Accueil > VIOLATION DE LA TREVE PAR ISRAEL
VIOLATION DE LA TREVE PAR ISRAEL
Publie le mardi 30 décembre 2008 par Open-Publishing2 commentaires
BANDE DE GAZA
Israël aurait lancé son offensive pendant une trève informelle de 48 h
NOUVELOBS.COM | 30.12.2008 | 13:46
C’est ce qu’affirme une responsable des Nations Unies à Gaza. Lors du lancement de l’offensive israélienne sur Gaza, ni Ehoud Olmert ni son ministre de la Défense Ehoud Barak n’ont fait mention d’une quelconque trêve.
Bâtiments ppartenant au Hamas détruits lors d’un raid aérien de Tsahal à Gaza (Reuters)
Les Palestiniens de la Bande de Gaza ne s’attendaient à l’offensive israélienne, une trêve de deux jours venant d’être conclue, une semaine après l’expiration du cessez-le-feu de six mois entre le Hamas et l’Etat hébreu.
Une responsable des Nations unies à Gaza a indiqué mardi 30 décembre que la population de Gaza pensait qu’Israël avait décrété une trêve de 48 heures dans ses attaques contre le Hamas quand les bombardements aériens ont commencé samedi matin, a indiqué mardi.
Violation de la trève par Israël ?
Karen Abou Zayd, membre de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), a fait état de cette possible violation par Israël d’une trêve informelle lors d’une vidéo-conférence de presse depuis les locaux de son agence à Gaza.
La mission israélienne auprès de l’ONU s’est refusée à tout commentaire sur cette accusation, renvoyant les journalistes vers les services du Premier ministre Ehoud Olmert à Jérusalem.
Selon Karen Abou Zayd, les Palestiniens de la Bande de Gaza ne s’attendaient pas au pillonage mené par l’aviation israélienne parce qu’une trêve de deux jours venait d’être conclue, une semaine après l’expiration du cessez-le-feu de six mois entre le Hamas et l’Etat hébreu.
"Ce que nous avons compris ici, c’est qu’une trêve devait être décidée et qu’elle a été décrétée par les Israéliens", a-t-elle expliqué. "Ils ont dit qu’ils attendraient 48 heures. Cela devait aller, je crois, du vendredi matin au dimanche matin, le temps pour eux d’évaluer la situation."
"Le Hamas a respecté cette trève"
"Une seule roquette a été tirée (sur Israël) vendredi, ce qui semble prouver que le Hamas a tenté à nouveau de respecter cette trêve pour reprendre le contrôle de la situation", a poursuivi la membre de l’UNRWA. "Mais tout a déraillé samedi matin vers 11h30. Nous étions tous au travail et nous avons été très surpris."
Lors du lancement de cette offensive, ni Ehoud Olmert ni son ministre de la Défense Ehoud Barak n’ont fait mention d’une quelconque trêve.
Pour Karen Abou Zayd, la population de Gaza "ne pense pas que la trêve (de six mois) a été violée en premier par le Hamas". Tout au contraire, les habitants "ont vu que le Hamas avait observé la trêve d’une manière très stricte pendant presque six mois, au moins pendant quatre des six mois, sans rien obtenir en retour."
"Puisqu’il n’y avait plus de roquettes, les points de passage auraient dû rouvrir", a encore relevé Karen Abou Zayd. "Or les points de passage n’ont pas été réouverts du tout."}
http://tempsreel.nouvelobs.com/actu...
http://www.google.com/hostednews/ca...
Alandalus
Messages
1. VIOLATION DE LA TREVE PAR ISRAEL, 30 décembre 2008, 15:31, par Alandalus
Qui a rompu le cessez-le-feu à Gaza ?
© Djazaïri 29 12 08 @ 13:12
Les opérations en cours à Gaza sont des mesures de rétorsion à l’encontre des tirs de roquettes pratiqués par le Hamas en direction de l’entité sioniste.
Ainsi le veut la « hasbara », la propagande sioniste qui depuis des décennies a entrepris de laver les cerveaux même les mieux intentionnés.
