... d’avoir des parents coco-boër, mais j’ai le bonheur d’avoir deux super potos
> l’un qui dessine et en dit long avec son trait, Placide
> l’autre qui parle comme Marcello dans la Dolce Vita, moins méché que le paparazzo, mais le courage et un charme certain en plus, Roberto Ferrario
Et puis, il y a aussi mon ’tit idole Mouloud, qui donne son avis sans qu’on le lui demande sur Canal, ce qui crée entre nous une grande communauté de pensées :)
Les 3 compères auraient bien voulu me traîner Avenue Vincent Auriol pour l’inauguration d’un buffet chips-coca chez Marie-Georges, mais comme disait l’autre, on ne peut pas être au four et au moulin.
Car, au même moment, je buvais du champ’ chez Roset en achetant un Soft-Machine du polymorphe Frédéric Ruyant "de bobo-nefois n’est pas coutume..."
Alors courir, le SM sur le dos, se faire une bonne suée chez la petite mère du peuple... spassiba, GI Joe !
Heureusement, ils sont pas manchots ni rancuniers mes potos, et m’ont transmis une jolie petite galerie.
Ci-dessous découvrez LA Soft Machine
et les "visiteurs du soir..."