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Les Bourses frôlent le krach : l’Europe craque, l’Asie plie

par indices totaux ne reflettant pas les vraies variations

Publie le mardi 9 août 2011 par indices totaux ne reflettant pas les vraies variations - Open-Publishing
10 commentaires

La tempête continuait de s’abattre mardi en début d’après-midi sur les Bourses mondiales, craignant une nouvelle récession aux Etats-Unis et une contagion de la crise de la dette en zone euro. Après avoir plongé entre -4% et -6%, les Bourses européennes ont commencé à se reprendre.

Vers 13h30, le Swiss Market Index (SMI) chutait encore de 1,35% à 4900,86 points, avec un plus haut à 5081 et un plus bas à 4695 points depuis l’ouverture. Au même moment, Londres passait dans le vert après avoir cédé plus de 5% en matinée. Paris ne perdait plus que 1,16%, Francfort en revanche 3,14%. Milan (-1,08%) et Madrid (-1,09%), dont les gouvernements sont sous pression des investisseurs et des agences de notation, limitaient la casse.

La tempête continuait de s’abattre mardi en début d’après-midi sur les Bourses mondiales, craignant une nouvelle récession aux Etats-Unis et une contagion de la crise de la dette en zone euro. Après avoir plongé entre -4% et -6%, les Bourses européennes ont commencé à se reprendre.

En Asie, on a frôlé la catastrophe. La Bourse de Séoul a plongé de 10% en séance avant de finalement clôturer sur une note moins dramatique à -3,64%, soit son plus bas niveau depuis septembre 2010. Hong Kong a fini à -5,66% et Tokyo a cédé 1,68%.

Petit à petit, on se rapproche d’un krach boursier, considéré comme une chute brutale des Bourses d’au moins 20% en quelques jours ou de 10% sur une journée. Paris a perdu 12,86% en une semaine, Londres 15% et Francfort 17%.

(ats / 09.08.2011 13h58)

http://www.romandie.com/news/n/Les_Bourses_frolent_le_krach_l_Europe_craque_l_Asie_plie090820111308.asp

les Bourses d’Amérique latine dévissent, suivant la tendance mondiale

Les indices boursiers latino-américains ont subi de fortes baisses lundi, dans la foulée de la chute généralisée des marchés américain et européens après l’abaissement de la note de crédit des Etats-Unis.

En Amérique du Sud, les places financières de Sao Paulo (-8%) et Buenos Aires (-10,73%) ont plongé. Au Chili, la Bourse de Santiago (-6,96%) n’avait pas enregistré pareille baisse depuis 13 ans. A Lima, un recul de 7,03% a même entraîné une suspension des cotations une heure environ avant la clôture. En Amérique centrale, la bourse de Mexico a subi une chute de 5,88%, soit la baisse la plus forte enregistrée sur la place depuis septembre 2008.

Lors d’une réunion des ministres sud-américains de l’Economie vendredi à Lima, ces derniers avaient affirmé être « bien en place pour faire face une quelconque crise qui viendrait de l’extérieur » « Nous avons des fondements économiques et fiscaux solides, la certitude de continuer à accumuler des réserves, et surtout de continuer à croître », avait déclaré à la presse le ministre argentin de l’Economie Amado Boudou au nom de ses pairs. (CHN)

http://www.lalibre.be/toutelinfo/belga/154977/crise-de-la-dette-les-bourses-d-amerique-latine-devissent-suivant-la-tendance-mondiale.html

Messages

  • La dette ? Pourquoi pas $211.000 milliards ?

    Venu à la radio NPR le 6 août 2011, le professeur Lawrence J. Kolitkoff, de l’université de Boston et ancien conseiller du président Reagan, a exposé le résultat de ses travaux de ses travaux. Il a comptabilisé la dette réelle du gouvernement des USA… $14.000 milliards ? Forget it. Kolitkoff, lui, arrive à $211.000 milliards.

    A ce compte, la dégradation de la cotation US par S&P, qui soulève d’indignation l’establishment washingtonien, est une aimable gâterie, pleine de complaisance. La décision de S&P est basée sur la prévision à long et à moyen terme ; S&P a fait quelques erreurs de calcul, semble-t-il ; mais de quoi s’agit-il lorsqu’on annonce $14.000 milliards de dette et qu’un Kolitkoff sort de son chapeau $211.000 milliards ?

