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Le système financier mondial tente d’éviter l’effondrement
Publie le dimanche 12 octobre 2008 par Open-Publishing1 commentaire
Le système financier mondial tente d’éviter l’effondrement
12 octobre 2008 - 17:19
A Washington, le FMI approuve un plan d’action. Et son directeur général Dominique Strauss-Kahn met en garde contre un « effondrement du système financier mondial ». Côté suisse, la délégation ne dit rien de la santé des deux grandes banques du pays.
Le Comité Monétaire et Financier International, instance politique du FMI (Fonds Monétaire International) a approuvé un plan pour tenter de rétablir la confiance dans les banques privées, stabiliser les marchés financiers et relancer le crédit. La Suisse y était représentée cette année par Jean-Pierre Roth, président de la Banque nationale suisse (BNS), en raison de la convalescence du ministre des Finances Hans-Rudolph Merz.
Pour l’essentiel, ce plan reprend le texte adopté vendredi soir par les ministres des Finances et de l’Economie du G7, le groupe des pays les plus industrialisés. Mais le directeur général du FMI, le Français Dominique Strauss-Kahn, déplore que le G7 et le Comité s’en soient tenus à des engagements généraux, sans annoncer de mesures concrètes.
Au bord de l’effondrement
Alors que les Etats-Unis prêchaient la patience, pour laisser le temps d’agir aux différents plans de sauvetage déjà lancés par plusieurs pays et aux baisses d’intérêt et autres injections d’argents frais consentis par plusieurs banques centrales (y compris la BNS) Dominique Strauss-Kahn a souligné l’urgence d’une action concertée des gouvernements.
« L’intensification des préoccupations en matière de solvabilité de plusieurs des plus grands établissements financiers américains et européens ont poussé le système financier mondial au bord de l’effondrement systémique », avertit le patron du FMI.
Dominique Strauss-Kahn n’a pas cité les noms des établissements bancaires auxquels il faisait allusion.
Discrétion et confiance
Lors de la conférence de presse de la délégation suisse samedi soir, Jean-Pierre Roth s’est refusé à s’exprimer pour swissinfo sur l’état de santé des deux plus grandes banques suisses, UBS et Credit Suisse,
Vendredi, le gouvernement suisse a annoncé que, dans un geste inhabituel, la ministre des Finances par intérim, Eveline Widmer-Schlumpf, annulait sa participation aux réunions de Washington pour rester en Suisse, suivre la situation des marchés financiers au quotidien et demeurer en contact direct avec la Commission fédérale des banques et la BNS.
Pendant ce temps à Washington, Jean-Pierre Roth et Doris Leuthard, ministre de l’Economie, se sont voulu rassurants. « Nous ne voulons pas du tout que l’une de nos grandes banques se retrouve dans une crise grave qui pourrait conduire à la faillite et le gouvernement fédéral empêcherait absolument cela », a dit Doris Leuthard vendredi soir.
La ministre de l’Economie se disant par ailleurs favorable, comme Madame Widmer-Schlumpf, à l’examen par le Gouvernement de la proposition du Parlement de relever le plafond de la garantie des dépôts bancaires, fixé pour le moment à 30’000 francs (alors que l’Union européenne est à 80’000).
« Pas un Bretton Woods »
« Pendant la réunion du Comité du FMI, il y a eu convergence de vues et il a été clairement dit qu’aucun pays ne laissera tomber un établissement bancaire », assure pour sa part Jean-Pierre Roth.
Pour autant, la réunion de crise de l’organe politique du FMI « n’était pas un Bretton Woods », nuance le patron de la BNS, faisant référence au sommet international qui, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, avait restructuré le système économique mondial en créant le FMI et la Banque Mondiale.
« Ce sont les problèmes à court terme qui ont dominé », précise Jean-Pierre Roth, avant de prévenir qu’« une fois la situation maîtrisée, il faudra penser à l’avenir ».
« Cette crise est terrible, mais demain, si nous ne voulons pas revivre la situation actuelle, il faudra que les banques soient en mesure d’absorber les chocs. Objectif numéro un, des banques plus capitalisées et moins endettées ».
Les contribuables devront-ils être encore et toujours sollicités pour aider des banques privées ? « Le marché est là pour recapitaliser les banques », répond le patron de la BNS.
Leçons à tirer
Par ailleurs, Jean-Pierre Roth admet que « certaines leçons seront à tirer de la crise actuelle » en ce qui concerne la capacité du FMI, de la Banque Mondiale et des gouvernements à prévoir les crises. Le FMI, en particulier, qui est pourtant sensé être le surveillant de l’économie mondiale, n’a pas vu venir la crise actuelle, comme il n’avait pas prévu la crise asiatique de 1997.
« Des erreurs de jugement ont été faites par tous les Etats, notamment aux Etats-Unis où on a laissé se développer ce marché du crédit immobilier à haut risque. A un moment donné, il faudra donc se demander si les instruments d’examen, ceux du FMI en particulier, sont à la hauteur des défis qui peuvent se présenter », poursuit le patron de la BNS.
swissinfo, Marie-Christine Bonzom à Washington
LES BANQUES SUISSES MAL CLASSÉES
Selon un classement du Forum économique mondial publié vendredi, c’est le Canada qui a le système bancaire le plus sain et le plus solide du monde, devant la Suède, le Luxembourg, l’Australie et le Danemark. La Suisse ne se classe que 16e, juste avant la Namibie...
