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La CGT et les medias capitalistes

par sadeche

Publie le mardi 2 décembre 2014 par sadeche - Open-Publishing
24 commentaires

Dans un système où les intérêts de ceux qui détiennent les capitaux et moyens de production sont incompatibles avec les intérêts de ceux qui produisent les richesses et qui vivent de leur travail, la CGT est le seul syndicat de classe en France qui défend les travailleurs et les salariés de l’entreprise .

L’efficacité du syndicalisme dépend du rassemblement du plus grand nombre de salariés. C’est pourquoi les attaques du patronat , la droite & l’extrême droite et leurs courroies de transmissions , les quotidiens capitalistes comme : Le Monde , la Libé , le Figaro , etc , contre Leapon et la CGT sont hautements politique.

Libération titrait : La CGT aurait dépensé 130 000 euros pour rénover l’appartement de Lepaon !
Le quotidien militariste et néolibéral le Monde « révèlait » hier : « L’Expansion enfonce le clou, en dévoilant que Thierry Lepaon a bénéficié d’une rupture conventionnelle lorsqu’il a quitté en 2013 la CGT de Basse-Normandie pour prendre la tête du syndicat au niveau national."

Notons , qu’une telle rupture conventionnelle n’a rien d’illégal car le transfert d’un salarié d’une entité juridique à une autre passe souvent par la rupture du contrat de travail et, lorsque le salarié perd son ancienneté, par le versement d’indemnités

Defendons la CGT car s’il existait un syndicat de travailleurs à défendre, le seul qui puisse présenter une histoire de classe et de masse, c’est bien la CGT !
L’ensemble des autres syndicats ne sont que des créations patronales et des appendices du capital, chargés de diviser et de distiller en goûte à goûte le réformisme et la compromission.

Toutefois malgré des difficultés actuelles , même si il faut lutter contre les déviations , le réformisme syndical , même si Il faut donner du poids à la lutte de classe , pour faire pencher la balance du bon côté, celui de la classe ouvrière , il faut soutenir et défendre la CGT.

sadeche

Messages

  • L’ensemble des autres syndicats ne sont que des créations patronales et des appendices du capital, chargés de diviser et de distiller en goûte à goûte le réformisme et la compromission.}

    C’est pour ne pas devenir ce que sont les autres centrales syndicales que l’on doit se débarrasser de cette direction réformiste et de bon nombre de permanents qui prennent les responsabilités comme un emploi a durée indeterminé.

    NOUS RETROUVERONS ALORS LE SYNDICAT DE CLASSE QUE NOUS N4AURIONS JAMAIS CESSER D’ETRE

  • Pour soutenir et défendre la C.G.T : grève des cotisations, démission de LEPAON, opportuniste pas assez proche des travailleurs et de leurs problémes,SA CONDUITE ET CELLE D’UN PATRON ; affaire a suivre.......

  • Comme je l’ai déjà dit sur Bellaciao, "la dérive" qu’a eu LEPAON est plus que grave.
    En effet, à la lecture des articles du Canard Enchainé, repris par tous les médias, cet appartement remis à neuf pour un montant plus qu’élevé, est, qu’on le veuille ou non, financé par les cotisations des Adhérent-es et a de quoi choquer !

    Comment la Confédération a pu fermer les yeux sur le montant de ces travaux alors que l’appartement avait été rénové par le propriétaire ?
    Pas de contrôle avant le projet ? Pas de Commission Confédérale ?

    La réaction des salarié-es lors des élections dans la Fonction Publique le
    4 décembre sera peut-être la réponse à ces "égarements financiers"

    Les adhérent-es, dont je fais partie, ne se contenteront pas de la réponse de LEPAON au Conseil National des 4/5 novembre.
    J’en attend une autre explication !

    • Oh, vous savez, ça fait longtemps que les confédérations ne vivent plus de la cotisation de leurs membres. Ou alors marginalement. Et bien là qu’est le problème, les syndicats seraient sans doute davantage à l’écoute de la base s’il n’y avait pas tous ces bureaucrates permanents dont la plupart sont complètement déconnectés du terrain et des luttes (quand ils ne sont pas des obstacles aux luttes). Ou est la lutte des classes quand les syndicats font dans la co-gestion en devenant les "partenaires sociaux" du MEDEF pour gérer les différentes caisses sociales ?
      Il faudrait commencer par mettre en cause la notion de paritarisme (dévoyé en plus) si on veut changer les choses. Les cotisations sociales, c’est du salaire différé et mutualisé (pour payer les retraites, la maladie, etc) Au nom de quoi cet argent n’est pas géré par les salariés ?

