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Qui sont ceux qui surfent avec délice sur la "crise" ? Les financiers de la fed...

Publie le jeudi 2 octobre 2008 par Open-Publishing
9 commentaires

La crise étaient prévue depuis deux ans et prévu publiquement et curieusement par Bush pour ce trimestre de la rentrée.

L’escroquerie est conçue comme une fusée à trois étages.

La base : C’est comme la dette sans fond du Fmi
D’abord on se sert des plus pauvres aux états unis en les endettants massivement.
ça c’est l’amorce. Première bulle qui deviendra grande.

Première étage on laisse titriser les passifs et on en fait des actifs Des trucs pourris. On observe de près la bubulle grandir. LE TROU monétaire, création de monnaie virtuelle . Comme celui de la sécu....

Deuxième étage : on fait Tapis et on provoque une panique boursière.

Troisième étage : La cavalerie Fed arrive pour nous sauver des indiens et elle ramasse la mise.

Les mille milliards de dollars en plomb vont se transformer en or.

La fed prête mille milliard de dollar avec la planche à billet au trésor américain qui lui passe mille milliard de dollar en obligations sur lesquels les financiers de la fed vont toucher pendant x temps des intérêts

Les mêmes financiers vont toucher mille milliard de dollar pour leur titre pourris, de l’autre main

Le gouvernement américains va mettre l’ensemble du peuple américain à contribution et récupérer ainsi ces mille milliards de dollar prétés par les financiers de la Fed.

La Fed revendra ces obligations sur lesquelles elle aura entre temps touchés des intérêts faramineux. les mille milliard de dollard qui auraient pu provoquer une sale inflation avec une récession encore plus grande que celle à venir, sont brulés. Pas non !!!

Mille milliard de dollards volés, .... plus, incroyable !!!! des intérêts la dessus pendant des années, il fallait y penser.

Après ça on pourra investir dans l’armement et financer quelques guerres supplémentaires avec du vrai argent qui rapportera encore plus.

Les quelques truands d’içi essaye de profiter eux aussi de la belle affaire, de l’effet d’aubaine.

La chine est rassurée parce-qu’elle a compris qu’il n’y aurait pas d’inflation, seulement une récession plus prononcée aux états unis, les allemands ne sont pas d’accord pour se faire escroquer et larguer 350 milliard d’euros.
Les russes ont mis leur bourses en veilleuse en attendant.
Les irlandais à la grande fureur des anglais qui sont dans la magouille assurent leurs banques car il n’y pas tant de risques.

Les français qui sont devenus américains par la grâce de Sarko le divin , L’homme qui transforme le plomb en or, risquent d’être les seuls en Europe à se faire plumer comme eux.

Bien entendu curieusement et preuve que la machine à billet n’était que passagère le dollar remonte. Ils ne vont quand même pas se tirer une balle dans le pied . MILLE milliard c’est.... c’est mille milliard et pas la moitié ou le tiers à cause d’une dévaluation masquée.

Ci dessous un texte à propos de la FED :http://www.horizons-et-debats.ch/in...

Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.
L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries ­d’Andrew Carnegie.
Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des « Federal Reserve Banks » (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.
Le XVIe amendement de la Constitution américaine, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens américains. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient :

1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
2. La Banque Lazard frères de Paris
3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
4. La Banque Warburg à Amsterdam et à Hambourg
5. La Banque Lehmann à New York
6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
8. La Banque Goldman Sachs à New York.

Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.

En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat ; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble : pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.

Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars ? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de « sûretés » à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai ? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables américains augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur : du papier de couleur, nommé dollar.

Répétons-le : le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« executive order number 11110 »). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignements. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.

Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme « réserves monétaires ».

Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les ma­tières premières et autres valeurs au monde.

Messages

  • Merci !

    Avec cet article et le dessin animé de Paul Grignon, je crois que je commence à comprendre... un peu. C’est tellement loin de mon éducation, qui m’a appris : il faut avoir de l’argent pour acheter, il faut travailler, produire quelque-chose, pour avoir de l’argent, etc...

    On dit, quand on laisse tomber une pièce de monnaie : "Ramasse, ça ne pousse pas !"

    Si je comprends bien : avec la FED, l’argent pousse tout seul !

    Et si je comprends encore bien : le veritable gouvernement des USA, c’est la FED ?

    Le fait que David Rockefeller (Trilatérale, CFR, Bilderberg) aie plus de 90 ans et pas de descendants peut-il être réjouissant ? Comment va-t-il, au fait ?

