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opinion way : ceux qui savent ce que veulent les francais et le publient dans la croix

Publie le mercredi 19 septembre 2007 par Open-Publishing
5 commentaires

à sa tête hugues cazenave ....
Et si quelqu’un pouvait m’aider… Le président d’OpinionWay, Hugues Cazenave a été 2 ans dans un cabinet ministériel. Mais quand j’essaye d’obtenir plus d’informations sur ce cabinet ministériel (simple curiosité), je reviens bredouille des moteurs de recherche. Plutôt étonnant que cet élément biographique soit occulté…

si qq à la whos who sous le coude..... ou un collectionneur du guide pouvoir
Merci !!!!!

Messages

  • Bonjour,

    Ce manipulateur d’opinion était conseiller en communication au cabinet ministériel de Jean Pierre Raffarin. C’était peut être lui l’auteur des célébres raffarinades !!!

    Mister H

    • merci !!!!!!
      et maintenant il préchauffe les plats de sarko
      je recherche un article très intéressant sur sa technique marketing et le passe

    • Hugues Cazenave : En quête d’opinions
      Hugues Cazenave, président de l’institut Opinion-Way, présente les avantages des études de marché en ligne et défend leur fiabilité.

      Vous avez créé il y a maintenant quelques semaines, avec les instituts Novatris et Axance, un club consacré aux études en ligne. Quels sont vos objectifs ?

      Hugues Cazenave. Notre ambition est double. Nous voulons tout d’abord faire ce qu’on appelle du « research on research », c’est-à-dire de la recherche méthodologique. Nous entendons nous réunir tous les mois et échanger des informations techniques afin d’améliorer la fiabilité de nos études. Nous planchons actuellement sur un premier sujet : l’ergonomie des questionnaires. Notre second objectif est pédagogique. Il s’agit pour nous de bien faire la différence entre les études professionnelles qui sont réalisées par des instituts et les études produites par des sites Internet sans aucun souci de représentativité. Quels sont, selon vous, les avantages que peut apporter l’utilisation d’Internet en ce qui concerne le domaine des études ? H.C. Il permet d’aller plus vite, car les internautes sont très réactifs. La moitié de la population qui est interrogée en ligne répond dans les quarante-huit heures. De plus, il n’y a pas d’enquêteurs sur Internet. Il est donc tout à fait possible d’interroger plusieurs milliers de personnes en même temps et d’accroître sensiblement la taille d’un échantillon sans avoir aucune incidence sur le budget. C’est là un deuxième avantage des études en ligne : elles sont plus rentables.

      Mais, ne sont-elles pas aussi moins fiables ?

      H.C. Au contraire ! Prenez les enquêtes réalisées par téléphone. Le taux d’acceptation de ces études, y compris sur panel (auprès de personnes recrutées en échange d’une récompense), a tendance à baisser. D’où une diminution de la taille des échantillons. À l’inverse, Internet séduit par sa nouveauté et ses aspects ludiques. Il bénéficie de forts taux d’acceptation. Quant aux enquêtes en face-à-face, pour tester une publicité par exemple, elles ne permettent pas d’envoyer des enquêteurs à travers toute la France. Le Web offre une meilleure dispersion géographique, donc une meilleure qualité.

      La plupart des internautes sont néanmoins des jeunes gens qui vivent à Paris...

      H.C. C’est vrai, mais il y en a aussi à la campagne ! Pour compenser la prédominance de surfeurs urbains, il suffit de recruter plus de ruraux. L’essentiel est de bien identifier la cible qui correspond au besoin du client et de sur-représenter certaines populations pour parvenir à un échantillon représentatif à l’intérieur du panel. Une grande majorité de problématiques d’études peut ainsi être traitée par Internet. Même s’il est impossible d’interroger des non-internautes sur leurs intentions de se connecter, par exemple.

      Comment s’intègre Internet au sein des outils d’études ?

      H.C. C’est un outil supplémentaire au service du mix méthodologique. Il peut être intéressant de mener une enquête qualitative exploratoire off line, c’est-à-dire de réunir des « focus groupes » de consommateurs autour d’un produit pendant plusieurs heures, avant de lancer une étude on line. Internet est sans doute plus indiqué pour des études quantitatives.

      Les internautes sont-ils rémunérés pour participer aux enquêtes ?

