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pour compléter le sombre parcours de Balkany (Vidéo)

Publie le samedi 9 février 2008 par Open-Publishing
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En 1997, sa maitresse l’accuse publiquement de l’avoir forcée à pratiquer une fellation sous la menace d’un 357 magnum puis retire sa plainte. Il se sépare temporairement de sa femme, vend son appartement et va vivre deux ans à Saint-Martin[1].

En novembre 2005, il se fait piéger par Karl Zéro et les Yes Men pensant donner une interview à une chaîne américaine. Il affirme alors qu’il n’y a pas de misère en France et que les pauvres vivent très bien [2]. Cet entretien n’a toutefois jamais été diffusé dans son intégralité à la télévision, mais est par contre disponible en partie sur dailymotion [3].

En mai 1996, Patrick Balkany a été condamné (décision confirmée en appel le 30 janvier 1997) par la 9e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre, à quinze mois de prison avec sursis, 200 000 francs d’amende et deux ans d’inéligibilité. Il avait rémunéré aux frais du contribuable levalloisien trois personnes désignées comme des employés municipaux mais qui ne s’occupaient que de son appartement de Levallois-Perret et de sa résidence secondaire près de Giverny[réf. nécessaire].

Le 28 juillet 1999, la Chambre régionale des comptes d’Ile-de-France a condamné Patrick Balkany pour avoir employé, pendant plusieurs années, trois agents municipaux de Levallois à son usage personnel. Au terme de
ce jugement, le maire a été contraint de rembourser à la ville le montant des salaires : 523 897,96 euros. Son épouse Isabelle (avec qui il est alors en instance de divorce) -qui est vice-présidente du conseil général des Hauts-de-Seine et conseillère municipale à Levallois-Perret- a été condamnée à la même peine d’emprisonnement pour « prise illégale d’intérêts[6] ».

Ayant interjeté l’appel devant le Conseil d’État qui a confirmé le jugement de la Chambre, le 27 juillet 2005, Patrick Balkany a étalé le remboursement des salaires à la ville de 2000 à 2006.

Patrick Balkany est aussi redevable à la municipalité de Levallois des intérêts que les juges ont fait courir à compter du 31 mai 1995, date du licenciement par le maire des agents communaux, soit un montant de 230 865,57 euros. En février 2007, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Thierry Breton, a été saisi par Patrick Balkany d’une demande de remise gracieuse de cette dette. Le 12 février 2007, le conseil municipal de Levallois (à majorité UMP) a donné son accord préalable à la requête de Patrick Balkany.

L’ensemble de la somme détournée des comptes publics par les Balkany s’élève à environ 1 000 000 euros et selon le journal L’Humanité « 5 millions de francs, si on compte la période (1983-1992) couverte par la prescription… Une goutte d’eau, on l’avouera, dans l’ardoise laissée aux contribuables par l’ancien « gestionnaire » qui voulait rendre sa commune aussi « attirante » que Neuilly : l’endettement a été évalué à 213 millions d’euros par les audits réalisés depuis les dernières municipales, 30 000 euros par foyer fiscal[7]. »

La Cour d’Appel de Versailles a rendu son verdict le 31 mars 2004 dans le procès qui oppose Annie Mandois, Conseillère municipale communiste, à Patrick Balkany, Député-Maire de Levallois. Celle-ci a confirmé et amplifié le jugement rendu par le Tribunal de Nanterre le 2 septembre 2003.

Patrick Balkany est donc reconnu « coupable de délit de diffamation » pour avoir accusé, lors d’un Conseil municipal, Annie Mandois d’avoir utilisé des fonds publics dans l’intérêt d’un parti politique ou pour son intérêt personnel. Il est aussi condamné pour “ injure publique ” envers Annie Mandois, chargée d’un mandat public. Enfin, la Cour d’Appel de Versailles a retenu la condamnation de P. Balkany rendu coupable de « diffamation » à l’encontre d’une personne chargée d’un service public pour avoir accusé Annie Mandois

« d’avoir endoctriné des enfants » lorsqu’elle était enseignante.

M. Balkany est en outre condamné à une peine d’amende de 1500 euros, à verser 1500 euros à Mme Mandois de dommages et intérêts plus 1000 euros pour préjudice moral. Il lui est également ordonné d’insérer dans le quotidien Le Parisien des Hauts-de-Seine, le communiqué faisant état de cette condamnation.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Patric...

lolita

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