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Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires
Publie le jeudi 16 novembre 2006 par Open-Publishing15 commentaires
Le collectif national pour des candidatures unitaires examinait, le 7 novembre, la position de la LCR. Voici quelques extraits de la lettre que lui a adressée la délégation de la Ligue.
Cher-e-s camarades,
Nous avons pris bonne note de la demande de faire le point sur les positions des divers protagonistes, et en particulier de la LCR. Nous nous plions volontiers et par écrit à l’exercice, sur les questions stratégiques comme sur les questions programma tiques, afin que chacune et chacun, dans le mouvement pour des candidatures unitaires, puisse se faire un avis en toute connaissance de cause.
Sur les questions « stratégiques » : Comme vous le savez, tout en continuant à participer nationale ment et localement aux discussions des collectifs, nous avons décidé de ne pas ratifier les conclusions du texte « ambitions-stratégie » car à notre sens les formulations qu’il comporte laissaient ouverte la possibilité in fine de participation à un gouvernement en partenariat avec la direction socialiste.
Mais au-delà des textes, nous jugeons aussi nos partenaires aux actes. Et nous regrettons que, de ce point de vue, les choses empirent : à Bordeaux, la direction du PCF, nationale et locale, a préféré le soutien à une liste PS/PC à une liste d’unité de la gauche du « non » qu’avaient proposée nos camarades. La Conférence Nationale du PCF des 21 et 22 octobre, non seulement considère que le texte de Saint Denis autorise en « rejetant la théorie des deux gauches de la LCR » à renouer avec la direction du PS (par delà le « oui » et le « non », clivage pourtant constitutif du mouvement unitaire), mais Marie-George Buffet utilise désormais la formule hautement révélatrice « nous ne sommes pas la gauche de la gauche ». Que sommes nous alors ?
La réponse de la direction du PCF se précise quand les rencontres avec la direction socialiste se multiplient, non plus seulement pour discuter de la nécessaire riposte aux mesures de la droite, mais aussi pour décider de convergences programmatiques possibles. Ainsi, le risque que tout cela se termine dans une nouvelle formule d’union de la gauche s’est accentué ces dernières semaines.
Une fois de plus, puisqu’il faut être le plus clair possible, nous rappelons qu’il n’y a chez nous aucune tentation de renvoyer la gauche et la droite dos à dos.
Virer la droite en 2007 est pour nous une mesure de salubrité publique. Mais c’est aussi et surtout sa politique que nous voulons battre et cela signifie n’entretenir aucune illusion sur la possibilité d’une alliance avec le ou la candidat-e qui sortira du vote socialiste. Pas par sectarisme, mais parce que nous ne voulons pas soutenir ou participer à un gouvernement qui fait l’inverse de ce pourquoi nous nous battons, tous ensemble : contre les OGM, contre la privatisation des services publics, pour le partage des richesses. Cela n’empêche en rien, au contraire, que nous parvenions à convaincre de nouveau nombre de militants, de sympathisants et d’électeurs socialistes d’opter pour nos propositions comme cela s’est déjà produit le 29 mai. La fracture du « non » et du « oui » n’est pas résorbée à gauche et le choix de la radicalité ne conduit pas à la marginalité.
Cette question, que nous avons maintes fois posée, constitue le centre d’un désaccord stratégique majeur avec la direction du PCF, et avec ceux qui ont soutenu le texte « ambition et stratégie », un désaccord qui, au fil des semaines, s’avère de plus en plus indépassable, à moins d’un changement significatif de ligne des dirigeants de ce parti.
Mais cette question s’adresse aussi à tous les postulants candidats. En effet, quelque soient les candidats annoncés, nos désaccords demeurent quant à l’indépendance vis à vis du PS.
Et au-delà de la position des candidats à la candidature, des dirigeants de telle ou telle sensibilité ou organisation, nous savons aussi que ce débat, légitime, anime de nombreuses réunions de collectifs et que notre souci est partagé par beaucoup, y compris par des militantes et militants communistes. De nombreux exemples en attestent comme les amendements au texte « ambition-stratégie » défendus le 10 septembre par les comités des Bouches du Rhà’ne, la position du camarade Raoul-Marc Jennar exprimée par courrier le même jour, les courriers que nous avons reçus de militants de mouvements nous interpellant et affirmant leur volonté, que nous partageons pleinement, de continuer à travailler ensemble.
Sur les questions programmatiques : Vous nous avez également demandé un jugement sur le texte adopté le 15 octobre à Nanterre. De nombreux passages de ce programme ont notre accord. Un certain nombre de positions ou de formules n’ont pas notre assentiment.