  • 62 ans !1000euros par mois,a la cgt depuis l age de 17 ans.des semaines de greves a mon actif a jour de mes cotisations .je ne peux accepter de defendre une derive reformiste de mon syndicat.c est nous qui collons,qui diffons a la porte des entreprises ,qui descendons dans la rue qui crions dans les manifs (de l argent il y en a dans les poches du patronat,pour la france dans haut des couilles en or pour la france d en bas des nouilles encore,le capitalisme c est la cangraine dans on le combat ou en en creve ! ect et )marre de nos dirigeants syndicaux qui accompagne la casse,marre d en prendre plein la geule sur le terrain de toutes ces revelations,nous ne demandons pas que nos dirigeants creve la dalle ,mais nous voulons des cadres qui n oublient pas d ou ils viennent,des responsables avec des positions de classe ,des gens pres de la base,nous n en pouvons plus d etre oblige de defendre l indefendable,l injustifiable devant une base qui n a plus de repaire ,vires des entreprises ,casses, humilies par des tauliers de plus en plus arrogants !rendez nous la cgt ,celle que les buraucrates ont devoyes n est pas la cgt du front populaire ,celle des ravailleurs au smic ,celle porteuse d esperance de lendemais qui chantent !ASSEZ,si justement nous voulons rassembler revenons a nos fondamentaux ,a des positions de classe.pour que la cgt soit efficace il nous faut se debarrasserde tous les gens qui ne sont pas des militants mais des arrivistes qui transforment notre syndicat en un pole reformiste .ce n est pas en faisant l autruche ,en criant nous sommes les plus beaux les plus forts ils sont tous contre nous patrons medias etat social liberal que nous avancerons c est en crevant l abces ,en refusant de devenir une cfdt bis ,en refusant la collaboration de classe !

    • @Yves

      Je partage tout à fait votre point de vu d’autant plus que dans cette période particulièrement difficile pour le monde du travail , il faut surtout donner du poids à la lutte de classe , pour faire pencher la balance du côté de la classe ouvrière .

      Je crois aussi que l’honnêteté, loyauté et la transparence doit être la ligne de conduite et la manière d’être de tous les dirigeants syndicaux et des partis de gauche anti capitaliste.

    • Je partage les interventions critiques ci-dessus , j ’ajoute que la CGT a combattu la rupture conventionnelle du contrat de travail alors il est inadmissible que son secrétaire général s ’empresse d’ en demander le bénéfice dans des conditions plus que douteuses ce qui ne peut que discéditer toute l’organisation c ’est du "faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais " ...la justification est en outre d’une hypocrisie la mentable " c’ est légal " ... peut-être , mais à qui fera t’on croire que LE PAON a été licencié par la CGT de sa région POUR ETRE REEMBAUCHE PAR LA CONFEDERATION !!!

      on nous reproche de nous exprimer en dehors de l’organisation et de critiquer la direction et donc toute la CGT , mais peut-on s ’exprimer dans l’organisation et être entendu ? de plus qui s’exprime en dehors de l’organisation en tenant des propos contraires aux valeurs, aux statuts et à la ligne de classe de la CGT si ce n ’est T LE PAON (ex : voir l interwiew au nouvel économiste ) et cette expression " extérieure " est autrement plus dangereuse que les "fuites " organisées pour être entendu , car elle remet en cause la participation et la contribution de la CGT à la lutte de classe à la luttte contre le capitalisme à la lutte contre un patronat plus vorace que jamais à la lutte contre une europe au service du capitalisme ...AU NOM DE QUEL PRINCIPE T LE PAON aurait-il le droit de s’exprimer à l’extérieur des instances de la CGT en tenant des propos réformistes dignes de la CFDT et que ceux qui défendent le syndicalisme de classe et se battent pour que les luttes soient au coeur de l’action de la CGT devraient se taire et réserver leurs critiques aux structures de base qui ne les font pratiquement jamais remonter à la confédé , lorsque la démocratie syndicale est bafouée pour liquider la CGT et en faire un syndicalisme d’accompagnement , c ’est un devoir de dénoncer et de combattre les liquidateurs à l’intérieur comme à l’extérieur de la CGT , ceux qui essaient de nous faire taire à l’ intérieur n"ont aucune leçon à nous donner .

