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La chronique de Charles Edouard DURANT de la PLEINE FOUILLE
Publie le mercredi 1er octobre 2008 par Open-PublishingChers amis contribuables,
C’est avec plaisir que je m’adresse à aujourd’hui et je souhaite vous parler de liberté, d’entreprendre, de dynamiser l’économie de notre pays. Je voudrais attirer votre attention sur les difficultés que nous avons à faire vivre toutes ces valeurs. Et dans cette part de combat, vous avez votre place, VOUS , citoyens. Comme nous vous le disons souvent, notre collaboration est le sang de notre avenir, sans vous, des hommes ( ou des femmes ) ne peuvent créer des entreprises, des emplois , de la plus value.
Vous le savez ,aujourd’hui grand nombre d’investisseurs et d’acteurs économiques sont en difficulté. Je ne vous parle pas de mes pauvres amis américains qui ont placé leur argent dans les banques qui ont creusé un trou et récolté le tas. Non je vous parle de personnes que vous connaissez bien et que vous aimez pour vous avoir fait connaitre de grands moments de bonheur grâce à l’OM. Oui je veux vous parler de Monsieur Bernard TAPIS. Enfin justice lui a été rendu , sa force d’entreprendre a été reconnue , après avoir été spolié, vous allez vous contribuables, rendre à Bernard sa fortune ( encore qu’il en perde beaucoup). Là encore , il faut rendre hommage à Monsieur le Président qui a su rendre justice. Oui cet homme dynamique et entreprenant, qui a bâti sa fortune à la force de ses mains pour emprunter a su faire fructifier ses investissements en sauvant des entreprises sauver des emplois a tout perdu.
Lâché par ses amis socialistes et de droite, il a su reconquérir sa place grâce a la télévision et au Président SARKOZY.
Et sachez que jamais, mon ami Bernard et tous ceux qui le soutiennent n’oublieront jamais votre générosité, votre soutien à la liberté d’entreprendre.
Nous devons vous mettre en garde contre une poignée d’oiseaux noirs ou rouges qui prétendent que vous contribuables, vous n’avez rien à voir dans ce fiasco, qu’il n’est pas juste que vous mettiez la main à la poche pour renflouer le compte en banque de Bernard TAPIS.
Première chose, ils se trompent car la banque qui a spolié mon ami Bernard était à forte participation de l’Etat, donc l’Etat est dans le coup et comme l’Etat c’est vous, vous devez assumer. C’est à Monsieur Jean PEYRELEVADE qui dirigeait le Crédit Lyonnais à l’époque que je vous conseille de vous adresser. J’aimerai aussi vous donner les noms et adresses des élites qui dirigent nos institutions financières mais, vous me connaissez, la délation n’est pas dans mes habitudes.
Voila chers citoyens contribuables, la triste épopée d’hommes d’affaires qui font vivre le pays.
Dans ma prochaine chronique je vous parlerai de mes amis investisseurs américains et européens qui dont la situation est dramatique. Vous le verrez , il est difficile de retenir ses larmes. A votre bon cœur messieurs dames.
Charles Edouard DURANT de la PLEINE FOUILLE