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Quand Chirac rallonge ses nuits en avion
Publie le jeudi 9 septembre 2004 par Open-Publishing8 commentaires
L’Airbus qui conduisait le président en Russie fin août a fait un détour de
2.000 km en France pour permettre au chef de l’Etat de dormir plus
longtemps.
L e président Jacques Chirac a fait faire un détour de 2.000 km à l’Airbus
qui l’emmenait en Russie le 30 août dernier pour pouvoir dormir plus
longtemps, affirme Le Canard Enchaîné daté du 8 septembre.
L’A319 avait décollé de l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle à 23h15. Il
aurait dû rallier Scotchi, lieu d’un sommet avec Vladimir Poutine et Gerhard
Schröder, en 3h40. Mais le président de la République souhaitait pouvoir
passer une nuit complète de sommeil avant ledit sommet.
Le Canard publie la carte du déplacement de l’avion présidentiel et les
explications avancées par l’Etec. L’Etec (escadron de transport,
d’entraînement et de calibration) est le successeur du Glam, le groupement
chargé du transport aérien des hautes personnalités de l’Etat. L’escadron
est placé sous l’autorité directe du ministère de la Défense et ses
activités relèvent ainsi du "secret-défense".
Consignes
Interrogé par l’hebdomadaire sur la possibilité pour Jacques Chirac de
dormir à bord de l’avion avant ou après le vol, un membre de l’Etec répond :
"Impossible. Le Président ne tient pas être réveillé en plein sommeil par un
décollage ou un atterrissage".
Et le même d’ajouter : "A l’occasion des voyages de nuit, il est fréquent que
nous recevions des consignes -écrites- nous interdisant d’atterrir avant,
par exemple, 7h du matin".
Le Canard ajoute que l’Airbus ayant volé à une altitude de 18.000 pieds
durant ce périple, il a consommé environ 30% de kérosène de plus que sur un
vol à l’altitude habituelle de 36.000 pieds.
Messages
1. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 9 septembre 2004, 14:29
La station balnéaire se nomme Sotchi.
L’affaire n’en est pas moins scotchante.
Allez les beaufs nationalistes, tous ensemble :
On est les mêêêêilleurs, on est, on est, on est les mêêêêilleurs. (dans le flicage, la chicanerie, la délation, la tartufferie....)
Pour qu’on accepte en 2004 ce genre de balade, il n’y a pas d’autres conclusions.
1. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 10 septembre 2004, 12:38
Et pour la couche d’ozone, on est les champions ! quel écolo ce chirac !
2. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 9 septembre 2004, 19:40
Alors, Mr Chirac ? Avez-vous fait de beaux rêves ? Ou avez-vous cauchemardé sur le petit nicolas ?
Je souhaite aussi vous rappeler que le petit déjeuner doit être copieux si on veut être en forme. Enfin, excusez-moi de parler de bouffe ; Il est vrai que vous n’avez jamais rechigner pour vos dépenses de bouches, surtout qu’elles ont été faites avec l’argent des autres....
1. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 9 septembre 2004, 19:58
ha ha le sarkosme sécuritaire donne des sueurs froides au chirak 1 er
ha m..de j’oubliait qu’ils sont deux sarkosme nicolas et sarkosme guillaume ( numéro deux du Medef ) tout aussi nuisibles l’un comme l’autre
bref avec ces deux la on est pas sorti de la m..de
anarcho Punks paris
2. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 12 septembre 2004, 00:36
Un brin populiste les remarques, non ???
Chirac, c’est pas non plus ma tasse de thé, mais c’est quand même le président, non ?
Il va pas coucher au formule 1 ou sous la tente non ???
Maurice Thorez roulait bien en Delahaye blindée (avec chauffeur) de 4 tonnes qui consomait 45 litres au cent ! Ca le faisait pour la pollution, non ?
3. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 13 septembre 2004, 08:51
Thorez et Chirac dans le même sac... Dés qu’un mec ou une nana a une once de pouvoir, il se croit tout permis, surtout celui de faire ce qui est interdit aux autres... Et ce sont ces gens qui nous donnent des leçons de morale ?
Nelson
4. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 13 septembre 2004, 19:00
Et toi, tu seras le premier à lui laver les pieds, ou autre chose, avec ta langue...
5. > Quand Chirac rallonge ses nuits en avion, 13 septembre 2004, 19:02
Je précise que mon commentaire sur le lavage du Chirac est une réponse à l’intervention qui évoque le "populisme"