Voici trois exemples :
- La hauteur du SMIC à 1500 euros « bruts » n’est pas acceptable, ce n’est pas ce que nous avions adopté ensemble dans la charte antilibérale. Il est bien connu en effet que cela signifierait à peu de choses près poursuivre sur 5 ans les soi-disant revalorisations entamées par le gouvernement de la droite. Nous sommes favorables à une réelle mutation des bas revenus et cela signifie 1500 euros en net.
- Le nucléaire est une autre question majeure pour une élection générale aussi importante o๠les enjeux de choix énergétiques sont au cÅ“ur d’une problématique de transformation sociale. Certes, nous sommes preneurs de tout débat sérieux et d’une consultation populaire sur la question. Mais quelle est la position qui serait défendue par un-e candidat-e commun-e dans ce débat ? Pour nous, elle ne saurait être autre qu’une position partant de l’incontournable exigence de la sortie du nucléaire.
- Enfin la question de l’attribution de tous les droits citoyens liée au seul critère de résidence apparaît capital. Imagine t-on notre porte-parole revendiquer le cas par cas pour résoudre la situation des sans-papiers ?
- De façon plus générale, la faiblesse essentielle du document est de ne pas poser avec assez de clarté la question du rapport de force, des mobilisations nécessaires, sans lesquelles il serait impossible d’imposer la rupture nécessaire pour satisfaire l’urgence sociale : prendre sur les profits, limiter les prérogatives des patrons et des gros actionnaires...
Nous partageons le souci démocratique largement répandu quant au fonctionnement des comités, comme le refus de la tentative d’instrumentalisation du rassemblement issu du 29 mai et la volonté de maîtriser collectivement la désignation du candidat. En effet, la Conférence Nationale du PCF n’envisage aucun autre choix que le ralliement des collectifs à la candidature de Marie Georges Buffet. Ce n’est pas là ce que l’on peut appeler une discussion démocratique et cela signe le retour des pratiques hégémoniques.
Pour notre part, comme vous le savez, nous avons engagé la candidature et la campagne d’Olivier Besancenot. Cependant nous n’avons jamais été arc-boutés sur la présentation de notre camarade. Nous l’avons dit à plusieurs reprises : nous serions prêts à le retirer si un accord clair se dégageait. Mais nous sommes obligés de constater que, pour les échéances électorales à venir, les désaccords se creusent plus qu’ils ne se comblent.
Recevez, cher-es camarades, nos sincères salutations.
La délégation de la LCR
Messages
1. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 16 novembre 2006, 20:12
BREF...
...toujours le même délire parano de trahison et aucune compréhension (?) de la stratégie de non-exclusion et de mise à l’écart a priori de qui que ce soit !
Eh bien tant pis.
Il reste tant de travail à faire !
C’est pas la peine de s’acharner à faire boire un âne qui n’a pas soif !
NOSE DE CHAMPAGNE
1. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 01:06
De toutes façons, LCR ou pas, le programme antilibéral doit impérativement décliner les nouvelles ressources prises sur les profits du capital non réinvestis, et les dividendes des actionnaires. Il y a plusieurs manières d’y parvenir. Les banques peuvent y être associées.
Sur la base d’un principe donnant-donnant, auquel je suis attachée, on peut imaginer limiter les pouvoirs des grosses entreprises, profits, délocalisations, en leur assurant une ristourne légitime en cas d’échec, sorte d’assurance d’une entité économique du XXIè siècle.
Tant que les ressources ne seront pas plus définies, le programme reste insuffisant. Monique Renouard.
2. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 16 novembre 2006, 20:43
Aprés tout le PS a bien un candidat. Pourquoi la Lcr n’aurait pas aussi un candidat puisqu’il y a assez de parrainages pour les deux ?
1. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 00:35
Et pourquoi il ya assezde parrainage pour les 2 ?
2. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 10:19
LE PS qui dispose de milliers de parrainnages qu’il peut activer, ou non, par téléphone, peut donc dépanner qui bon lui semble au gré de ses intérêts. Le Ps "ségolinisé" a-t-il intérêt à une AU forte ? et la candidature de OB renforce-t-elle l’AU ou l’inverse ?
C’est-y clair ?
3. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 16 novembre 2006, 20:55
alors que la LCR etait sur la « liste antilibérale et anticapitaliste, pour une alternatives sociale et démocratique », avec les stals de rouges vifs...
2 %
http://rougesvifs.33.over-blog.com/article-3892070.html
4. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 16 novembre 2006, 21:15
Dimanche soir 21 avril 2007.
Sur la 2 François Hollande : "Sego est a 23%, Bové à 22%, Olivier à 2% et Arlette à 1,5%, donc la gauche va gagner, Bové, pardon José, ne pouvait pas battre Sarko, grace à Olivier et...à Arlette, ça va enfin changer dans ce pays !"
1. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 16 novembre 2006, 21:31
Dans le cas de figure si José était candidat, c’est que le bon sens aurait été le plus fort, et alors Besancenot serait là aussi et crois moi il apporterait au candidat unitaire beaucoup plus que 2 % de voix. c’est là le schéma idéal mais qui n’est pas irréalisable.
Je me méfie des déclarations de Hollande Raymond LCR
2. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 16 novembre 2006, 22:51
Mais Raymond, nous sommes nombreux à ne pas arrêter de dire et répéter que la solution, c’est José. Que la LCR le propose comme candidat d’union ! La LCR "pèse" 5 à 6 %. On ne peut pas s’en passer si on veut espérer aboutir à quelque chose. Un cavalier seul d’Olivier ne serait qu’une candidature de façade et ne servirait à rien. Alors, nom d’un chien, on revient sur terre ou on va poursuivre dans la même merde ?
JMH
3. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 16 novembre 2006, 23:08
Raymond, pourquoi tu ne réponds pas quand on te pose une question simple ??
que penses tu de l’alliance LCR à Brodeaux (résultat 2 %...) ?
http://rougesvifs.33.over-blog.com/article-3892070.html
5. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 00:17
Comment je comprends aujourd’hui, 10 novembre, la position majoritaire de la LCR. (La lettre postée ci-dessus a été transmise avant le 10 novembre 2006)
1/ Election de Bordeaux : pourquoi la LCR de Bordeaux a-t-elle répondu au PCF qui la sollicitait que « l’union large à gauche ne l’intéressait pas » ? Dans une élection où la candidature Juppé avait de grandes chances de passer au premier tour ? Bloquer, au nom de la radicalité, une dynamique de gauche rassemblée a donc eu pour conséquence l’élection de Juppé.
2/ Rejet de la théorie des deux gauches : oui je considère qu’il n’y a qu’une gauche et qu’elle doit être à gauche et qu’il faut rassembler à gauche sur les positions antilibérales telles quelles se sont exprimées dans la campagne contre le TCE. En clair, créer une gauche de la gauche c’est s’isoler volontairement et justifier par avance les arguments sur les deux extrêmes à éviter. Le peuple de gauche est majoritaire mais c’est lui qui doit se rassembler, c’est lui qui doit découvrir qu’il est majoritaire. Il n’a pas besoin de censeurs venant lui dire ce qu’il doit penser ni d’avant-garde venant lui demander d’être « radical » alors qu’il doit exprimer sa radicalité, ce qu’il fait dans le processus en cours. La radicalité ne se décrète pas, on le saurait, si c’était le cas. Pour moi, la LCR fait partie de la gauche de gauche que nous voulons.
3/ Rencontres avec le PS : les comptes rendus qui ont été faits de ces rencontres (tenues avec d’autres mouvements et partis que le seul PCF – faut-il le dire ?) ne mentionnent rien sur les aspects programmatiques, si ce n’est pour constater que le programme du PS n’est pas à la hauteur d’une lutte antilibérale conséquente. Il serait quand même fort que pendant la campagne, la droite ait les mains libres pour continuer ses mauvais coups ! Oui, il faut dès maintenant continuer les luttes avec TOUS CEUX qui souffrent et sont contre la droite, à quelque organisation qu’ils appartiennent. Le reste est affabulation ou sous-entendu antiPCF classique, qui ne sert qu’à freiner le mouvement en cours.
4/ Objectifs : je trouve curieux de placer la lutte contre les OGM en premier et le partage des richesses en 3e. Pour moi, l’ordre est largement inverse. Il manque aussi quelques mesures urgentes… mais ce n’est pas l’énoncé d’un programme, d’accord.
5/ Candidats : si je lis bien, tous les candidats actuels sont récusés parce que dépendants du PS, merci pour eux, seul Olivier Besancenot échappe, lui, au PS.
