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Politique pour combattre le rechauffement climatique : Le dessous des cartes de Copenhague !
Publie le lundi 9 novembre 2009 par Open-PublishingC’est en décembre prochain que ce tiendra la conférence des nations unies sur le rechauffement climatique . L’enjeu est de taille puisqu’il est envisagé de limiter la hausse des températures de 2% par rapport au niveau préindustriel . L’une des méthodes retenues est de convaincre par un soutient financier les pays en développement d’apporter leur contribution dans la lutte contre le rechauffement climatique. La commission va proposer d’experimenterun marché carbone au niveau de l’OCDE et un mecanisme de contribution des pays en fonction de leur emmissions de CO2 . A travers ces propositions on voit bien que l’idée d’un partage des richesses et du savoir n’est toujours pas à l’ordre du jour .
Dés 1972 à la conférence de Stockolm Indira Gandhi pointait ce phénoméne :"Nous nous rendons compte que, plus l’homme aspire à lla pocession de biens matériels, plus il est insatisfait . Donc l’amélioration du niveau de vie doit être obtenu sans priver les peuples deleur héritage et sans dépouiller la nature et la beauté, de sa fraîcheur et de sa pureté si essentiel à notre exitence " .
L’UE arrive avec ses propres considérations et ne tiend pas suffisamment compte des problémes que rencontrent bons nombres de pays en voie de développement . Exepté des pays comme le Brésil, l’Inde ou la Chine qui ont une croissance importante, bons nombre de pays du tiers monde doivent affronter les maladies endémiques, la sous laimentation, les guerres...Il serait mal venu de leur offrir un "air plus pur" sans se soucier de les nourir convenablement . Ainsi pourquoi ne pas prendre une partie des conclusions de la conférence de Stockolm qui depuis 37 ans ne sont pas mis en application :
Point 5 : les ressources non renouvelables du globe doivent être exploitées de telle façon qu’elles ne risquent pas de s’épuiser et que les avantages rétirés de leu utilisation soient partagés par l’humanité .
Point 9 : Les déficiences de l’environnement imputables à des conditions de sous développement...posent des problémes graves et le meilleur moyen d’y remédier est d’accélérer le developpement par le transfert d’une aide technique et subtantielle pour compléter les efforts nationaux...
Point 21 : Les Etats on le droit souverain d’exploiter leurs propres ressources et ils ont le devoir de s’assurer que les activités exercées...ne causent pas de dommage dans d’autres Etats .
Arnaud Faucon
Un militant d’INDECOSA-CGT