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Lettre ouverte au secrétariat Info’Com-CGT

par Sidi Boussetta

Publie le mercredi 3 février 2021 par Sidi Boussetta - Open-Publishing
2 commentaires

Michaël Wamen, Roberto Ferrario et Sidi Boussetta

Au secrétariat Info’Com-CGT

Vous êtes venu me chercher il y a 4 ans suite à cet article dans l’Humanité car vous "aviez besoin de militants".

Par conviction, j’ai lâché le CDI et l’appartement qui m’attendaient à Nantes. J’ai fait ça pour rejoindre vos rangs.

Vous m’avez proposé un emploi au Journal Officiel.

Vous avez fait des réunions pour proposer mon nom comme futur CDI au Journal officiel.

Suite à un "refus", vous m’aviez dit que le gouvernement refusait mon embauche pour militantisme.

La vérité sur cette demande d’embauche : VOUS N’AVEZ RIEN FAIT ! Le Secrétariat, général du gouvernement et la directrice du Journal officiel m’ont permis d’y voir clair hier suite à différents coups de pression "venant d’en haut". Et oui je pense avoir un petit réseau ;)

Vous avez passé votre temps à essayer de faire du mal au JO à Mickael Wamen pour le faire craquer.

Et le camarade Roberto Ferrario à qui vous avez fait des misères jusqu’à le faire craquer en plein taffe !!!

VOUS QUI MILITER CONTRE LES LICENCIEMENTS, vous avez fait pire qu’un patron ! Vous avez attendu le premier confinement pour ne plus nous donner de nouvelles à Mickael Wamen et moi et vous nous avez foutu au chômage ! Pendant ce confinement, vous avez fait embaucher deux autres salariés.

Vous avez osé proposer à Mickaël Wamen de s’inscrire au Secours populaire Français.

Vous avez fini par faire craquer et faire démissionner des purs militants Olivier Blandin et vous avez viré du CCM un militant comme Stéphane Paturey !

Comme vous étiez un peu coincé par la tournure que ça prenait, vous m’avez proposé une formation payé par mon chômage ! Tout ça dans le but d’oublier l’embauche !

Je vous le dis, la discrimination, c’est "mon dada" et comme c’est la première fois qu’un syndicat me discrimine, je vais plus vous lâcher. Rien à perdre !

J’ai presque honte pour vous

Je ne vais pas laver le linge sale en famille parce que non, vous ne faites pas partie de ma famille de militant-es...

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