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Yves Salesse, comme candidat de second rang ?
Publie le mardi 21 novembre 2006 par Open-Publishing26 commentaires
On peut (ou non) éprouver de l’enthousiasme pour José Bové, Jean-luc Mélenchon, Marie Georges Buffet ou Olivier Besancenot.
Et même pour Clémentine Autain !
Mais je ne connais personne qui s’enthousiasme pour Yves Salesse.
Son nom est pourtant parfois prononcé dans les collectifs comme candidat unitaire anti libéral.
Cela arrive suite au raisonnement suivant : Salesse étant inconnu, il n’a pas d’adversaires parmi nous, et ne suscite pas de rejet. Au contraire, les nombreux partisans de José Bové s’opposent aux nombreux partisans de MG Buffet...
Dans un esprit de paix, il peut être alors habile de se rabbatre sur Salesse...
On suppose ainsi que les communistes, qui "avaleraient" difficilement la couleuvre Bové, accepteraient plus aisément l’anodin et respectable conseiller d’Etat.
Cette démarche n’est pas flatteuse pour Salesse, qui serait ainsi pris comme "second choix".
Elle prend carrément les communistes pour des imbéciles, en supposant qu’ils ne peuvent pas faire le calcul politique conforme à nos objectifs : choisir tout simplement le candidat qui peut faire le plus gros score, ce qui est l’objectif central d’une compétition présidentielle...
Surtout, c’est une démarche qui nous prend collectivement pour des immatures. On choisirait le candidat le plus "consensuel".
Mais ce n’est pas le sens du du "consensus" ! C’est dans l’autre direction que ça doit marcher. Nous devons choisir le meilleur candidat parmi nous, c’est à dire celui qui peut faire le plus gros score (Bové, ou encore Mélanchon s’il nous rejoint) et, par un effort de lucidité politique, faire le consensus sur le meilleur.
Je me répète : il ne faut pas considérer comme le meilleur celui qui fait consensus parmi nous, il faut que nous fassions le consensus sur le meilleur.
Messages
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 09:38
Il n’y aura jamais de véritable consensus... et qui peut véritablement dire qui est le meilleur... s’il n’y a pas de consensus ,
On tourne en rond dans cette faire et depuis beaucoup trop longtemps ce qui fait perdre, jour aprés jour, une part toujours plus importante de notre crédibilité.
Si l’on trouve une "solution" ça va être à l’arrachée et ce sera une mauvaise solution.
On s’y est mal pris depuis le début. Trop tard pour rattraper tout cela.
Loïc - Toulouse
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 14:39
une seule reponse a ceux qui veulent nous gouvernes
les autoritaires le seules votes contestataires est le vote
blancs( michel bakounines)
2. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 09:51
Tes qualificatifs disqualifient ton propos je ne vois pas que l’homme à qui nous "devons" depuis 20002 l’existence des collectifs soit un anodin personnage, qui plus est, on lui doit un sacré travail d’expertise sur les textes, et une disponibilié sans faille pour le mouvement. Il n’est pas un animal médiatique et tant mieux. Quand aux collectifs qui sont composés de toutes les tendances de tous les âges et qui votent Salesse ou qui arrive à sa candidature par consensus je ne vois pas qu’il soient manipuleés, sur la base du moins disant. Ton procès est mal intentionné et sans fondement. Unitairement. Gilles
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 10:07
Gilles, je suis d’accord avec toi, mais ce genre de remarque sur le caractère ou non des "candidats" est significatif de la manière dont est posé le problème. Ce genre de remarque traine plus ou moins dans tous les commentaires et les réflexions que l’on fait à propos de cette question ce qui montre bien que l’on s’est fait happer dans le caractère spectaculaire de l’élection... on s’en méfiait mais ça été plus fort que nous, il faut le reconnaître aujourd’hui.
Dés le départ on a mal posé les questions, on a mal évalué le sens de ce type d’engagement. Je pense que l’on va à la catastrophe. Le réveil va être brutal. Il va falloir reposer les problèmes dans leurs bons termes ce qui risque d’entraîner des déchirements théoriques.
Loïc - Toulouse
2. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 10:45
Bien sûr, mais vivement qu’on parle d’autre choses car il ya à faire et à dire sur le programme l’article 30 et suivant sur l’environnement me semble pauvre et peut être même écrit à l’envers en ne plaçant pas la défense de la ressource comme principe de gouvernement.
gilles.christine.odic@wanadoo.fr C’est mon adresse si ça t’intéresse je peux t’envoyer la réflexion d’un responsable syndical evironnement sur la question. gilles
3. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 10:57
Mais Gilles, c’est bien là qu’est le problème. Ce n’est pas un hasard si l’on est complètement accaparé par ces questions de "préscéance" et de "médiatisation". Ce n’est pas un hasard si nous sommes entrain de "lâcher la proie pour l’ombre".
