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les prefets à l’attaque du droit fondamentale des salariés de france
Publie le dimanche 24 octobre 2010 par Open-Publishing2 commentaires
une simple déclaration de guerre au peuple français , nous devons nous unir rapidement !!
la police contre le droit du travail !!
les prefets agissent par des courrier recommandés ? il faut etre absent de chez soit et être injoignable !!
Messages
1. les prefets à l’attaque du droit fondamentale des salariés de france, 24 octobre 2010, 16:14
Le préfet de Seine-et-Marne, Jean-Michel Drevet, est l’ancien directeur de cabinet du ministre Christian Estrosi !
En clair :
Jean-Michel Drevet, ce préfet sarkozyste, va mener une bataille contre les grévistes de Grandpuits, il va tout faire pour ré-ouvrir la raffinerie de Grandpuits, il va réquisitionner les grévistes, et si le tribunal administratif lui donne tort, il va de nouveau lancer une réquisition, et ainsi de suite, jusqu’à ce que les grévistes craquent.
Jean-Michel Drevet, Christian Estrosi, Brice Hortefeux, Nicolas Sarkozy : une belle brochette de démocrates !
1. les prefets à l’attaque du droit fondamentale des salariés de france, 24 octobre 2010, 23:30
Merde, mais faut y aller et y répondre à la "réquisition"...
Mais d’abord exiger d’être payés pour le job, porter des mots d’ordre sur soi, et ensuite sur place suffit de bosser au ralenti, de ne pas comprendre les ordres, de faire tout à l’envers, de ne prendre aucune initiative qui ne dépend pas de soi. Dans de telles situations, et vu les réductions drastiques d’effectifs même en temps normal, simplement la dernière solution suffit à bloquer la production.
Avec tact et finesse bien sûr.
C’est pas la peine de se gargariser du "savoir-faire" des ouvriers si on n’est pas capable de "savoir ne pas faire" ou "ne pas faire bien".
Face à la force brutale faut savoir finasser et les prendre par ou ils pêchent et surtout le sprendre pour des cons.
Et ce qui les gêne c’est qu’ils ne peuvent pas faire sans vous.
Alors prenez leur fric et mettez les dans la merde. Y a rien de pire qu’une équipe qui décide de niquer les "décideurs". Suffit de vouloir et de bien s’entendre. Et faites le savoir en souplesse aux cadres qui jouent aux jaunes.
Comme me disait un adjudant quand j’étais sous-off : "Quand on monte au front, les officiers subalternes qui sont obligés de monter devant et qui n’ont pas l’aval de la troupe meurent plus souvent d’une balle dans le dos que d’une balle dans le front".
Et que les "autres" syndicalistes dehors expliquent aux masses ce qu’il en est réellement sur la "réquisition" et comment elle s’applique en réalité.
Bon courage...
G.L.