    Sans doute nombre de pays pratiquent ce genre de sport, à un degré évidemment moindre. Mais les USA ne sont pas un de ces pays-là, il s’agit de notre superpuissance, de notre modèle universel, de la référence inaltérable de notre modernité. Le cas vaut donc une attention spéciale.....

    http://www.dedefensa.org/article-la_dette_pourquoi_pas_211000_milliards__09_08_2011.html

  • D’une, c’est LEUR pognon, et ils ne sont pas cons... ça ne va pas durer, car ils mettent LEUR vie en jeu, l’existence même de cette société.

    De deux, ce ne serait pas un grand drame que cette société de m.rde parte en couille. Et puis, ceux-ce qui ne savent pas s’en dépétrer, ils n’ont rien fait pour ne pas s’y laisser en traîner : il y aura donc, inévitablement, des "dommages collatéraux" : fallait qu’ils prévoient que cette société est loin de la stabilité dont elle se prévaut, cher curé.

    De trois : c’est à NOUS de nous démerder, pas à eux de s’occuper de NOS affaires... et NOUS ne pouvons le faire que sans eux, bien évidemment.

    Arrangeons-nous !

    • D’une, c’est LEUR pognon,

      ah bon..

       :)))

      T’es sur ?

      moi je pensais que tous ces profits qui partent dans la fumée de la spéculation, c’était un des moyens pour le Capital d’ à la foisde RENTABILISER encore "mieux NOS RICHESSES CREES par NOUS et VOLEES par EUX...et d’autre part de nous préparer à l’austérité puissance 12, pour encore plus de"marge" dans le taux de profit !

      Heureusement que tu me rassures !

      C’est un poker entre amis avec "leur pognon"..?

      OUFF !

      Et puis, ceux-ce qui ne savent pas s’en dépétrer, ils n’ont rien fait pour ne pas s’y laisser en traîner : il y aura donc, inévitablement, des "dommages collatéraux

      OUI..OUIIIIIIIIIII !!

      Mort aux cons !

      Qu’ils aillent sse faire voir..chez les Grecs, les dégâts collatéraux

      MERCI, Camarade..je respire mieux..

       :)))

      A.C

    • Les VRAIES richesses que NOUS créons correspondent aux échangent RÉELS (procédés à l’aide de monnaie, de CB et autres moyens de paiement correspondnat aux échangent de services, de biens et la construction RÉELLE du monde : maison, agriculture, outils, distractions, etc.) : c’est-à-dire entre 2 et 4 % de l’ensemble de l’ARGENT : le reste (96 à 98 %) est de la SPÉCULATION, de l’argent scriptural qui n’a de VALEUR que dans la tête de ceux qui s’en servent. Ce n’est pas l’argent des "constructeurs du monde", mais l’argent de ceux qui les COMMANDENT, qui commandent aux petites mains COMMENT faire ce monde.

      Le VOL ne se situe pas dans le fait qu’ILS s’accaparent NOS richesses, mais qu’ils les DÉVALUENT d’autant que leur spéculation : NOTRE activité, nos ouvrages sont dévalués de l’ordre de LEUR SPÉCULATION (96 à 98 %), de sorte que, malgré notre nombre, nous ne valons rien.

      Il suffit pourtant et simplement de cesser de créer la richesse de base, NOTRE richesse pour qu’ILS ne puissent plus spéculer dessus, il suffit de cesser de TRAVAILLER, et ils crèvent !

      C’est pas facile à comprendre, mais c’est radical.

    • Le VOL ne se situe pas dans le fait qu’ILS s’accaparent NOS richesses, mais qu’ils les DÉVALUENT d’autant que leur spéculation : NOTRE activité, nos ouvrages sont dévalués de l’ordre de LEUR SPÉCULATION (96 à 98 %), de sorte que, malgré notre nombre, nous ne valons rien.

      Il suffit pourtant et simplement de cesser de créer la richesse de base, NOTRE richesse pour qu’ILS ne puissent plus spéculer dessus, il suffit de cesser de TRAVAILLER, et ils crèvent !

      oui ?

      Et toi, tu attends donc , chez toi, la Mort de l’Exploiteur..?

      moi j’en étais resté au fait que le VOL c’était causé par le fait que le PROPRIETAIRE des moyens de productions et d’échanges s’accaparait, à vil prix , les RICHESSES crées par ceux qui ne pouvaient vendre que leur force de Travail...

      J’avais cru comprendre que l’abolition de ce système supposaitdonc, non pas de mettre en inertie ces forces de travail, en arrêtant de créer des richesses...mais de s’APPROPRIER ce qui est , en fait, à NOUS, c’est à dire les Moyens de Productions pour que, cessant d’être simple outils d’Exploition pour création de profits....ils deviennent des outils que les nouveaux propriétaires(NOUS) utiliseraient afin qu’un jour chacun puisse vivre selon ses besoins...

      un Certain Marx, là dessus, m’avait convaincu

      J’ai même récemment relu avec attention ce chapitrei inédit du Capital

      http://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-inedit/kmcapI-6-2J.htm

      mais comme tu le dis...