  • Excellent historique...et maintenant on fait quoi ?

    Comment le peuple désuni (droite/gauche, extrême droite/extrême gauche, laïques/religieux, juifs/arabes, mac/pc, beatles/stones, rap/rock, slip/caleçon etc...) peut-il lutter contre l’oligarchie mondiale (environ 40 000 personnes qui possèdent les armées d’état et les nouvelles armées privées, qui ont la main mise sur les technologies, les services de renseignement, les médias, la production alimentaire, les brevets sur les semences, les laboratoires pharmaceutiques...bref tout !) ?

    Comment pouvons nous abolir les privilèges et lutter contre cet état de fait. N’est t’il pas trop tard ?

    Je pense que dans un premier temps, il faut faire pression en masse sur les élus européens pour faire passer la BCE dans le secteur publique et réinjecter les intêrets de la dette dans le budget de fonctionnement.

    Les élections européenes arrivent à grands pas, nous devons rencontrer les candidats de tous les partis et leur expliquer la gravité de la situation, la division politique doit cesser, que tous les citoyens dont le revenu est inférieur à 100 000 € se rallient sous une bannière.

    Une des solutions à long terme serait de combattre le mal par le mal. Les peuples du monde devraient racheter l’économie. Des groupes de citoyens actionnaires investiraient massivement dans l’économie, pas dans le but de spéculer, mais dans le but de reprendre le contrôle de l’avion.

    La fortune personnelle des 793 personnes les plus riches est de 2600 milliards de dollars. Si l’on met bout à bout l’ensemble des revenus annuels des 2,5 millions de salariés français touchant le SMIC, on arrive péniblement à 35 milliards d’euros. En 2001, le PMB (Produit Mondial Brut était de 46.000 milliards de dollars, en chiffres ça donne 46 000 000 000 000 $ soit 7666 $ par terrien)...

    Mais sans médias, sans relais d’opinion, sans partis politiques prenant le problème à bras le corps, comment s’organiser ?

    • REMETTRE LA SOUVERAINETE POPULAIRE AU CENTRE A TOUS LES NIVEAUX DE POUVOIR,y compris la BCE :

      Ce communiqué de l’Autorité des Marchés Financiers rassurant ne rassure peut etre personne :

      Paris, le 2 octobre 2008

      Quelle protection pour ses titres en cas de faillite de son établissement teneur de compte ?

      Par Bruno Gizard, Secrétaire général adjoint de l’AMF

      en format PDF haut de page du site :

      http://www.boursorama.com/

      bref aperçu de la situation mondiale ce vendredi avant le “vote” du plan Paulson 2,a la Chambre des
      Representants sachant que la Constitution US, prevoit explicitement que toute loi federale doit etre
      votée en premier par cette Chambre,dont le mandat de tous les membres est renouvelable en novembre,

      Radar 2 octobre 2008 : La crise met la solidité de l’Europe à l’épreuve
      Mise à jour : 2008-10-02 18:35:01

      Rappel : Fragilité des banques européennes

      (JPG) Pour Daniel Gros et Stefano Micossi, les banques européennes sont sous-capitalisées. Leurs fonds propres sont insuffisants en regard de leurs engagements. Cet effet de levier bien trop important les rend fragiles.

      L’achat de garanties contre les risques auprès d’AIG leur a permis de contourner les règles prudentielles et de masquer cette faiblesse structurelle.

      La taille des établissements rend problématique leur renflouement éventuel qui dépasserait la capacité d’un état. ils appellent à une action concertée au niveau européen, pilotée par la BCE.

      (...)

      A formal default of AIG would have exposed European banks’ large gap of regulatory capital, with possibly devastating effects on their ratings and market confidence. Which explains why AIG’s problems had sent shock waves through the share prices of European banks. Thus, the US Treasury has saved, inter alia, the European banking system. However, as AIG is to be liquidated, European banks will have to quickly shore up their regulatory capital. (...)

      The key problem on this side of the Atlantic is that the largest European banks have become not only too big to fail but also too big to be saved. For example, the total liabilities of Deutsche Bank (leverage ratio over 50 !) amount to around 2,000 billion euro, (more than Fannie Mai) or over 80 % of the GDP of Germany. This is simply too much for the Bundesbank or even the German state to contemplate, given that the German budget is bound by the rules of the Stability pact and the German government cannot order (unlike the US Treasury) its central bank to issue more currency. The total liabilities of Barclays of around 1,300 billion pounds (leverage ratio over 60 !) surpasses Britain’s GDP. Fortis bank, which has been in the news recently, has a leverage ratio of "only" 33, but its liabilities are several times larger than the GDP of its home country (Belgium). (...)

