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Michael Moore pourfend Obama suite à l’attaque contre la Libye
Publie le dimanche 20 mars 2011 par Open-Publishing5 commentaires
Michael Moore a critiqué samedi le président Obama pour avoir lancé une offensive contre la Libye.
Michael Moore a comparé cette attaque aux campagnes d’Irak et d’Afghanistan.
On se souviendra que le cinéaste avait appuyé la candidature de monsieur Obama en 2008.
Messages
1. Michael Moore pourfend Obama suite à l’attaque contre la Libye, 20 mars 2011, 17:25
It’s only cause we’re defending the Libyan people from a tyrant ! That’s why we bombed the Saudis last wk ! Hahaha. Pentagon=comedy
And we always follow the French’s lead ! Next thing you know, we’ll have free health care & free college ! Yay war !
We’ve had a "no-fly zone" over Afghanistan for over 9 yrs. How’s that going ? #WINNING !
Khadaffy must’ve planned 9/11 ! #excuses
Khadaffy must’ve had WMD ! #excusesthatwork
Khadaffy must’ve threatened to kill somebody’s daddy ! #daddywantedjeb
Moore also suggested that Obama should return the Nobel Peace Prize he won in 2009 :
May I suggest a 50-mile evacuation zone around Obama’s Nobel Peace Prize ? #returnspolicy
2. Michael Moore pourfend Obama suite à l’attaque contre la Libye, 20 mars 2011, 20:18, par kounet
Qui pouvait-on voter aux USA ? Michaêl Moore aurait du faire comme moi : s’abstenir pour dire non à ces saligots .
3. Michael Moore pourfend Obama suite à l’attaque contre la Libye, 20 mars 2011, 21:19, par jaja
et notre melanchon national il arrive même pas à la cheville d’un Moore qui n’est pourtant pas un foudre de guerre
meluch et le PC ils courent après des électeurs pro-guerre ?
1. Michael Moore pourfend Obama suite à l’attaque contre la Libye, 20 mars 2011, 22:23
meluch et le PC ils courent après des électeurs pro-guerre ?
Non ils courent vers la mer pour y noyer les tarés qui les suivent...
Comme dans le Conte d’Andersen ou le Joueur de Pipeau entraînait les rats de Hameln pour les noyer.
Mais y aura pas de "bain de sang" en Lybie. ((- :
Trop gentillet comme image.
A l’impact d’un missille "Tomahawk" y pas de sang. Simplement un gros trou, des gravats, et une sorte de bouillie méconnaissable... Et surtout une odeur particulièrement dégueulasse.
Un peu comme pour ces écureuils qu’on voit sur les routes de campagne après le passage d’un 38 tonnes.
Puis y a les séquelles dues aux aérosols d’U238 libérés à l’impact.
"Ca" aussi, c’est pas mal pour les enfants à venir.
Regardez bien, "vous", les bonnes âmes "libératrices".
Les prochains ça sera peut-être vous et les vôtres, au nom de la "Liberté".
Qui sait, peut-être pour vous "libérer" de Sarkozy" ; quand il sera bien usé dans son rôle de valet de pied du Capital sans Frontières et qu’"ils" vous organiseront une gentille "révolution" s’il veut pas partir sans faire de bruit pour lauiser la place au même ?
C’est tout ce que je vous souhaite, à tous ceux qui appellaient il y a pas si longtemps à l’"intervention humanitaire" ; sur ce site et ailleurs.
Pour ma satisfaction égoïste... et celles de mes Amis, Connaissances, et Camarades, Lybiens, Tunisiens, Tchadians, Maliens, Algériens, Sahraouis, ou Marocains qui se trouvent au premières loges et que vous avez ainsi "soutenus" comme la corde soutient le pendu.
Et les prochains c’est la Côte d’Ivoire... En attendant un plus gros morceau.
Et n’oubliez pas d’aller voter. ((- :
G.L.