      C’est pas facile à comprendre, mais c’est radical.

      A.C

    • (lis plus calmement, tu feras moins de fautes de frappe)

      Ils ne sont pas propriétaires des moyens de production, ils sont propriétaires de ton TEMPS, du TEMPS que tu passes au TRAVAIL. Le reste n’est qu’un MOYEN de t’aliéner : le salariat, loyer, impôts, etc. sont des MOYENS.

      La richesse que tu produis au TRAVAIL t’est valorisée par le salaire, oui, qui est un MOYEN de te DÉVALORISER, oui, de te voler, si tu veux, mais, AUJOURD’HUI, cette "richesse" qui pourrit la planète, n’a plus rien à voir avec la réalité de sa VALEUR : on te vole car cette richesse que tu produis (pour pourrir la planète, ton TEMPS) est d’autant dévalorisée qu’elle entre dans le cycle de la spéculation.

      Ce "vol" dont tu parles, n’est plus relatif à la simple "plus-value" extraite sur le produit de ton travail et que tu négocies par contrat avec ton patron, il est relatif à la dévalorisation de la réalité de ton emprise sur le monde.

      K. Marx a certes parlé du TRAVAIL mais en tant qu’aliénation et le salariat comme moyen de ce vol, comme moyen de cette aliénation.

      Ce que je produis en allant au salariat est la création RÉELLE du monde et la valeur qui est donnée à cette réalité n’est plus relative à la seule plus-value, comme lorsque l’argent était indexé, comme du temps de Marx, sur du métal, l’or, AUJOURD’HUI, la valeur de ton activité salariée est dévalorisée d’autant plus que la valeur de l’argent avec lequel on te paie n’a PLUS de valeur. Le vol se situe donc, aujourd’hui, dans cette spéculation sur la valeur de la valeur, que ton activité renchérie.

      Ce rapport de la valeur de ton TRAVAIL sur celui de la spéculation est égale à la QUANTITÉ d’argent immédiatement lié à l’un et à l’autre. Et il est ici de l’ordre, en gros, de 3 pour 97. C’est-à-dire, que tu es dépossédé, non plus seulement de la plus-value patronale et étatique, mais d’autant plus que cet argent avec lequel tu défausses ton temps vaut au rapport du possédant sur le dépossédé : 3 pour 97.

      Ce ne sera donc qu’en cessant TOTALEMENT de TRAVAILLER que tu résoudras ce problème et ceci avec plus de joie en sachant qu’il ne te suffit de t’arrêter que très peu de temps, pour que tout s’écroule, à raison de 3 pour 97 du temps que tu passes habituellement à l’ouvrage.

      Le principe de base de cette réflexion est simplissime : tu ne peux pas manger, t’habiller ou te loger si tu N’a PAS d’argent, et ceci, quelles que soient les possibilités d’accès immédiat à la nourriture (près de la moitié de gaspillage), d’habillement ou de logement. En d’autres termes, que l’argent cesse tout à coup d’exister et chacun a accès à ce que tout un chacun produit pour soi ET l’autre. Et de COMBIEN donc est relative cette exigence d’immédiateté ? Du rapport de ce qui est RÉELLEMENT produit et que tu échanges, aujourd’hui, avec de la monnaie SUR la quantité d’argent globalement disponible : en gros de 3 pour 97. En d’autres termes à nouveau, ce que tu échanges à l’aide de la monnaie, qui correspond à l’immédiateté de ta survie, vaut de 3 à 97 de ce que tu ES, de ce que tu PRODUIS du monde... et correspond exactement À ton TRAVAIL EXCÉDENTAIRE.

      Le Capital ne te tient donc pas uniquement par le maintien d’un rapport immédiat entre ce qu’il te donne de salaire sur les besoins immédiats nécessaires à ta survie de sorte à ce que tu restes continuellement "pauvre", mais surtout il maintient cette pauvreté RELATIVE À SA PROPRE EXISTENCE que tu maintiens en ALLANT TRAVAILLER.

    • lis plus calmement, tu feras moins de fautes de frappe)

       :))

      Tu te crois ou, p’tit, pour causer comme ça à un vieux con battant dela LDC ?

      Un économiste de pacotille qui démarre comme ça en ajoutant que :

      les capitalistes ne sont pas propriétaires des moyens de production }

       :))

      ...............j’ai pas "le temps "de ire la suite..!!