      With banks that have outgrown national regulators and the financing capacities of national treasuries, European central banks and regulators are living on borrowed time. They cannot simply develop “road maps” but must contemplate a worst case scenario.

      Evans-Pritchard : La solidité de l’Europe à l’épreuve

      Il sera difficile de rééditer l’opération de sauvetage à trois organisé pour Dexia. L’Europe ne dispose pas d’une autorité unique, et les états décident de leur politique et de leurs objectifs en ordre dispersé.

      Selon le FMI, les banques européennes sont exposées aux crédits hypothécaires US à hauteur de 75% par rapport aux risques encourus aux USA, auxquels viennent s’ajouter les emprunts souscrits lors des bulles immobilières espagnole, anglaise, irlandaise, etc...

      The combined crises at both Fortis and Dexia have sent tremors through Belgium, which is already traumatized by political civil war between the Flemings and Walloons. Fortis is Belgium’s the biggest private employer.

      It is unclear whether the country has the resources to bail out two banks with liabilities that dwarf the economy if the crisis deepens, although a joint intervention by The Netherlands and Luxembourg to rescue Fortis has helped Belgium share the risk. Together the three states put €11.2bn to buy Fortis stock.

      This tripartite model is unlikely to work so well in others parts of Europe, since Benelux already operates as a closely linked team. The EU lacks a single treasury to take charge in a fast-moving crisis, leaving a patchwork of regulators and conflicting agendas.

      Carsten Brzenski, chief economist at ING in Brussels, said the global crisis was now engulfing Europe with devastating speed.

      "We are at imminent risk of a credit crunch. Key markets are not functioning properly. The Europeans thought the sub-prime crisis was just American rubbish that the US should clean up itself, but now they are finding out that it is their rubbish too," he said.

      Data from the IMF shows that European banks hold 75pc as much exposure to toxic US housing debt as US banks themselves. Moreover they have mounting bad debts from the British, Spanish, French, Dutch, Scandinavian, and East European housing markets, where property bubbles reached even more extreme levels that in the US.

      The interest spread between Italian 10-year bonds and German Bunds have ballooned to 92 basis points, the highest since the launch of the euro. Bond traders warn that the spreads are starting to reflect a serious risk of EMU break-up and could spiral out of control in a self-feeding effect.

      JP Morgan prévoit 28,4 milliards de dépréciations au second semestre pour les banques européennes

      Selon JP Morgan, le secteur bancaire européen enregistrera 28,4 milliards de dépréciation au second semestre, venant s’ajouter aux 116 milliards déjà constatés.

      The main European banks requiring additional writedowns on a pretax basis are Lloyds (incl. HBOS) €5.7bn, Deutsche Bank €4.5bn, Barclays €3.7bn, UBS €2.7bn and Société Générale €2.6bn, in our estimates.

      JP Morgan estime que plusieurs banques risquent de se trouver sous capitalisées par rapport au ratio réglementaire (Tier 1) en vigueur.

      The banks that would be at risk of not making a 2008E JPM core tier I of 6% would be Lloyds TSB, RBS, Barclays and Credit Agricole and hence we see NAV at risk (assuming no dividends).

      L’Irlande garantit les 400 milliards d’euros déposés dans les banques

      L’état Irlandais a décidé d’apporter sa garantie aux 400 milliards d’euros déposés dans les banques.

      Cela représente un engagement de 92 000 euro par Irlandais, soit 2,2 fois le PIB ou 7 ans de budget de l’état.

      Les sénateurs ont ajouté au plan Paulson un catalogue d’exemptions fiscales à la Prevert

      Le plan Paulson première version faisait 3 pages. Repris et corrigé, il en comptait 102 le 27 septembre. Après une semaine d’intenses négociations on dépasse désormais les 400. Les parlementaires y ont inséré une foultitude de mesures d’exemptions fiscales clientélistes, allant jusqu’à se soucier du sort - certainement très préoccuppant, nous n’en doutons pas - des fabricants de flêches en bois destinées aux jeux d’enfants....

      Senators attached a provision repealing a 39-cent excise tax on wooden arrows designed for children to an historic $700 billion financial-markets rescue that passed tonight by a vote of 74-25. The provision, originally proposed by Oregon senators Ron Wyden and Gordon Smith, will save manufacturers such as Rose City Archery in Myrtle Point, Oregon, about $200,000 a year.