4. Michael Moore pourfend Obama suite à l’attaque contre la Libye, 21 mars 2011, 21:08, par Dr. Cherif Ghalizani
POURQUOI LA FRANCE VOULAIT ATTAQUER LA LIBYE
" La Libye, potentielle planche de salut commercial du Rafale "
Photo prise le 19 mars 2011 d’un Rafale de l’armée française Adj Weyer ECPAD/AFP
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Les frappes aériennes en Libye offrent à l’avion de combat Rafale une occasion inattendue de faire la démonstration de son efficacité, au moment où son fabricant français Dassault tente de convaincre plusieurs acheteurs étrangers, selon des experts.
Depuis la mise en place samedi de la zone d’exclusion aérienne destinée à protéger les populations civiles libyennes, une quinzaine d’appareils ont effectué des missions de reconnaissance et/ou de frappe. Huit autres sont en outre embarqués sur le porte-avions nucléaire français Charles-de-Gaulle.
La Libye "peut être une façon de faire de la publicité au Rafale grâce à un retour d’expérience au combat", résume Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l’Institut des relations internationales et stratégiques (IRIS).
"Le Rafale est certes déjà engagé en Afghanistan, mais ce conflit n’est pas populaire. Les industriels hésitent donc à communiquer sur leurs matériels", dit-il. En Libye, l’enjeu affiché est de libérer le peuple du joug de Mouammar Kadhafi.
Considéré comme une réussite technique française, le Rafale est un échec commercial : il n’a jamais été vendu à l’étranger. Début février, le PDG de Dassault Aviation, Charles Edelstenne, avait toutefois déclaré que le Rafale avait des chances d’être exporté dans huit pays.
L’appareil est notamment en lice au Brésil contre le F-18 de l’américain Boeing et le Gripen du suédois Saab. Mais le contrat, présenté par Paris comme acquis fin 2009, n’a jamais été signé.
La France négocie parallèlement depuis 2008 avec les Emirats Arabes Unis la vente de 60 exemplaires. L’avion de chasse a en outre été proposé à l’Inde, au Koweït, à la Suisse, à la Grèce et même... à la Libye.
Dans ces négociations jusqu’alors infructueuses, l’intervention en Libye "va nous aider à le vendre", estime un responsable français sous couvert d’anonymat.
"Un conflit permet de démontrer véritablement les capacités d’un appareil. La Libye représente une vitrine technologique", commente Christophe Ménard, analyste chez Kepler Capital Markets. Selon lui, c’est un test grandeur nature "à condition qu’il n’y ait pas de perte d’appareil".
Mieux, les Français étant amenés à travailler avec les Qataris, il est plus facile de convaincre les acheteurs potentiels, ajoutent les deux experts.
"Un avion de combat n’est jamais mieux vendu que lorsqu’il a été confirmé +apte au combat+. Le plus bel exemple est le Mirage 3, qui, après la guerre des Six jours (juin 1967, où il avait été utilisé par Israël, ndlr), avait montré une telle capacité qu’il est devenu un best seller mondial", rappelle une source proche de Dassault Aviation.
Elle souligne qu’en Libye, la configuration est un peu différente, dans la mesure où le Rafale ne fait pas face à un avion du même niveau.
La défense anti-aérienne libyenne s’est en outre révélée faible face à des Rafale testés en haute altitude et équipés de "contre-mesures" (leurres, etc.), souligne le responsable français.
Enfin, Abou Dhabi a pu doucher les attentes françaises en affirmant que le rôle des Emirats en Libye se limitait "à l’aide humanitaire" quand Paris espéraient les voir participer aux frappes avec des Mirage 2000-9.
A terme, le Rafale est destiné à remplacer à lui seul sept types d’avions. "Cette polyvalence est décisive pour l’armée qui l’emploie", insiste Stéphane Fort, porte-parole de Dassault Aviation.
"Avec le Rafale, un état-major peut choisir de lancer une opération de reconnaissance, de combat aérien ou de bombardement alors que l’avion est déjà en vol. Il dispose d’une extrême souplesse".
Le F-18 est lui aussi multirôles mais il ne peut être configuré que pour l’une des missions à la fois, et ce, avant son décollage.