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XXIe siècle et malheureusement la solution aux problèmes semble toujours passer par la guerre
Publie le mardi 25 août 2009 par Open-Publishing2 commentaires
Dans un article intitulé : In Bush’s Footsteps
(http://original.antiwar.com/huber/2009/08/24/in-bushs-footsteps/), Jeff Huber trouve déprimant le fait que le président Obama ait employé dans une adresse à des vétérans le 17 août dernier une rhétorique semblable à son prédécesseur G. W. Bush.
Obama est revenu sur le thème que la guerre en Afghanistan n’avait pas été voulue par les États-Unis mais avait été imposée au pays par les attentats du 11 septembre 2001.
Ce que l’on peut se demander, c’est si des attentats survenus il y a huit ans peuvent servir de prétexte pour une guerre éternelle.
De plus, s’il faut bombarder un pays comme l’Afghanistan pendant des décennies à cause de ces attentats, il est à se demander dans quel état maladif est tombée notre monde.
Et en suivant la logique militariste du président Obama, si toute la lumière était faite sur les véritables conspirateurs des événements nébuleux du 11 septembre 2001, Obama serait probablement obligé de bombarder Wall Street.
Mais il ne bombarderait certainement pas ses copains. Et ainsi on en aurait fini avec ces guerres.
Ce début de XXIe siècle est toute une gifle pour ceux qui croyaient que l’humanité était rendue à un haut degré de civilisation et qu’elle était capable de régler ses problèmes autrement qu’avec la guerre.
Tant et aussi longtemps que la guerre sera la solution, il n’y aura pas d’amélioration dans la lutte contre la pauvreté à travers le monde et pas d’amélioration du niveau de vie des plus démunis à travers le monde.
Messages
1. XXIe siècle et malheureusement la solution aux problèmes semble toujours passer par la guerre, 25 août 2009, 21:26
pourquoi ces mots ?
cherche comment fonctionne
le systeme.
2. XXIe siècle et malheureusement la solution aux problèmes semble toujours passer par la guerre, 26 août 2009, 11:45
"Le capitalisme porte en lui la guerre comme les nuées portent l’orage", Jean Jaurès.
"On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels...et des banksters" : j’ajoute avec mes excuses au père de Crainquebille. Jesse