Qui a rompu le cessez-le-feu ? Et accessoirement qui assiège Gaza, empêche les pêcheurs Palestiniens d’essayer de gagner leur vie, empêche un fonctionnement normal des structures sanitaires, bref impose un châtiment collectif à toute une population, en contravention avec les conventions de Genève.
L’article ci-dessous donne seulement la réponse à la première question et cette réponse est claire : c’est l’entité sioniste qui a rompu la trêve.
Outre la complicité égyptienne dans cette énième agression sioniste, l’article nous apprend que l’opération en cours était en fait prévue de longue date et que seul le moment exact de son déclenchement restait à déterminer.
Désinformation, secrets et mensonges : aux origines de l’offensive sur gaza
par Barak Ravid, correspondant, Haaretz (Sionistan) 28 décembre 2008 traduit de l’anglais par Djazaïri
Préparation à long terme, collecte soigneuse d’informations, discussions secrètes, déception opérationnelle et induction en erreur de l’opinion – il a tout de tout ça derrière l’opération de « plomb durci » des forces israéliennes contre des cibles du Hamas dans la bande de Gaza, qui a commencé samedi matin.
L’action de désinformation a, selon des responsables militaires, pris le Hamas par surprise et a contribué à augmenter le nombre de ses pertes dues aux frappes.
Des sources auprès de la hiérarchie militaire indiquent qu’Ehud Barak, le ministre de la défense, avait ordonné aux forces israéliennes de préparer l’opération depuis six mois, alors même qu’Israël venait d’entamer des négociations pour un accord de cessez-le-feu avec le Hamas. D’après ces sources, Barak avait soutenu que, même si la trêve pouvait permettre au Hamas de se préparer pour une confrontation avec Israël, l’armée israélienne avait elle aussi besoin de temps pour se préparer.
Barak donna des ordres pour effectuer une importante action de recueil de renseignements qui visait à localiser l’infrastructure du Hamas de même que celles d’autres organisations militantes actives dans la bande de Gaza.
Cette action de collecte de renseignements a apporté des informations sur les bases permanentes, les entrepôts d’armes, les camps d’entraînement et les domiciles des hauts responsables ainsi que les emplacements d’autres équipements.
Le plan d’action qui a été mis en œuvre dans l’opération "plomb durci" est resté à l’état de projet jusqu’au mois dernier quand la tension s’est accrue après l’incursion dans la bande de Gaza lancée par l’armée israélienne pendant le cessez-le-feu pour s’emparer de tunnels dont l’armée disait qu’ils avaient pour but de faciliter une attaque des militants Palestiniens sur les troupes israéliennes.
Le 19 novembre, après l’explosion de dizaines de roquettes Qassam et de mortiers sur le sol israélien, le plan a été présenté à Barak pour approbation définitive. Mardi dernier, le 18 décembre, le premier ministre Ehud Olmert et le ministre de la défense se sont réunis au quartier général de l’armée au centre de Tel Aviv pour approuver l’opération.
Ils avaient cependant décidé d’attendre et de voir si le Hamas s’abstiendrait de tirer après l’expiration du cessez-le-feu. Ils ne présentèrent donc pas le plan au cabinet pour approbation mais informèrent de ses développements la ministre des affaires étrangères Tzipi Livni.
Cette nuit, s’adressant à la presse, des sources du bureau du premier ministre ont déclaré que "si les tirs venant de Gaza continuent, la confrontation avec le Hamas sera inévitable." Ce week-end, plusieurs ministres du cabinet d’Olmert lui ont reproché ainsi qu’à Barak le fait de ne pas riposte aux tirs de Qassam par le Hamas.
"Ces bavardages auraient rendu Entebbe ou la guerre des six jours impossible," avait déclaré Barak en réponse aux accusations. Le cabinet a été finalement convoqué mercredi, mais le Bureau du Premier ministre a sciemment induit les médiats en erreur en affirmant que la discussion tournerait autour de la question du djihad mondial. C’est seulement ce matin que les ministres ont appris que les débats concerneraient l’opération à Gaza.
Dans sa déclaration préliminaire aux discussions, le bureau du premier ministre avait consacré une seule ligne à la situation à Gaza à comparer avec la page entière concernant la déclaration d’illégalité de 35 organisations islamiques.