      It’s one of dozens of tax breaks benefiting Hollywood producers, stock-car racetrack owners and Virgin Islands rum- makers included in the broader legislation in an effort to win support from House Republicans
      Fort ralentissement de l’économie US

      Effondrement des ventes automobiles aux USA
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      L’indice de la production industrielle plonge
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      L’indice de la production industrielle est tombé à 43,5 en septembre, contre 49,9 en août. Les valeurs de cet indice situées en dessous de 50 indiquent le niveau de contraction de l’activité.

      De Wall Street à Main Street

      L’entreprise AT&T n’a pas été en mesure de lever des fonds sur le marché monétaire du papier commercial la semaine dernière, a déclaré son président Randall Stephenson.

      A shortage of buyers for the debt means such borrowing is not as readily available as it had been even three weeks ago, he said. ‘’It’s loosened up a bit, but it’s day-to-day right now. I mean literally it’s day-to-day in terms of what our access to the capital markets looks like,’’

      Saisies immobilières en Californie

      La réalité de la crise pour les foyers américains. Des milliers de maisons saisies, des familles qui se retrouvent à la rue et laissent derrière elles leurs souvenirs et leurs biens qui finiront à la décharge publique. Pour sauver les apparences, une nouvelle activité est née. Repeindre en vert les pelouses abandonnées...

      Des millions de foyers dans le rouge

      Fin 2007, 51 millions de ménages US remboursaient un prêt immobilier.

      Fin 2007, le prix moyen d’un logement avait chuté de 10% et 8 millions de foyers étaient dans le rouge, endettés pour une valeur supérieure à celle de leur bien.

      Avec une estimation d’une baisse de l’immobilier atteignant 22% à la fin de l’année, Calculated Risk estime à 15 millions le nombre de foyers dans cette situation.

      Si la baisse atteint 35%, 23 millions de foyers sont concernés.

      En fonction de l’ampleur de la baisse, Calculated Risk évalue de 840 à 1 300 milliards de dollars le total des crédits qui ne seront pas remboursés.

      La banque américaine Wachovia bloque la trésorerie de 1000 universités US

      Wachovia, qui vient de céder ses guichets à Citigroup, a averti les établissements qu’ils ne pourraient retirer dans l’immédiat que 26% des 9,3 milliards déposés à la banque. Privées de leur trésorerie, les université pourraient se retrouver dans l’impossibilité de verser les salaires des enseignants.

      In a move suggesting how the credit crisis could disrupt American higher education, Wachovia Bank has limited the access of nearly 1,000 colleges to $9.3 billion the bank has held for them in a short-term investment fund, raising worries on some campuses about meeting payrolls and other obligations, The New York Times’s Sam Dillon and Katie Zezima reported. (...)

      On Monday, Wachovia announced that it would resign its role as trustee of the fund, and would limit access to the fund to 10 percent of each college’s account value. On Tuesday, Commonfund said that by selling some government bonds and other assets held in the fund, it had succeeded in raising its liquidity to 26 percent.

      Le secteur des cartes de crédit touché par la crise

      Credit-card debt is on the brink of imploding and will be the next storm to hit the fragile finance industry, an investment research firm predicted this week.

      According to Innovest StrategicValue Advisors, banks will charge off $18.6 billion in delinquent credit-card accounts in the first quarter of 2009 and $96 billion in all of 2009, more than double the research firm’s forecast for all of this year.

      Innovest projects that amount would be high enough to damage some of the biggest card issuers. (...)

      "If history is any indicator, there should be an equivalent surge of credit-card charge-offs very soon," he said, though he concedes that an eightfold increase would be very aggressive.

      Comparatively, charge-offs reached $4.2 billion in the first quarter of this year and $3.2 billion in the same period a year before,
      Un problème certain de crédibilité
      (JPG)
      Rappel : La « recette » économique US : disparition de l’épargne, explosion de la dette des ménages

      Taux d’épargne des ménages
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      Endettement des ménages
      (JPG)
      Sarah Palin, incapable de citer le nom d’un quotidien américain

      http://contreinfo.info/

  • Combien vaut, pour aujourd’hui, le vote d’un membre de la chambre des représentants ?

  • Marx en 1848 : "Le gouvernement moderne n’est qu’un comité qui gère les affaires courantes de la bourgeoisie toute entière" C’est toujours valable en 2008, même pour les USA. C’est donc la bourgeoisie américaine qui organise le vote d’aujourd’hui à Washington....Si elle ne parvenait pas à faire passer le plan Paulson, ce qui m’étonnerait fort, alors la lutte des classes aux USA deviendrait brulante.....

    CN46400