Je pense qu’il s’agit en fait d’une question fondamentale et ce qui se passe n’en est que la manifestation la plus, si j’ose dire, spectaculaire. C’est la question de :
"Qu’est ce qui se joue dans ce mouvement ?"
"Quels jeux jouent les uns et les autres ?"
"Comment concevons nous, les uns et les autres, l’action politique dans un cadre électoral ?"
Nous avons foncé tête basse dans un programme, certes intéressant, de manière un peu abstraite,... et les questions que nous aurions du nous poser au départ, mais que l’on a laissé de côté, en pensant quelles étaient secondaires, sont entrain de bouffer toute notre énergie.
Personne ne prend de recul pour dire "Stop, arrêtons de déconner".
4. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 20:36
Il y a des arguments qui sont vraiment irrecevables !Le genre elle est trop jeune,trop médiatique,trop peu connu,a des lunettes,des moustaches,est membre d’un parti,le passé le présent,et j’en passe et des meilleures !
C’est oublier une chose:nous avons pris la déçision de mener une campagne COLLECTIVE,de proximité,avec tout les collectifs locaux et avec le collectif de porte parole.Ceux qui existent et ceux qui vont ce créer.
Notre programme est notre candidat.Mais avons nous assez confiance en nous pour en apréhender tout les aspects.
Ne nous leurrons pas quel que soit notre candidat nous n’aurons pas droit aux médias,mis à part les notres et internet,alors les arguties sur le candidat connu ou inconnu sont débiles.
Les seuls à pouvoir faire connaitre notre candidat et notre programme c’est nous,nous ne pouvons compter que sur nous.
Créons des collectifs partout,dans tous les villages,dans toutes les entreprises,dans toutes les villes.
C’est LA condition pour gagner.Devenons tous candidats comportons nous comme tel et nous pourrons changer les choses.
Jean Claude des Landes
3. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 10:49
Tout faux...Le meilleur candidat c’est Salesse... Par pitié, militant PS tres deçu par la defaite de l’aile gauche du parti et près a voter pour l’alliance des gauches je vous rappelle que un candidat PC ne rassemblera jamais sur son nom toute les électeurs de la gauche antilibérale, de même pour un candidat LCR (c’est plus trop d’actualité...), tout simplement parce que trotskisme ou communisme ça fait pas moderne et ça reste trop connoté URSS… Un candidat d’Attac ou de l’appel des 200 c’est plus classe, ça fait moins peur et si Salesse n’est pas connu du grand public aujourd’hui, après 6 mois de campagne sur le terrain, il le sera... (Quand a Bové désolé mais il est pas crédible comme président et Mélenchon, si on doit avoir un PS alors pas lui, un Filoche ou un Généreux sont quand même plus doués mais eux et c’est bien dommage ne semble pas vouloir franchir le Rubicon...)
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 12:32
Et si nous respections le travail des Collectifs ?
Les Collectifs suivent la démarche préconisée et adoptée par la réunion nationale des Collectifs : ils débattebt jusqu’au 9 (neuf) décembre localement, ensuite avec leurs délégués, il y aura la désignation du candidat de consensus des Collectifs et confrontation avec le candidat de consensus des organisations.
Alors pourquoi ces appels à l’urgence ? Nous avons le temps, nous ne faisons pas un campagne médiatique, les membres des collectifs doivent rassembler autour d’eux plus largement encore pour que la population la plus large soit concernée par le contenu du programme et notre porte-parole collectif de campagne, la désignation de notre candidat, c’est pour mettre un nom sur le bulletin de vote.
Alors pourquoi ce besoin d’avoir un nom ? Certains imaginent que la campagne ne commencera que si ce nom est défini... elle a déjà commencé et en profondeur. Nous en sommes au moment où un deuxième cercle de personnes se mobilise. Laissons les venir et apporter leur sensibilité : elle n’est peut-être pas exactement la même que celle des militants du premier cercle. Quant au troisième cercle, celui de la gauche tout entière, il aura aussi son mot à dire !