Ce qui s’est réellement passé lors de la réunion du cabinet fut tune discussion de cinq heures sur l’opération pendant laquelle les ministres ont été mis au courant des différents projets et plans d’action. « Les détails ont été soigneusement passés en revue," a déclaré un ministre.
Ce ministre ajoutait : "Tout le monde comprend pleinement vers quel type de période nous allons et vers quels types de scenarios cela pourrait nous conduire. Personne ne pourra dire qu’il ou elle ne connaissait pas l’objet du vote." Le ministre a aussi indiqué que la discussion a montré que les leçons de la Commission Winograd sur la performance des décideurs politiques pendant la deuxième guerre du Liban en 2006 ont été « complètement intégrées. »
A la fin de la discussion, les ministres ont vote à l’unanimité en faveur de l’attaque, laissant au premier ministre, au ministre de la défense et à celui des affaires étrangères le soin d’en déterminer le moment exact.
Alors que Barak travaillait sur les derniers détails avec les officiers responsables de l’opération, Livni est allée au Caire pour informer le président Egyptien Hosni Moubarak qu’Israël avait décidé de frapper le Hamas.
Parallèlement, Israël continuait à pratiquer la désinformation en annonçant qu’elle ouvrirait les points de passage vers la bande de Gaza et qu’Olmert déciderait de l’opportunité du lancement de l’attaque après trios consultations supplémentaires ce dimanche – un jour après avoir donné l’ordre effectif de déclencher l’opération.
Le Hamas avait évacué l’ensemble du personnel de son quartier général après la réunion ministérielle de mercredi," explique un responsable du ministère de la défense, "mais l’organisation a appelé son personnel à revenir après avoir entendu que tout était suspend jusqu’à dimanche.
La décision définitive a été prise vendredi matin quand Barak a rencontré Gabi Eshkenazi, le chef d’Etat-major, Yuval Dishkin, le chef du Shin Bet (Sécurité intérieure) et Amos Yadlin, le responsable du renseignement militaire. Quelques heures plus tard, Barak a tenu une dernière réunion avec Olmert et Livni au cours de laquelle tous trois ont donné les ordres aux forces aériennes.
Vendredi soir et samedi matin, les chefs de l’opposition et les personnalités politiques importantes, dont Benjamin Netanyahu, le chef du Likoud, Avigdor Lieberman d’ Yisrael Beuiteinu’s, Haim Oron du Meretz et le président Shimon Peres, ainsi que Dalia Itzik, présidente de la Knesset, ont été informés de la préparation de l’attaque
http://cozop.com/djazairi/qui_rompu...
1. VIOLATION DE LA TREVE PAR ISRAEL, 30 décembre 2008, 17:15, par Alain Chancogne
De toutes façons ; une chose est certaine :
’TREVE " rompue par un missile ou pas..ISRAEL VIOLE TOUTES les dispositions de l’ONU quant au DROIt des Palestiniens de VIVRE dans un ETAT reconnu comme devant être hors de la botte d’un occupant !!
Quant aux éternelles références au Terrorisme, faut il ici encore rappeler des faits tétus ?
Le « plan Dalet » ou « plan D » adopté par l’Agence juive et la Haganah en janvier et appliqué à partir de mars 1948, prévoyait « des opérations contre les centres de population ennemie situés au sein de notre système de défense ou à proximité, afin d’empêcher qu’ils soient utilisés comme bases par une force armée active.
CITATION :
"Ces opérations peuvent être menées de la manière suivante : ou bien en détruisant les villages (en y mettant le feu, en les dynamitant et en déposant des mines dans leurs débris), et spécialement dans le cas de centres de population difficiles à maîtriser ; ou en montant des opérations de ratissage et de contrôle selon les lignes directrices suivantes : encerclement du village et enquête à l’intérieur. En cas de résistance, la force armée doit être anéantie et la population expulsée hors des frontières de l’Éta
l’Etat hébreu continue en 2008 ce qui aété commencé il y a soixante ans.
!
Qu’on vienne pas m’emmerder avec le Hamas diabolisé !
Ce sont des "terroristes" de l’IRGOUN qui ont créé ISRAEL..NON ?