Une fille de 12 ans à l’ONU

Discours à l’ONU sur l’environnement stfr - Une fille de 12ans à l’ONU

"En 1992, un groupe de jeunes fondent l’organisme ECO pour “Environmental Children’s Organization”. Invité à s’exprimer devant les Nations Unis, une jeune fille de 12ans, Severn Cullis-Suzuki, rend un témoignage poignant de la situation humanitaire et écologique du monde de l’époque. C’était il y a 17ans et pourtant ce discours est toujours d’actualité aujourd’hui. On peut même dire, évidemment, que la situation est devenue pire.

La vidéo a été uploadée le 6 juin dernier ce qui explique sa réapparition sur la scène médiatique."

http://www.vinzblog.com/une-fille-de-12ans-a-lonu-une-belle-claque-pour-nos-dirigeants/

http://www.wikio.fr/video/296811

Discours rafraîchissant et accusations pertinantes et sans embages d’une adolescente à l’ONU... il y a 17 ans !! On peut imaginer les bras d’honneur mentaux de tous ces représentants et défenseurs de la haute finance et de sa logique de rentabilité hystérique et aveugle au mépris des besoins humains et environnementaux. Beaucoup d’applaudissements pour ce faire valoir de la "démocratie" pervertie à la sauce bourgeoise libérale et puis s’en sont allé continuer leurs lâches besognes de gestionnaires corrompus et complices du Veau d’Or. Qui pouvait croire qu’il aurait pu en être autrement ?

Car bien au delà de la dénonciation du manque de conscience et de courage de la caste politique pourtant en situation potentielle d’influer sur le cours des choses et qui ne le font pas majoritairement, c’est tout le mécanisme de la machine infernale du système capitaliste, de ses méfaits à tous les niveaux et de son emprise sur les consciences que l’on doit mettre à jour, avec un rassemblement sans précédent des forces de gauche les plus décidées à en découdre et à inverser la vapeur, avec et en faveur des prolétaires et de toutes les couches populaires qui sont et seront irrémédiablement de plus en plus broyés par ce système, et donc fondamentalement nos alliées anticapitalistes. Reste à les aider à en prendre conscience.

L’entêtement à la division des forces du changement plutôt que de chercher le plus haut dénominateur commun anticapitaliste possible aujourd’hui nous sert-il vraiment à nous rassembler à la base pour changer la donne ?