Interrogé par swissinfo sur la signification de ce classement pour les banques suisses, le président de la BNS a rappelé que le WEF « range la Suisse au second rang mondial en ce qui concerne la compétitivité ».
Jean-Pierre Roth a par ailleurs minimisé la portée de ce classement général des systèmes bancaires. « Si on regarde les détails de cette étude, on se rend compte que le Forum a mélangé les serviettes et les torchons », a-t-il affirmé.
LE FMI
Comme la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) été fondé en 1945.
Le FMI s’occupe avant tout de coopération monétaire, de stabilité financière et de prévention des crises économiques.
Le FMI a 185 pays membres. Chacun contribue au capital de l’institution en proportion du poids de son économie. Ce poids lui donne aussi une quote-part lors des votations internes.
LIENS
• FMI, Fonds Monétaire International (http://www.imf.org/external/french/index.htm)
• La Suisse et le FMI, sur le site de l’administration fédérale des finances (http://www.efv.admin.ch/f/themen/iwf/)
http://www.swissinfo.ch/fre/swissinfo.html?siteSect=105&sid=9837080
Messages
1. Le système financier mondial tente d’éviter l’effondrement, 12 octobre 2008, 19:27, par Michèle DRAYE
UNE RENCONTRE SECRÈTE DU CONGRÈS POUR DISCUTER
DE LA LOI MARTIALE IMMINENTE
Le 13 mars 2008,
la Chambre des Représentants des États-Unis (United States House Of Representatives) à Washington a tenu une rencontre secrète derrière des portes closes
http://www.huffingtonpost.com/2008/03/1 … 91490.html .
Dans l’histoire des États-Unis ceci est seulement la quatrième fois qu’une rencontre secrète est tenu par la Chambre. Malgré le fait que les Représentants ont fait le serment du secret sous le règlement ‘House Rules XVII’, quelques uns des membres étaient tellement sous le choc, horrifiés, furieux et inquiets à propos de l’avenir de l’Amérique par ce qui leur a été révélé lors de cette rencontre secrète, qu’ils ont commencé à laisser échapper cette information secrète à des agences indépendantes de nouvelles partout dans le monde.
Les médias d’information n’ont à peu près rien dit à propos de cette rencontre secrète de la Chambre, ne mentionnant seulement qu’un des items devant être discuté. (Les nouvelles techniques de surveillance qui seront utilisées par le Gouvernement des U.S.A. pour surveiller tous les citoyens Américains).
L’histoire a été relâchée dans un journal de Brisbane, Australie
http://www.australia.to/story/0,25197,2 … 0,00.html,
dévoilant ainsi le contenu de la rencontre secrète du Gouvernement des U.S.A.
et des plans pour l’Amérique touchant tous ses citoyens.
Peu après, David J. Meyer du Last Trumpet Ministries
http://www.lasttrumpetministries.org/2008/May2008.html
l’a trouvée et l’a rendue disponible afin que le monde entier puisse la voir.
Voici ce qu’elle révélait :
L’effondrement imminent de l’Économie des U.S.A. qui doit survenir vers la fin 2008.
(http://www.uaff.us/)
L’effondrement imminent des finances du Gouvernement des U.S.A. vers le milieu de 2009.
[b]
La possibilité d’une Guerre Civile à l’intérieur des États-Unis qui résulterait de l’effondrement.
Les déplacements prévus des ‘Citoyens rebelles des U.S.A.’ qui marcheront vraisemblablement contre le gouvernement. http://www.camerawar.tv/?id=7
La détention de ces déplacés vers les Camps ‘The REX 84’
http://uweb.txstate.edu/~lf14/conspire/rex84.html
qui ont été construits partout au travers des États-Unis.
La possibilité de représailles de la part du public contres les membres du Congrès à cause des effondrements.
L’emplacement des installations pour les membres du Congrès et de leurs familles devant leur servir d’abri durant l’arrestation massive des civils.
La fusion nécessaire et inévitable des U.S.A. avec le Canada et le Mexique établissant ainsi l’Union Nord Américaine.
L’émission de la nouvelle monnaie appelée l’AMÉRO pour les trois pays en tant que solution économique.
EN FRANCE
Le gouvernement a choisi de s’aligner sur le plan PAULSON et de soutenir les banques
en "adossant les emprunts aux revenus des Français"
La faillite de l’économie américaine a été déclarée dans les temps annoncés en mars
ce qui est la preuve d’un plan déterminé à l’avance
La suite, la faillite du gouvernement aura donc lieu dans les termps fixés au milieu de 2009
donc,
EN FRANCE nous devons nous attendre à subir le même régime (sauf imprévu)
ce qui signifie que les aides sociales les retraites, etc...ne seront plus assurées
comme ce fut le cas en Argentine et en Russie récemment
En conséquence pensez à stocker des produits de grande consommation en quantité suffisante
et de l’argent liquide (si vous le pouvez) pour plusieurs mois.
Sur un forum, j’ai lu qu’au Canada des tickets de rationnement avaient été imprimés en deux langues
Michèle