      Tu devrais filer sur

      www.bobo.rigolo.com

      Tu vas y briller !


       :))

      Pas pour toi, mais profitant de ce commentaire je m’autorise à rappeler deux trois trucs

      Telle est la constitution économique de toute notre société actuelle : c’est la clas­se labo­rieuse seule qui produit toutes les valeurs. Car le mot valeur n’est qu’une autre expression pour le mot travail, expression par laquelle on désigne dans notre société capitaliste actuelle la quantité de travail socialement nécessaire, incorporée dans une marchandise déterminée. Mais ces valeurs produites par les ouvriers n’appartiennent pas aux ouvriers. Elles appartien­nent aux possesseurs des matières premières, des machines et instruments et des avances d’argent qui leur permettent d’acheter la force de travail de la classe ouvrière.
      ..................... ;
      .............

      Cette situation est chaque jour plus absurde et moins nécessaire. On peut et on doit en finir avec elle. Un ordre social nouveau est possible, au sein duquel les différences de classe d’aujourd’hui auront disparu et où – peut-être après une courte période de transition, peut-être difficile sous bien des aspects, mais en tout cas moralement fort utile – on disposera des moyens de vivre, de profiter de la vie, d’exercer ses facultés physiques et intellectuelles, grâce à l’usage harmonieux et au développement ultérieur des immenses forces productives de la société qui existent déjà, avec l’obligation pour tous de travailler également.

      On aura reconnu Engels ..

      Celui qui précisait , préfaçant MARX pour l’édition anglaise du K. en 1888

      On entend par bourgeoisie la classe des capitalistes modernes, propriétaires des moyens de production sociale et qui emploient le travail salarié. On entend par prolétariat la classe des ouvriers salariés modernes qui, privés de leurs propres moyens de production, sont obligés pour subsister, de vendre leur force de travail. ().

      Mais comment t’en vouloir, à toi et à cette catégorie de braves petits perroquets de variantes de la pensée dominante , qui vise à éloigner les masses de la question centrale
      "QUI POSSEDE, DECIDE" .

      " Prends le temps"..... de méditer sur ce qu’écrit un type qui ,bien qu’ancien ministre"communiste " de Mitterrand continue à réfléchir sur la CRISE SYSTEMIQUE du Capitalisme

      aa propriété est un pouvoir.

      Un pouvoir des hommes sur des choses et, par là, un instrument possible de domination des hommes sur d’autres hommes. Les capitalistes s’intéressent à la question de la propriété ;

      comment expliquer dans ces conditions que la propriété publique ne soit plus abordée par les forces anti-capitalistes que de manière défensive,
      en réaction aux privatisations auxquelles la gauche elle-même a apporté une contribution remarquée (23). Il fut un temps pourtant, où l’observation méthodique du mouvement du capital constituait pour la gauche, et tout particulièrement pour le parti communiste français, la pierre angulaire de ses constructions économiques et politiques. Cette nécessité aurait-elle diminué aujourd’hui ? Certainement pas, tout au contraire, mais l’influence de l’idéologie libérale, combinée avec l’obsession de la repentance vis-à-vis du régime soviétique, a asphyxié la recherche sur la question de la propriété comme sur celle de l’État (24).

      Te fatigue pas à me répondrey comprispourme signifier mes "fautes"..

      T’es zappé comme tous les insolents prétentieux.!

      Et comme disait Rosa Luxemburg , selon un ami
      macédonien qui me transmet cet extrait
      en V.O

      Во првиот момент, на почетокот од март 1917 година на чело на револуцијата стоеја кадетите т.е. либералната буржоазија. Првото општо подигање на револуционерниот бран повлече сè и секого со себе : четвртата Дума, најреакционерен производ на најреакционерното право на глас поделено во четири класи, одеднаш се претвори во орган на револуцијата. Сите буржоаски партии, дури и оние од националистичката десница, одеднаш формираа фаланга против апсолутизмот. Последниов падна при

       :)))

      Bonjour chez toi, gamin..

      A.C

       :))

    • Bon, ben... la suite :

      ils sont propriétaires de ton TEMPS, du TEMPS que tu passes au TRAVAIL. Le reste n’est qu’un MOYEN de t’aliéner : le salariat, loyer, impôts, etc. sont des MOYENS.

      La richesse que tu produis au TRAVAIL t’est valorisée par le salaire, oui, qui est un MOYEN de te DÉVALORISER, oui, de te voler, si tu veux, mais, AUJOURD’HUI, cette "richesse" qui pourrit la planète, n’a plus rien à voir avec la réalité de sa VALEUR : on te vole car cette richesse que tu produis (pour pourrir la planète, ton TEMPS) est d’autant dévalorisée qu’elle entre dans le cycle de la spéculation.