6/ Critiques sur le programme « Ce que nous voulons » (CQNV) :
a/ SMIC : c’est une question en débat (des amendements sont proposés et discutés) qui ne peut s’isoler de multiples autres. L’augmentation du pouvoir d’achat ne passe pas que par celle des salaires, la fiscalité indirecte, les remboursements de la sécu, l’aménagement de la semaine de travail, le coût des services publics, du logement y contribuent aussi et des améliorations sur tous ces points sont dans CQNV. De plus l’augmentation du SMIC ne concerne que ceux qui ont un emploi, ce qui serait considérablement restrictif aujourd’hui avec les millions d’exclus ou de précaires ;
b/ Nucléaire : il ne peut pas être traité non plus isolément, comme si la balance des avantages/inconvénients était seulement et intégralement négative. Une discussion sur l’énergie, un pôle public de l’énergie (national et européen) est nécessaire et doit mettre en avant un certain nombre de principes :
* indépendance et maîtrise publique de l’énergie, donc diversité des sources d’énergie ;
* limitation et remplacement progressif des énergies fossiles et nucléaires par des énergies renouvelables non polluantes et sans gaz à effet de serre ;
* péréquation des tarifs pour favoriser l’égalité dans l’accès à l’énergie et dans l’aménagement des territoires ;
* etc. ;
c/ Droits citoyens (immigrés) : CQNV (version 8) ne demande à aucun moment « un traitement au cas par cas » (cf. les points 103 à 112). Pourquoi transformer le point 105 qui est clair : « Les sans papiers seront immédiatement régularisés avec une carte de séjour de dix ans. » ;
d/ Remarque générale : CQNV est un document programmatique qui vient en complément de « Ambition –Stratégie – Candidatures » qui lui présente la démarche et la mobilisation nécessaire. Est-ce parce que la LCR refuse de le signer qu’elle fait comme s’il n’existait pas ?
7/ Désignation du candidat : en quoi le PCF n’aurait-il pas le droit de proposer son candidat et, outrecuidance suprême, de penser que ce serait un bon candidat pour tout le rassemblement ? Imagine-t-on une organisation disant « Nous proposons ce candidat, mais nous pensons qu’il n’est pas le meilleur. » ! Fait-on le même reproche aux Alternatifs qui proposent José Bové ? Le reste, la dénonciation du « retour de pratiques hégémoniques » a un relent d’antiPCF que beaucoup considèrent comme dépassé (les Collectifs du 29 mai auraient-ils eu le même impact sans le PCF ?). Alors, qui est clair et qui creuse les désaccords ?
La LCR a sa place dans le rassemblement unitaire et ses critiques auraient une bien plus grande efficacité si elle les faisait au sein du rassemblement. En l’état, elles apparaissent au mieux comme des réticences à s’engager dans ce processus (alors que le PCF a fait ce choix depuis longtemps, sans savoir l’ampleur que le mouvement prendrait, et qu’il va confirmer majoritairement ce week-end par le vote de ses adhérents -il l’a effectivement confirmé largement à 96 % des 66 % de votants), et au pire comme la volonté de le freiner (je ne crois pas qu’il soit au pouvoir de personne de l’arrêter aujourd’hui).
JeanNimes
1. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 10:01
A Jean de Nimes, réponse rapide en attendant plus d’information, car à partir du choix des Socialiste pour Ségolène, je pense que toutes les illusions sur une évolution plus socialiste de leur direction, n’ont plus aucune justification. Je crois que le dernier obstacle au retour de la Ligue dans la campagne anticapitaliste devient caduque,
J’apprécie beaucoup que tu est l’honnêteté de considérer que ce qui ne sont pas d’accord avec vous sont uniquement anti Pc et non pas anticommunistes comme nous l’ entendons trop souvent sur le site. Ceci peut permettre des débats beaucoup plus cordiaux entre nous.
Fraternellement et à bientôt, j’espère, dans la campagne unitaire et dans les luttes.
Raymond LCR
2. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 10:38
Ca y est, le PS (Parti Ségolène) vient d’ouvrir un joli boulevard devant les pas de l’AU. Plusieurs millions d’ex électeurs socialistes du NON vont devoir se positionner. Quel est le meilleur moyen de les attirer sur l’AU, vitriol, vinaigre, surenchère, ou... arguments politiques amicaux ?
CN-46400
3. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 11:30
Faut pas se tromper...pas mal d’adhérents et de militants socialistes qui ont voté NON ont voté Ségoléne.ça ne parait pas trop cohérent., mais c’est une réalité.Ce phénoméne , on le retrouve aussi au niveau des sympathisants ...et même(certains vont hurler et le nier) chez les électeurs verts , PC , LCR et autres...Le phénomène Ségo , même s’il aménera rapidement des désillusions est un courant fort qui ne peut s’analyser à partir des scores des dernières élections..C’est la raison pour laquelle l’Alternative Unitaire , si elle veut faire un score qui pése doit y aller avec un seul candidat (qui représenterait AUSSI la LCR) et ce candidat ne doit pas emaner d’un parti, mais doit être le ou la porte parole d’un courant àla gauche du PS.A mon avis ,dans l’ordre : 3 candidats possibles:JB., Cl.A, Salesse,
6. > Lettre de la LCR au Collectif national pour des candidatures unitaires, 17 novembre 2006, 11:38
la LCR à Angers :
tiens, ca change un peu...