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VENEZUELA : Un eurodéputé expulsé après avoir traité Chavez de dictateur

Publie le samedi 14 février 2009 par Open-Publishing
12 commentaires

Luis Herrero s’en était également pris aux horaires d’ouverture des bureaux de vote, dimanche, jusqu’à 18h, soit deux heures de plus que lors des dernières élections, en novembre 2008, déclarant que cet horaire tardif pourrait se prêter à des manoeuvres "peu transparentes et antidémocratiques".

Après ces déclarations, la présidente du Conseil national électoral du Venezuela, Tibisay Lucena, avait demandé à ce que le député européen quitte le pays afin que le référendum de dimanche puisse se dérouler dans la "paix et l’harmonie", tandis que le ministre des Affaires étrangères, Nicolas Maduro, assurait que l’expulsion de Luis Herrero visait à "préserver le climat de paix et le bon déroulement du processus électoral pour la journée du 15 février".

Le député du Parti populaire (droite) espagnol se trouvait au Venezuela à l’invitation du parti d’opposition démocrate-chrétien Copei, en tant qu’observateur du scrutin de dimanche, alors que l’Union européenne n’a elle-même pas de délégation officielle d’observateurs dans le pays.

NOUVELOBS.COM | 14.02.2009 | 12:14

Messages

  • Balayer devant da porte !!!

    Les amis de monsieur Aznar, en Espagne, font tout pour que les crimes de Franco soient oubliés, qu’on en parle plus. Eluard écrivait :

    " Il n’est pas de salut sur terre tant qu’on peut pardonner aux bourreaux"

    Ce député Herrero, qui figure dans la nauséabonde cohorte pendue aux basques (sans jeu de mots ), du menteur qui voyait dans les attentats de Madrid l’oeuvre de l’ETA , n’est pas le mieux placé pour prétendre donner des leçons de démocratie.
    Qu’il soit flanqué à la porte du Vénézuela n’est que justice.

  • c’est effectivement un eurodepute d’aznar mais ce n’est pas pour le contenu (plutot débile) de ses déclarations qu’il a été fort justement expulsé mais pour ne pas avoir respecté son mandat d’observateur.
    il a d’ailleurs été désapprouvé officiellement par d’autres députés européens..et observateurs de tous bords.

  • Un facho comme observateur d’un scrutin démocratique.......

    Ils ont tout compris au VENEZUELA,surtout la formule désormais célèbre :

    CASSES-TOI PAUVRE CON !

    LE REBOURSIER

  • Et hop, dehors ! Bien joué.

  • Pourquoi pas sarko comme observateur,avec ses gardes mobile et sa démocratie a 3 sous ;avec lui tout est possible ,surtout le pire.Non finalement un facho,bon sans doute que certains pensent que c’est pareil.Moi aussi.momo11

    • Monsieur HERRERO du Partido Popular est un fasciste qui a vêtu la chemise bleu de la Falange depuis sa tendre jeunesse. Il a vite oublié l’époque où il se rendait dans les bars avec la chaîne à moto à la main en scandant "Viva Cristo Rey ! " et ordonnant avec sa meute de fachos aux consommateurs de faire le salut nazi et chanter le "Cara al Sol". Et il ose parler de dictature au Venezuela ???

      Bien joué Chavez ! les fascistes dehors du Venezuela !

  • Code de conduite

    Les responsabilités morales et professionnelles de base des observateurs doivent être résumées dans un code de conduite semblable à celui des administrateurs de l’élection et des participants politiques. Le code doit être remis et expliqué à chaque observateur avant son affectation sur le terrain.

    Les principales consignes sont les suivantes :

    – Les observateurs doivent obéir à la plus stricte neutralité, conformément aux lois, aux règlements et au code électoral du pays.
    – Les observateurs ne doivent pas agir d’une façon qui porte préjudice au système électoral.
    – Toute relation établie par les observateurs avec les participants à l’élection et pouvant donner lieu à des allégations de conflit d’intérêts doit être rendue publique immédiatement.
    – Les observateurs doivent faire preuve de transparence, de professionnalisme et de courtoisie lorsqu’ils font enquête et recueillent de l’information.
    – Les observateurs ne doivent pas faire obstruction on s’opposer aux décisions des responsables de l’élection.
    – Les observateurs ne doivent pas intervenir dans les processus électoraux ni les perturber.
    – Dans leurs rapports, les observateurs doivent accorder autant d’importance aux actions positives qu’aux irrégularités. Ils doivent faire la différence entre les erreurs involontaires et les tentatives de manipulation - les irrégularités doivent être signalées aux dirigeants de la mission d’observation et à l’organisme électoral, qui prendront les mesures correctives nécessaires.
    – Les résultats doivent être fondés sur des preuves tangibles et vérifiables, établies conformément aux normes officielles, et ils doivent être présentés en toute objectivité.
    – Les observateurs doivent respecter les règles établies par leurs organisations relativement aux relations avec les médias et à la production de rapports, ainsi que les stratégies de diffusion de l’information de ces organisations.
    – L’information publiée doit être précise, fiable et ne doit pas être basée sur des événements isolés - les conclusions ne doivent pas être publiées prématurément.
    – Les observateurs doivent en tout temps être attentifs à leur sécurité personnelle et ne pas prendre de risques inutiles susceptibles de mettre en danger la sécurité d’autres personnes.