      Ce "vol" dont tu parles, n’est plus relatif à la simple "plus-value" extraite sur le produit de ton travail et que tu négocies par contrat avec ton patron, il est relatif à la dévalorisation de la réalité de ton emprise sur le monde.

      K. Marx a certes parlé du TRAVAIL mais en tant qu’aliénation et le salariat comme moyen de ce vol, comme moyen de cette aliénation.

      Ce que je produis en allant au salariat est la création RÉELLE du monde et la valeur qui est donnée à cette réalité n’est plus relative à la seule plus-value, comme lorsque l’argent était indexé, comme du temps de Marx, sur du métal, l’or, AUJOURD’HUI, la valeur de ton activité salariée est dévalorisée d’autant plus que la valeur de l’argent avec lequel on te paie n’a PLUS de valeur. Le vol se situe donc, aujourd’hui, dans cette spéculation sur la valeur de la valeur, que ton activité renchérie.

      Ce rapport de la valeur de ton TRAVAIL sur celui de la spéculation est égale à la QUANTITÉ d’argent immédiatement lié à l’un et à l’autre. Et il est ici de l’ordre, en gros, de 3 pour 97. C’est-à-dire, que tu es dépossédé, non plus seulement de la plus-value patronale et étatique, mais d’autant plus que cet argent avec lequel tu défausses ton temps vaut au rapport du possédant sur le dépossédé : 3 pour 97.

      Ce ne sera donc qu’en cessant TOTALEMENT de TRAVAILLER que tu résoudras ce problème et ceci avec plus de joie en sachant qu’il ne te suffit de t’arrêter que très peu de temps, pour que tout s’écroule, à raison de 3 pour 97 du temps que tu passes habituellement à l’ouvrage.

      Le principe de base de cette réflexion est simplissime : tu ne peux pas manger, t’habiller ou te loger si tu N’a PAS d’argent, et ceci, quelles que soient les possibilités d’accès immédiat à la nourriture (près de la moitié de gaspillage), d’habillement ou de logement. En d’autres termes, que l’argent cesse tout à coup d’exister et chacun a accès à ce que tout un chacun produit pour soi ET l’autre. Et de COMBIEN donc est relative cette exigence d’immédiateté ? Du rapport de ce qui est RÉELLEMENT produit et que tu échanges, aujourd’hui, avec de la monnaie SUR la quantité d’argent globalement disponible : en gros de 3 pour 97. En d’autres termes à nouveau, ce que tu échanges à l’aide de la monnaie, qui correspond à l’immédiateté de ta survie, vaut de 3 à 97 de ce que tu ES, de ce que tu PRODUIS du monde... et correspond exactement À ton TRAVAIL EXCÉDENTAIRE.

      Le Capital ne te tient donc pas uniquement par le maintien d’un rapport immédiat entre ce qu’il te donne de salaire sur les besoins immédiats nécessaires à ta survie de sorte à ce que tu restes continuellement "pauvre", mais surtout il maintient cette pauvreté RELATIVE À SA PROPRE EXISTENCE que tu maintiens en ALLANT TRAVAILLER.

    • t’as fini de nombriliser ?

      et écoutes un peu AC plutôt ...

      Ce que je produis en allant au salariat est la création RÉELLE du monde et la valeur qui est donnée à cette réalité n’est plus relative à la seule plus-value, comme lorsque l’argent était indexé, comme du temps de Marx, sur du métal, l’or, AUJOURD’HUI, la valeur de ton activité salariée est dévalorisée d’autant plus que la valeur de l’argent avec lequel on te paie n’a PLUS de valeur. Le vol se situe donc, aujourd’hui, dans cette spéculation sur la valeur de la valeur, que ton activité renchérie.

      aqueu.... comme dirai Johnny

      yapirkedéfôtedortograf....

      ssaipourssakevotrefiyeêmuaitte

    • putain, Copas, la forme stp !

      Le mec qui lit pas tout, il croit que le délire que tu cites.c’est de moi !

       :))

      Faut dire, sans agressivité ni morgue, que certains.me confirment l’idée de creer une rubrique"bétisier de B.C"

      L’ennui...c’est que je te soupçonne( car le gauchisse marcelindevenu NPA est toujours suspect, pour moi..) que tu serais cap’ d’aller y loger mes commentaires avecsmileys et un autre pseudo (Pocas parexemple) !

      Hontas sur toi !

       :)

      AC el Viejo