    • Je ne prends pas position sur le fond de l’article et des commentaires, juste faire remarquer que délocaliser son siège social en Suisse aussi c’est légal et même tuer des manifestants apparemment.

  • illegaleou pas on s en fout !la cgt le probleme ce n est meme pas t lepaon c est le fait que nos responsables se comportent comme si ils etaient a la tete d une baronnie comme si nous etions un etat dans l etat mais pas une orga qui lutte contre un etat social liberal.j aimerais connaitre les finances de la cgt,et si nous avons des sous pourquoi pas une radio cgt ,pourquoi pas des caisses de greves ,pourquoi pas le financement de scoop !face aux medias capitalistes nous devons etre plus que les autres etre exemplaires ,avoir une ligne politique precise,des alliance avec des gens qui nous ressemblent(sud,fsu,confederation paysanne)et etre precis nos amis nos camarades sont tous ceux qui ont des positions de classe qu ils soient au pcf au npa a lo chez les libertaires ont s en fout l important pour nous dans une situation d urgence social face aux liberaux du fn de l ump du ps c est d expliquer aux salaries que l histoire n est jamais figes c est nous qui devons l ecrire la lutte de classe existe et nous sommes en phase de la perdre !pour revenir aux fondamentaux nous devons petitionner en interne,exgiger des ce extraordinaires,consulter la base,ouvrir les instances ,elargir memes aux syndiques non elus ,donner de l air a l appareil il y a urgence !le 16 octobre dans la rue nous n etions pas nombreux ,le 15 novembre nous aurions du etre dans la rue confederalement,tous ceux qui luttent contre l austerite sont nos camarades,tous ceux qui luttent pour la defense des services publics sont nos camarades,tous ceux qui ne veulent plus qu une entreprise qui fait des benefices puissent licencier sont nos camarades.et a tous ceux qui liront ces lignes le sache je ne suis ni au npa,ni a lo,je ne suis qu un miitant de base ayant conduit des conflits avec des positions de classe si les lectures marxistes m ont enrichi je n oublierais pas celle de bourdieu,de louise michel ,des lectures de l huma,de sine,de la presse syndicale,du journal l anticapitaliste,et n en deplaise a la cgt le canard enchaine.les problemes ne sont pas QUE la presse bourgeoise,le probleme ce sont nos failles organisationnelle ,structurelle,notre bureaucratie,faisons remonter notre mecontentement bougeons nous ne soyons dans le reflexe de l escargot qui rentrerais dans sa coquille faisons nous meme notre menage !vive la lutte de classe que vive la cgt yves un miltant cgtiste en colere qui veut encore croire au grand soir !(je ne suis pas un infiltre qui veut casser la cgt,un agent du capital ,je peux a tout ceux qui le souhaite divulgue mon identite.je voudrais tant que nous ne crevions pas que je lance un cri du coeur)

    • inqualifiable et à combattre !

      Il faut des règles dans la CGT et des qu’on en parle on se fait tailler ! pas plus de deux mandats ! aucun complément de salaires tu prends des responsabilités parce que tu y crois et pas pour ta carrière ! pas de temps complet tu restes dans la boite et oui tu t’entoures et on évitera l’ego démesuré ! Meme le numéro 1 de la confd doit aller au travail pas à Montreuil car la c’est pas le travail ! Quand vous voyez des sois disant dirigeants qui n’ont travaillé que quelques années et HOP à temps complet toute la vie c’est pourri pour l’organisation et pour eux ! Des dirigeants à vie des salariés qui sont des politiques et donc en subordination avec la CGT tu crois rêver ! Et les administratifs recruté non pas parmi les militants mais sur CV....STOP à l’entreprise CGT et oui il y a deux cgt celle là et celle des UL lieux de luttes de fraternité et surtout d’honnête mal mise par les bureaucrates qui ne veulent plus aller au TAF et ferment leur grandes bouches en congrès mais l’ouvrent à tout va en bureau sous peine d’être TAILLE ! Et bien camarades tout les militants à qui on à enlevé les droits syndicaux, salis la réputation parce qu’ils avaient des positions de classes peuvent être satisfait d’avoir tenu malgré les attaques : Des règles pour assainir la CGT et mettre fin à ce spectacle désastreux sans quoi la CGT ne se relèvera pas.