    Le code de conduite doit être davantage un document pratique qu’un recueil de bonnes intentions. Les dirigeants de la mission d’observation doivent sanctionner rapidement les infractions au code. (Pour en savoir plus sur la rédaction de codes de conduite des observateurs, voir code of conduct : election observation, international idea.)

    http://aceproject.org/main/francais...

  • A coup de baton ils auraient du le chasser ce chien galeux formé sous Franco !

    • Je trouve quand même bizarre ,que nos journalistes de toutes les chaînes en parlant du référendum au Vénézuela disent toujours que Chavez veut être Président à vie !!! parce qu’il a organisé ce référendum,il ne change qu’un article de la constitution, pour pouvoir se représenter autant de fois que le peuple le voudra, non seulement pour lui mais pour tous les élus, le président Colombien veut faire la même chose et on en parle pas, il n’y a que lorsque des projets de ce genre sont présentés par des mandataires d’idéologie progressiste que nos médias et beaucoup de politiques s’offusquent et critiquent ces décisions, alors que beaucoup de premiers ministres Européens, sont restés des années sans que personne ne dise rien (Felipe Gonzalez,Thatcher,Kohl,et même Blair, en Europe il n’y a pas de limite de mandat, et si le peuple veut concerver Chavez, pour quelle raison il ne pourrait pas rester ???je ne pense pas que ce soit un manque de démocratie qu’il reste, tant que le peuple le demande et qu’éventuellement il s’en aille, s’il est battu un jour,le principal c’est qu’il respecte le désirata de son peuple,ce qu’il a fait jusqu’à présent parce que toutes les transformations qu’il a faites ont été soumises à réferendum, on ne peut pas en dire autant en europe, et en plus quand il y en a un, mais qu’il ne corespondent pas à nos gouvernants on en tient pas compte ou on refait un autre référendum pour faire aprouver d’une autre façon
      ce qui à été refusé (IRLANDE 2 FOIS) ou on fait passer le texte par la voie référendaire qui est favorable au gouvernement sans tenir compte du choix des peuples,est-ce ce système la démocratie ???AL de TOULOUSE

    • Público (Espagne) Dimanche, 18 janvier 2009. 21:37

      Le président du Brésil a écarté ce samedi les critiques sur l’amendement constitutionnel soumis prochainement au référendum populaire par son homologue vénézuélien Hugo Chávez, pour permettre aux électeurs de réélire un mandataire qui aurait déjà assumé plusieurs mandats, parmi d´autres candidats au suffrage universel.

      Lula a indiqué que de telles critiques surgissent toujours quand ces projets sont présentés par des mandataires d’idéologie progressiste. "Quand le président colombien aspire à un troisième mandat personne ne lui demande pourquoi. La même possibilité existe en Europe. Combien de temps sont restés au pouvoir Margaret Thatcher, Helmut Kohl ou Felipe González ?", s´est interrogé le chef d´État brésilien.

      Il n’a pas exprimé le moindre doute au sujet de la consolidation de la démocratie au Venezuela. Lula a félicité Chávez, habituellement qualifié de "caudillo" par l’opposition, en rappelant que "durant son mandat s´est déroulée une grande quantité d’élections et de référendums, et le jour où le peuple décidera de ne pas le réélire il lui suffira de voter pour un autre candidat. C´est cela la démocratie ".

      Le dirigeant brésilien a exigé plus de respect pour les processus politiques latino-américains, "chaque pays construit le sien à partir de son degré de conscience et de sa culture politique". Peu avant de conclure sa visite de deux jours au Vénezuéla, Lula s’est engagé à intercéder auprès de la nouvelle administration américaine pour dépasser l´actuelle et "néfaste" relation entre les deux pays. "C´est important dans ce processus d’intégration régionale incontournable", a conclu le président du géant latino-américain.

      Traduction : Thierry Deronne

      par Cercle Bolivarien

  • VIVA EL VENEZUELA !!!!!!!

    VIVA CHAVEZ ET VIVA LA POBLACION DE ESTE PAIS !!!!!!!!!!!!!

    Les Vénézueliens et Vénézueliennes montrent l’exemple aux autres peuples du monde pour leur maturité politique.

    HASTA LA VICTORIA SIEMPRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!