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Le roi Nico...

Publie le dimanche 27 mars 2011 par Open-Publishing
5 commentaires

Jusqu’à quand les gens accepterons que l’on se moque d’eux ?
Notre super président décide une intervention en libye quasiment tout seul dans son coin...
Excés d’égo, Nécessité présidentielle, Ingérence pétrolifère ?
surement un peu des 3...
Dans tous les cas, à quoi sert d’avoir créee l’europe dans ces conditions ? et l’otan, et l’ONU...
C’est du grand n’importe quoi.
Mais quand allons nous fiche la paix aux pays soit disant en détresse ?
Il fait les laisser gèrer tout seul leur crise, ils sont assez grand pour cela.
Toute révolution digne de ce nom se fait dans le sang, c’est triste mais c’est comme ça.
Comment avons nous fait en 1789 ?....
Pauvre France.

Messages

  • Gavés au super héro et aux series télevisées ! quelle merde !

    • à quelques exceptions près, disons 1789 et la Commune de Paris, la France a toujours été un pays de droite.
      Aujourd’hui elle est gouvernée par un adepte de G W Bush
      Tout va bien au pays des Lumières

    • quand les français se réveilleront, ou plutot quand ils se feront réveiller au sujet de cette sale guerre de Lybie, ils accuseront Nico des les avoir entraîné à l’insu de leur plein gré dans cette sale histoire et not’bon président sera le bouc émissaire. Ils auront oublié leur soutien sans faille puisque le coupable sera désigné. Les français se réintéresseront alors aux exploits des bleus en chantant "et un et deux et trois....zéro" !....
      Bon, là je me calme.....

  • A lire ce fil de discussion, il apparaît que le peuple n’a pas du tout le beau rôle. C’en est même dangereux !

    Si on se penche un tant soit peu sur notre Histoire nationale, on constate que le peuple n’est pas aussi veule que ces 3 ou 4 posts le laissent apparaître.

    La Révolution française fut une guerre civile. Durant laquelle les forces populaires virent leurs forces réprimées par la contre révolution. La Terreur blanche procéda méthodiquement à l’élimination des révolutionnaires les plus résolus. C’est encore le peuple qui subit les répressions de 1830, 1848 et de la Commune de Paris. C’est encore lui qui se transforme en charnier durant la Grande Guerre. Sous l’Occupation, les éléments les plus sains participent à la Résistance et se voient très durement réprimés.

    En face, la bourgeoisie s’est dotée d’instruments de propagande et de désinformation. Mais c’est encore le peuple qui en est la seule victime : 7 millions de chômeurs, régression importante et continue du pouvoir d’achat, aggravation des conditions de vie, etc....

    Réagir ainsi au lendemain d’élections montre en fait une déception qui se retourne contre l’électorat populaire en trahissant un mépris souverain du peuple.

    Si l’on prend en compte l’abstention pour ce qu’elle est, à savoir un message très politique, on comprend que l’électorat populaire se détourne des urnes, mais aussi et surtout du système décrit comme démocratique. La prise de conscience est majoritaire qui analyse cette démocratie pour ce qu’elle est : une apparence de démocratie où tous les dés sont pipés : presse aux ordres, Etat exclusivement patronal, simulacre de consultations électorales.

    Le peuple fait au contraire la démonstration de sa lucidité. Et il semblerait que beaucoup de militants, qui se considèrent révolutionnaires, commettent un grave contresens politique : ils survalorisent la question électorale, prouvant ainsi qu’ils sont entrés dans une démarche électoraliste.

    L’abstention est devenue une attitude politique stable qui se répète d’élection en élection. Loin de faire des abstentionnistes des pêcheurs à la ligne (comme on a pu le lire ici même), l’abstention montre, prouve l’état de défiance du peuple à l’encontre du simulacre bourgeois qui prétend donner une démocratie qu’elle confisque dans les faits. Comment procéder à un chômage de masse tout en consultant le peuple ? Comment décider d’une guerre, Afghanistan et Libye, sans recourir à une consultation réellement démocratique ?

    Tout montre à l’évidence que la solution politique aux problèmes du peuple ne peut pas être et ne sera pas électorale. Dit autrement, tout montre que cette solution sera insurrectionnelle ou ne sera pas.

    Regardons les autres pays et les autres peuples : manifs, révoltes et révolutions.

    En France, il faut attendre que les conditions objectives soient réunies et que la situation soit mûre. L’abstention nous dit que le processus est déjà enclenché.

    • A l’évidence, les politiques maintiennent leur conduite irresponsable en faisant peser sur les peuple la responsabilité de l’abstention.
      Une fois de plus, ils sont arc-boutés sur la poule aux oeuf d’or et cherchent par tous les moyens à conserver ce modèle démocratique qui leur va si bien.
      Cumul des mandats, des retraites, amnystie généralisée...
      8000€ par mois pour un député européen, 26000 euros de frais de fonctionnement..
      Avec notre argent, celui des salariés, des femmes et des hommes payés 1500 euros, que l’on paye pas cher quand ils n’ont pas d’expérience et qui coûtent trop cher lorsqu’ils ont 50 ans.
      Tout augmente et tous les salariés sont touchés.
      A paris, des travailleurs dorment sous des tentes car les loyers sont trop élevés, pendant que des dizaines d’appartement restent fermés.
      Les prélèvements sociaux augmentent alors que les remboursement diminuent.
      Pendant ce temps les banques crachent des milliards de bénéfice, 2 ans seulement aprés la sois- disantcrise (?),
      La liste est longue.
      Jusqu’à quand pourront nous supporter cela ?
      Les beaux jours de la démocratie politicienne sont derrière nous.
      Ce n’est qu’une question de temps.
      Il faut que le peuple s’éveille en une conscience collective humaine pour renverser ce chaos.
      Les privilèges ont déjà coutés sa place à la monarchie et il en sera de même pour le système d’aujourd’hui, tôt ou tard.