois des élections présidentielles, la fille du Guide suprême du Front National est dédaignée par cette presse qui l’avait lancée pourtant, peu de temps après son élection à la présidence de son parti, et propulsée au premier rang.

Les statistiques, les écrits, les supputations, les sondages, les prévisions faisaient d’elle la favorite des Français et la projetaient immanquablement au deuxième tour, écrasant une gauche déjà démolie par les luttes intestines, infantiles mais surtout clandestines, une gauche sclérosée, mitée et remisée.

Marine Le Pen devenait, par conséquent, une star des médias.

Invitée partout, non de son fait mais de celui d’une presse à l’arrière-pensée évidente, en dehors de quelques plateaux encore réticents, elle refaisait la virginité de son parti. Elle, y réussissait parfaitement puisque tous les organes d’information surent lui donner un tremplin pour exprimer ce qu’eux ressentaient sans pouvoir le dire. Elle était donc le haut-parleur, non point des Français comme on voulait nous le faire croire, mais plutôt d’une oligarchie aux desseins funestes.

Il est temps de se demander pourquoi autant d’égards pour la représentante d’un parti pourtant fustigé par les informateurs.

La réponse est simple : Marine Le Pen, malgré son talent évident dans la communication, n’a été que la marionnette, à son insu, de groupes occultes, le but étant in fine de faire passer un candidat choisi par eux.
Il n’est pas difficile d’imaginer qui est l’heureux élu.

C’est un homme de talent, compétent dans son domaine mais, bien entendu, soumis à l’idéologie qu’on ne veut pas révéler. Il est, certes, connu des Français mais ne parait pas nécessairement leur candidat idéal aux présidentielles. Dominique Strauss-Kahn est l’individu recherché pour pareille opération.

Certes, le candidat aurait l’opportunité d’être élu, toutefois à condition de le mettre face à un adversaire faible ou peu aimé… n’ayant aucune chance d’accéder à la Magistrature suprême.

Marine Le Pen faisait figure de cette antagoniste-là.

Néanmoins, face à d’autres candidats, plus expérimentés, plus près du Français moyen, elle n’aurait aucune chance de passer au premier tour sauf si l’on faisait son apologie.

D’où l’emballement de la presse à son égard car, ne l’oublions jamais, les médias ne sont pas libres puisque acquis par des magnats de l’armement entre autres et mégaphone de l’idéologie absconse.

Si Marine Le Pen passerait au premier tour avec pour adversaire Dominique Strauss Kahn, ce dernier pourrait être élu haut la main avec, à la clé, un résultat lui autorisant tous les pouvoirs, une liberté d’action illimitée pour un quinquennat ainsi que la mise en place d’une déstructuration de l’Etat… devenant, dès lors, prêt à être soumis à un Ordre Mondial Nouveau.

L’ère du Gouvernement Universel commencerait puisque l’une des plus grandes puissances au monde lui serait obéissante et ferait allégeance.

Mais… le destin en a voulu autrement et nous ne pourrons jamais assez remercier Nafissatou Diallo, la femme de ménage de Sofitel mêlée à l’affaire Strauss Kahn, car elle aura sauvé la planète… sans le savoir !

Depuis l’incident, lequel a fait couler beaucoup d’encre, notre Kahn national a perdu de sa superbe. Sa notoriété de « prédateur sexuel » a été connue le disqualifiant vis-à-vis de l’opinion française.

L’homme n’est donc plus crédible aux yeux des Hexagonaux.

Le complot a échoué.

Il n’est plus question de mettre en lice Marine Le Pen et encore moins de la faire passer au deuxième tour des élections présidentielles.

C’est pourquoi la presse… n’en parle plus !

CQFD !!!

A parier qu’elle la torpillera… à moins d’un changement dans la liste des autres candidats.