  • La CGT syndicat de classe, ah bon ! Voilà ce que déclarait Lepaon au Nouvel Economiste, en mars dernier : "Il n’existe à la CGT aucune opposition de principe face au patronat. L’entreprise est une communauté composée de dirigeants et de salariés. Ces deux populations doivent pouvoir réfléchir et agir ensemble dans l’intérêt de leur communauté". L’entreprise, une communauté... de patrons et de salariés ! Oui, vous avez bien lu ! Pas la moindre trace de lutte de classe dans cette déclaration que Valls, Hollande et Berger auraient très bien pu signer.
    Qu’en pleine contre-révolution thermidorienne, magnifiquement incarnée pas le célèbre "j’aime l’entreprise" de Valls, le secrétaire général de la CGT tienne ce type de propos n’est pas anodin. A partir de là, chacun jugera de l’attachement de Lepaon à la lutte de classe, comme pensée et comme pratique.
    Fabrice Sacher

    • je connaissais l article du nouvel economiste ,il est clair qu on peut que reconnaitre que le bureau confederal et son secretaire non pas une ligne de classe,le probleme est simple ailleurs c est pire !alors ?comment faire ! on essaye de changer l interieure ? on reconstruit la cgtu ?ce qui est sur c est qu il y a urgence a agir.il y a des militants qui doivent se retourner dans leurs tombes.la casse va etre terrible.quand je pense aux militants que je rencontre dans la rue je suis malheureux.de plus a la tete d une orga comme la notre on ne veut pas d un salarie d un mec qui apprendrais dialectiquement un discourt pour le recracher dans le medias on veut un militant !un ou des meneurs,pas des fonctionnaires syndicaux.alors une rupture conventionnel cela signiefirais qu on gere un syndicat comme une entreprise !arretons ce cirque ,reveillons nous,montons au front et faisons ce qu il faut pour redevenir ce que nous etions. vive la lutte de classe vive le conflit vive la greve vive les salaries en lutte et mettons a bas cette derive cette bureaucratie !

  • Mort de rire...

    Vous défendez une dérive de la CGT que vous seriez les 1ers à dénoncer s’il s’agissait de quelque d’autre ou d’un autre syndicat.

    Après tout, M. Lepaon est un patron comme un autre

    • justement ce que l on ne peut tolerer chez les autres nous ne pouvons l accepter a la cgt !moi je ne suis pas mort de rire camarade,pas de cgt,pas d outil syndical cela serais encore pire.et si nous ne pouvons changer les choses de l interieure que reste il comme option !a chaque fois qu autre syndicat se monte il prends les syndiques au syndicats existants !mais au bout il n y a pas plus de syndiques.nous devons changer les choses de l interieure creer une dissidence un courant dans la structure (des solutions existent meme a l echelon local ou dans certaines fedes:par exemple retention de cotises,exigeons des assemblees d ul extraordinaires)non mes amis nous ne sommes pas mort de rire mais plutot triste a pleurer !car les perdants dans l immediat ce sont les salaries,les chomeurs,les retraites de ce pays ! un sursaut vite et tous sur le pied de guerre .il nous faut fasse au capital un outil ,nous en avons un sachons nous en servir .comme en politique ce n est pas parceque certains ont traines dans la boue nos plus beaux drapeaux que ne doit pas se les reappropries !la cgt nous appartient c est a nous de faire ce qu il faut !debout camarades !une cgt ,une cgt bis une cgtu mais depechons nous de defoncer les portes .faisons sauter la chappe de plomb prouvons que rien n est fige !salutations revolutionnaires yves

    • Si la CGT était un syndicat de classe elle ferait une propagande intense pour la GREVE GENERALE... Il ne faut pas cacher aux salariés que c’est la SEULE OPTION avant 2017 pour bloquer l’offensive ultra libérale...
      Sinon SUD est peut-être un syndicat petit-bourgeois mais en 2003, à GRENOBLE, ils ont tout fait pour intensifier le mouvement et promouvoir l’idée de GREVE GENERALE en essayant de coordonner la lutte contre la paupérisation des retraites avec d’autres revendications (droits des chômeurs...etc...).
      Par-contre le seul but des dirigeants locaux CGT, suivis plus tard par FSU était de maintenir à tout prix une unité imbécile avec les sociaux traîtres de la CFDT + ne pas refaire décembre 1995... BREF ! depuis je pense que ces gens-là (les dirigeants, pas la base) ont pour but d’organiser des défaites humiliantes des salariés...