      H.C. En général, oui. Les Français savent que leur avis a une valeur. Proposer un incentive (ces cadeaux, promotions, points de fidélités que nous offrons aux gens en échange de leur participation à nos enquêtes) est devenu incontournable. Mais il convient de suivre quelques règles : choisir l’incentive qui correspond à sa cible (une bouteille de vin séduira plus les hommes que les femmes), savoir le doser en valeur (un cadeau trop cher attirera un certain type de population), etc. De manière générale, la pratique de l’incentive devrait se généraliser, quel que soit le type d’étude. C’est la seule façon de lutter contre la baisse tendancielle des taux d’acceptation des enquêtes sur échantillon.

      Les résultats ne risquent-ils pas du coup d’être un peu faussés ?

      H.C. Soyons clairs : il n’y a pas d’étude parfaitement neutre. Mais ne nous y trompons pas : ceux qui acceptent de répondre sans incentive ont également un profil un peu marqué : ils sont généralement âgés ou à la retraite, etc.

      Catherine Gaudenz

      L’ÉCOLE IPSOS

      Ils sont trois, tous anciens d’Ipsos, à avoir créé au début de l’année 2000 Opinion-Way, un institut spécialisé dans les études en ligne.

      Hugues Cazenave et Yann Aledo étaient respectivement directeur général adjoint et responsable des études corporate internationales d’Ipsos Opinion.

      Benjamin Gratton avait en charge, lui, le développement d’Ipsos Access Panel. Leur ambition est d’utiliser les nouvelles techniques de recueil de données pour les mettre au service des études.

      Lire aussi sur “ hugues cazenave ” dans le site Stratégies
      > Etudes d’opinion
      date : 19/04/2007
      > Les marques alimentaires condamnées à se défendre
      date : 26/10/2006
      > FFL va secouer Orangina
      date : 05/07/2007
      > Études
      date : 14/04/2005
      > L’ambition européenne de la Société générale
      date : 24/05/2007


      s’il utilise les mêmes fichiers .... (ndlr)

    • je vous engage à consulter le site de l’association de enquêteurs-vacataires contractuels AVEC http://www.asso-vac.org,vous appréhenderez mieux le contexte dans lequel les études d’opinions ou de conso sont réalisées et l’exploitation par les sociétés d’études de leurs personnels.Peut être apprendrez vous que les sondages ne sont que des instruments de coercition des consciences ? et que leur fiabilité est à démontrer.

    • merci .... On avance ....
      un morceau d’un papier de Bakchich à lire (c’est sur le web) qui nous explique encore le syst :
      "Sous la houlette de Nicolas Beytout, un héritier qui a toujours pris soin de ne jamais fâcher les puissants (ceux qui ont travaillé aux Échos sous ses ordres peuvent témoigner de sa déférence face aux patrons), Le Figaro a trouvé depuis quelques mois l’arme fatale pour contrer les adversaires du régime sarkozyste : OpinionWay. Cet institut de sondage parvient toujours à publier des « enquêtes » donnant les résultats qu’il faut pour plaire à notre Guide bien-aimé de l’Élysée. Sa dernière œuvre est admirable : La convocation d’un magistrat n’est pas choquante pour 63% des sondés contre 29 % qui pensent le contraire. 84 % des personnes interrogées approuvent l’instauration des peines planchers. Preuve que c’est un sondage sérieux, 51% estiment que les magistrats doivent pouvoir faire des commentaires sur la loi.

      Ce qui permet au Figaro de titrer : « Soutien massif des Français à l’action de Dati ». Évidemment, les esprits chagrins y voient une manipulation pour sauver une protégée de l’Élysée bien mal en point. Ceux-là n’ont rien compris. En tout petits caractères, on peut lire au bas du tableau que l’échantillon de 1 050 individus a été interrogé en ligne sur système Cawl (Computer Assisted Web Interview). Et la notice a été adressée à la Commission des sondages. Avec OpinionWay, Nicolas Beytout, qui passait jusqu’à récemment une partie de ses vacances d’été avec Sarko, sait comment plaire à l’Élysée. Cela lui sera utile quand il faudra trouver un travail car son patron Serge Dassault l’a en ligne de mire depuis un moment parce qu’il l’empêche d’écrire dans son propre journal. Papy n’a rien compris. C’est parce que l’élégant Nicolas Beytout est indépendant.