Alors ne cédons pas à la présidentialisation, à la "rencontre d’un homme (?) avec le peuple"... De Gaulle est mort et ceux qui se prennent pour lui, ou pour une personne providentielle, se disqualifient comme candidats du Rassemblement antilibéral. Non la campagne de notre Rassemblement ne sera pas menée par UNE personne, c’est l’ensemble des Collectifs qui doit la mener et qui la mène déjà pour faire réussir un programme. Pourquoi certains veulent-ils, à gauche, reproduire des schémas présidentialistes, mettre les Collectifs au service d’une personne, alors que nous cherchons à faire l’inverse : mettre les porte-parole du collectif de campagne au service des Collectifs et du Rassemblement antilibéral ! (Les personnes qui se comportent en supporters d’une personne ou d’une autre sont donc complètement à côté du processus engagé et ne le servent pas.)
Enfin, des critères que nous essayons d’objectiver ont été définis dans la méthode de désignation, pourquoi ne pas les utiliser ? Pourquoi en rester à des argumentations sur des aspects qui ne relèvent pas de ces critères et qui se limitent souvent à des points subjectifs...
Pour ceux qui voudraient participer aux Collectifs pour en discuter et pas seulement commenter devant leur écran ce qu’ils croient être la campagne du Rassemblement, voici la liste des critères :
Rassembler au plus large
* Notoriété
* Candidature non polémique
* Identification à un courant, une sensibilité, une organisation
Capacité à transformer le social en politique
Faire vivre notre unité dans sa diversité
* Capacité d’écouter et laisser s’exprimer la diversité
* Capacité d’exprimer le commun
* Capacité à s’inscrire dans un travail collectif
* Capacité de sang-froid politique
* Capacité d’aider à porter le processus complexe du rassemblement
Respect des décisions collectives
* Respect de la stratégie et du programme
* Expertise sur les contenus
* Respect de la stratégie
Capacité de porter notre campagne
* Prestation dans les médias, qualités de débatteur
* Bien perçu et bien reçu dans l’opinion populaire
* Capacité de porter l’ensemble du programme
* Capacité à porter une dynamique militante
Préserver notre avenir commun
* Capacité à prolonger notre rassemblement dans l’avenir
Quand chacun de ces points sera clarifié, certainement que la discussion sera plus objective.
JeanNimes
2. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 14:50
Dire les choses ainsi, c’est ne pas croire possible une véritable campagne collective. C’est croire au fond que ce qui va marquer c’est uniquement la personnalité et son impact médiatique immédiat qui va s’ossifier durant l’ensemble de la campagne. Qui peut prétendre incarner nous tous ? Personne ! C’est impossible même dans son propre courant de pensée ! Je ne crois pas à l’incarnation. Je crois en nous, je crois en vous, à notre intelligence collective enfin...
L’idéal est d’avoir une personnalité populaire (différent de score élevé, aucune garantie de score élevé) et en mesure d’être le levain de cette campagne collective sur notre projet et notre stratégie. Il me semble que tous durant la campagne du non en 2005 ont montré cette capacité y compris le PCF.
Nous sommes ensemble mais nous nous méfions les uns des autres. Tous les candidats ont une histoire, se rattache à un courant de pensée. Il n’y a pas de génération spontanée. Le choix d’un parmi eux sera libératoire et dans l’instant média sera perçu de façon réductrice comme se rattachant à un courant de pensée.
Pouvons-nous, avons-nous les capacités à nous projeter, au-delà de l’instant, de l’apparence première, de l’hypertrophie médiatique et du poids de l’histoire dans l’avenir à commencer par cette échéance qui s’approche à grands pas. Il nous faudra percer le mur médiatique il n’y a pas de pirouette médiatique avec une cote de popularité. Comment ? par une campagne de fourmis intelligentes rouges, vertes et roses vifs. Quand la représentation médiatique sera difforme au regard du mouvement réel de cette gauche naissante nous aurons oublié l’enfantement dans la douleur de cette incarnation impossible. Nous serons devenus sans doute un peu plus adulte.
Claude de Massy (militant du PCF)
4. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 11:25
Le meilleur score ne sera pas forcément le meilleur chiffre ou la meilleur image. La crédibilité du discours et le refus du jeu spectaculaire sont le fond même du programme et des idées que nous défendons. Les personnalités à l’image trop connotée, quelque soit cette image, favoriserons peut-être un bon score - et encore on en sait rien ! -, mais serons un obstacle à ce qui fait toute la nouveauté du mouvement, dans la forme comme dans le fond, les deux étant indiscolublement liés : le refus d’une idéologie ou de réponses définitives qui se veulent des solutions miracles, pour la construction par la base d’un projet porté par tous ceux qui voudront s’y associer. C’est ce message d’abord qui peut emporter une large adhésion populaire.