    • INDEMNITÉS DE LE PAON : LES MILITANTS PAYENT

      Le Paon, secrétaire de la CGT, a touché des « indemnités de départ » quand il a quitté son poste de secrétaire régional de Basse Normandie pour sa fonction nationale. Il s’est justifié, expliquant que, changeant d’employeur, cette indemnité était légale. Légale, sans doute, mais peu reluisante.

      Certes, ceux au sein de la direction de la CGT qui alimentent la presse distillant ces informations et les journalistes qui les diffusent ne sont pas motivés par la défense des intérêts du monde du travail. C’est peu de le dire. Ils visent bien plus la CGT qui est incarnée par les militants qui, dans les entreprises, essayent, tant bien que mal, de s’opposer aux exploiteurs. Mais un dirigeant qui gère sa carrière à l’image de cadres d’entreprise à la quête de quelques minables privilèges, cela à de quoi heurter ceux dont l’activité quotidienne est discrédité par ce comportement de bureaucrate à la petite semaine.
      Les mœurs de Le Paon vont avec la ligne politique qu’il préconise, à la remorque d’un gouvernement qui montre chaque jour qu’il est dévoué à la défense des intérêts des patrons.
      Mais la CGT, ce n’est que pas que Le Paon. Et c’est heureux.

    • Vu l’organisation des permanents de la CGT, cette affaire de prime est légale en effet, car nous sommes dans une société capitaliste avec un code du travail pour "garantir " au minimum les droits des travailleurs et la CGT n’échappe pas à ces lois.
      Rien à dire. Par contre pour le montant des travaux, le ver de la déconnection des permanents vis à vis préoccupations des travailleurs de la base est dans le fruit...

    • Désolé, camarade, mais ce n’est pas une question de droit du travail, mais une question morale. Ou alors tu considères que la CGT est une entreprise avant que d’être une organisation militante. Rien n’empêchait le camarade Le Paon de négocier la rupture conventionnelle à 1 € symbolique. Là, on ne sait même pas combien il a palpé. C’est un secret d’état. Si ça se trouve il a touché un gros paquet de pognon ? Va savoir. Tout est possible dans la mesure où il n’y a aucune transparence.

    • ""Vu l’organisation des permanents de la CGT, cette affaire de prime est légale en effet, car nous sommes dans une société capitaliste avec un code du travail pour "garantir " au minimum les droits des travailleurs et la CGT n’échappe pas à ces lois. ""

      ben heureusement que l’esclavage n ’est pas rétabli !!on verrait les chaînes à Montreuil mais ce serait légal !!

      OHH tu te rends compte de ce tu justifies ?
      l’acceptation des pires saloperies du patronat utilisées par la CGT parceque c’est légal !!

  • Tout n’est pas la faute de ’’ l’extérieur ’’ Et désigner des boucs émissaires est bien utile : Cela évite les débats de fond et les nécessaires auto-critiques . En fait tout ceux qui ne veulent voir que l’hostilité des médias dans les difficultés que traverse la CGT sont complices de l’omerta sur les questions fondamentales qui se posent au syndicat cgt aujourd’hui : accompagnement du capitalisme ou syndicalisme de classe reposant sur ses deux jambes ( actions revendicatives aidant les salariés à mieux ’’ vendre ’’ leur force de travail - contestation du système capitaliste responsable de la misère sociale .
    Il ne faut pas se cacher qu’existe aujourd’hui à la CGT un courant fortement représenté au sein des instances nationales qui souhaiterait sans faire trop de bruit entraîner la CGT aux côtés de la CFDT ( syndicalisme rassemblé ) dans un syndicalisme réformiste capitulationiste .