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Rapport de Patrice Cohen-Seat au Conseil National (du PCF) des 28 et 29 septembre 2006
Publie le vendredi 15 décembre 2006 par Open-Publishing2 commentaires
Extraits : "Le texte adopté le 10 septembre prévoit que les décisions, particulièrement pour les candidatures, se prennent par consensus. Je le cite : « Il faut débattre pour se convaincre et chercher à bâtir un double consensus : au sein des collectifs et entre les organisations pour choisir celle ou celui qui incarnera sur le bulletin de vote notre rassemblement. » Cette méthode est de bon sens. Il ne s’agit pas en effet de se compter mais de se rassembler sur un choix construit en commun. Les communistes sont une organisation nombreuse. Mais leur objectif n’est pas de s’imposer par leur nombre. Ils veulent convaincre. Il s’agit de débattre, de confronter les arguments, et finalement de voir qui est d’accord sur quoi. Personne ne peut se voir imposer un choix. Mais tout le monde a le plus grand intérêt à rechercher l’accord rassemblant le plus largement possible...
...Les communistes donneront ainsi à leur direction un mandat qui engagera notre Parti en tant que tel. Et c’est sur cette base que nous nous positionnerons, comme Parti, et que nous rechercherons l’accord le plus large possible"
Messages
1. Rapport de Patrice Cohen-Seat au Conseil National (du PCF) des 28 et 29 septembre 2006, 16 décembre 2006, 09:11
Et en toute fin du rapport : "l’anticommunisme n’exixte pas dans les couches auxquelles nous nous adressons" : une connerie qui explique l’essentiel de l’embourbement actuel.
CN-46400
1. Rapport de Patrice Cohen-Seat au Conseil National (du PCF) des 28 et 29 septembre 2006, 16 décembre 2006, 16:59
cn 46-400
Désolé cher monsieur il n’y a aucun anticomunisme dans le fait de récusér M.G.Buffet, mais des raisons politiques, les ’’faits sont têtus’’ disait Lenine, pour la grande majorité des travailleurs le PCF est associé à la désastreuse politique de l’union de la gauche c’est ainsi por longtemps probablement.
Ne trouvez-vous pas paradoxale d’être parti prenant d’un mouvement qui trouve sa raison d’être dans le constat de la faillite du PS et du PCF, auriez vous conçu la presence du PS dans la Gauche Antiliberale
S.Dedalus