Tous les candidats sont capables de le porter par leur discours, ce n’est pas le problème.
Mais Yves Salesse, comme Clémentine Autain qui a très bien défendu cette idée hier sur France Inter, sont, de ce point de vue, moins "marqués" par leur passé et une image médiatique déjà construite sur d’autres bases (comme José Bové ou Marie-George Buffet). Ces bases nous sont des appuis indispensables, mais risquent de limiter notre capacité d’ouverture et d’adhésion large, peut-être pas dans dans les sondages, mais pour l’essentiel : la réalité du vote et la volonté de poursuivre la construction d’une nouvelle gauche.
Vincent
5. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 11:37
Personne ne s’enthousiasme pour Salesse ? Alors pourquoi est-ce lui qui est le plus applaudi à chaque meeting ?
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 12:00
90 152
Effectivement, c’est bien la le probléme : C’est ce qu’ il dit qui est applaudi, et en ce sens on est au coeur du probléme politique, il n’est pas dans le jeu du PCF de la LCR et autres, il serait bien évidemment le meilleur candidat il suffit del’écouter
S.Dedalus qui encore une fois n’a rien compris
2. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 22 novembre 2006, 00:22
Mais que croyez vous vont faire la grande masse des militants PCF si ce n’est pas un des leurs.
Et bien quelque soit les incantations de la direction ce sera l’arme aux pieds et cela la direction du PCF le sait. Cela fait des lustres qu’on nous dit de passer sous la table pour faire l’union avec des gens qui nous crachent dessus à la première occasion. Essayez si ce n’est trop demander de le comprendre. D’ailleurs sur la capacité à rassembler des élections récentes dans le nord et autour de Toulouse font la démonstration de cette capacité qu’à le PCF de rassembler.
6. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 11:40
Comme tu peux le voir Gilles, les commentaires qui arrivent montrent qu’aucune distance n’est prise par rapport au problème qui se pose. Chacun/e continue son petit travail pour l’un ou l’autre sans se rendre compte qu’il s’enfonce dans une logique qui ne même nulle part sinon à la confusion.
Loïc - Toulouse
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 11:55
Je te suis sur l’aspect premier des questions de sens de ce qui est engagé, et la nécessité de le rappeler. Reste qu’un choix est à faire. C’est au travers des réflexions sur le candidat se joue ce dont tu parles. Si c’est un symptôme, il contient justement sa solution ; pour éviter de tomber dans la confusion que tu redoutes, à raison je crois, il faudrait plutôt decripter et essayer de traduire ce qui se dit dans ces échanges. Au boulôt !
Vincent
7. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 12:17
Nous pouvons toujours chercher le petit détail qui fera grincer des dents les uns et les autres. Ainsi, j’y apporte une contribution ironique.N’est ce pas la LCR qui tente de faire son OPA sur le rassemblement anti- libérale ??? Y.Salesse a passé quelque temps aux responsabilités de la LCR !!! S’il est choisit comme candidat nous aurons l’assurance du retrait de Besancenot !!! Sic, oui on peut tout dire. En ce qui me concerne, quelque soit le /la candidat(e) je fonce. Ceux qui resteront à coté s’en mordront les doigts !!! La LCR est coincée entre le rassemblement anti libéral et LO !!! Il faut regarder les choses à moyen terme. Les prochaines Européennes ????? Beaucoup savent ce qu’ils vont d’or et déjà faire !!! la LCR ??? La LCR a fait son score en 2002 sur la base d’un découragement de nombre de communistes , lesquels se retrouvent complètement dans la démarche effectuée par le PCF depuis 2005, c’est une réalité !! donc la LCR de 2007 ce sera plutot de tirer les voix de LO !!! à ce jeu là, le peuple n’avance pas !! pis, on apporte aucun espoir , aussi petit soit il au peuple !!!la porte ouverte au fascime par la suite. Chacun de nous savons combien les politiques de Sarko ouSégo peuvent être dangereuse .Toutes les organisations , quel qu’elles soient, s’enrichiront de cette démarche unitaire et quel que soit le /la candidat(e). Qu’est ce qui importe ???!!! la réponse est simple : le mieux être pour tous ceux qui souffrent.
Bruno.C
8. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 12:33
C\’est absolument hilarant (__Schadenfreude__ comme disent les allemands) que la gauche du NON à l\’union européenne soit __en train de se saborder en reprenant précisément à son compte comme principe de fonctionnement .... cette règle du \"double consensus\"__ (unanimité des gouvernements lors de la négociation puis unanimité des ratifications dans un cas, consensus des organisations participants et consensus des collectifs de l\’autre) qui si constamment et si profondément plombé l\’Union européenne puisqu\’elle débouche sur compromis boîteux après compromis boiteux pour terminer sur la paralysie et l\’auto-décridibilisation.
9. Double consensus, 21 novembre 2006, 12:37
C\’est absolument hilarant (Schadenfreude comme disent les allemands) que la gauche du NON à l\’union européenne soit en train de se saborder en reprenant précisément à son compte comme principe de fonctionnement .... cette règle du \"double consensus\" (unanimité des gouvernements lors de la négociation puis unanimité des ratifications dans un cas, consensus des organisations participants et consensus des collectifs de l\’autre) qui si constamment et si profondément plombé l\’Union européenne puisqu\’elle débouche sur compromis boîteux après compromis boiteux pour terminer sur la paralysie et l\’auto-décridibilisation.
Incroyable que les nationalistes anti-Europe soient passé à côté de cette règle empirique d\’une simplicité et d\’une implacabilité cristalline :
Là où il y a de l\’unanimité, personne n\’est vraiment content !
10. Double consensus..., 21 novembre 2006, 12:38
C’est absolument hilarant (Schadenfreude comme disent les allemands) que la gauche du NON à l’union européenne soit en train de se saborder en reprenant précisément à son compte comme principe de fonctionnement .... cette règle du "double consensus" (unanimité des gouvernements lors de la négociation puis unanimité des ratifications dans un cas, consensus des organisations participants et consensus des collectifs de l’autre) qui si constamment et si profondément plombé l’Union européenne puisqu’elle débouche sur compromis boîteux après compromis boiteux pour terminer sur la paralysie et l’auto-décridibilisation.
Incroyable que les nationalistes anti-Europe soient passé à côté de cette règle empirique d’une simplicité et d’une implacabilité cristalline :
Là où il y a de l’unanimité, personne n’est vraiment content !
11. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 13:39
quoi ?
mais Yves Salesse depuis des mois je le pense comme être Le représentant efficasse, La personne qu’il va nous faloir pour bouter les arguments fiéleux de sarko ou Royal !
ce texte est quasiment insultant envers Salesse et envers ceux qui sont persuadés que Salesse fera l’UNITE !
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 16:06
Pour moi Yves est un intello utile mais il ne ferra ni l’unité, ni voter les gens.
Jacques C.
2. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 16:40
Pour moi Y.SALESSE a fait du bon boulot sur le TCE...mais je le vois mal être le candidat aux présidentielles des antilibéraux.A mon avis , il fera guère plus que M.G. Reste J.B.et Cl.A.
Aprés l’avoir entendue plusieurs fois (et oui..) à la télé.et com^pte tenu que pour le PS c’est Ségo....je pense que Cl.A est notre meilleure candidate.
3. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 16:50
Tout à fait d’accord. Il faut un choc après tout le tralala du P.S. Et ce choc c’est Clémentine Autain.
François Servais
12. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 21 novembre 2006, 18:50
Super ! Alors les socialistes choisissent Ségolène Royal et nous, nous qui revendiquons une nouvelle voie à gauche, nous choisirions un sexagénaire grisonnant qui a fait l’ENA ? Cherchez l’erreur...
Nous donnons à voir une nouvelle offre politique dans le cadre du projet antilibéral alors soyons aussi innovant dans le choix du personnel politique ... en posant ce préalable il n’y a pas d’autre alternative possible que celle de Clémentine Autain. Elle seule est en phase avec notre projet, notre ambition et notre stratégie. Et c’est la plus à même de porter l’autre voie à gauche pour battre cette droite et devenir majoritaire à gauche !
1. > Yves Salesse, comme candidat de second rang ?, 22 novembre 2006, 21:34
Un petit rappel : est-ce qu’on n’avait pas décidé de mettre la personnalisation et les ultimata de côté ?
Pourqoui alors déqualifier un de l’équipe des porte-paroles en tant que "sexagénaire grisonnant" et de dire d’une autre qu’"elle seule est en phase avec notre projet, notre ambtion et notre stratégie" ? Et les autres, alors ?
Je trouve que nous avons une équipe de porte-paroles qui toutes/ tous sont à notre honneur.
J’ai beaucoup d’estime pour CA, son style franc, sa fougue. Si je préfère Yves Salesse c’est parce qu’il combine une connaissance approfondie des dossiers avec une présence emotionelle aussi dans les grands auditoires.
Mais surtout - soyons fiers de toutes/tous dans l’équipe des porte-paroles !
ÖA Paris 18