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"risque majeur de crise sociale" cf parisot
Publie le vendredi 30 janvier 2009 par Open-Publishing4 commentaires
Si Parisot le dit….
Frédéric Lelièvre, le temps
A Davos, Laurence Parisot, présdente du patronat français, souligne « le risque majeur de crise sociale »
« C’était le bordel. Je venais avec mon petit avion, mais le Bourget était fermé. Je ne suis arrivé que cet après-midi. » A Davos, un patron français se plaignait des grèves. Tout comme Laurence Parisot, la présidente du Medef, la grande organisation patronale française. « C’est un jour horrible en France », a-t-elle déclaré dans un des rares débats du WEF consacrés à l’emploi.
« Après la crise financière s’est produite une crise économique. Maintenant, il existe un risque majeur de crise sociale. Nous devons bien l’avoir en tête alors que nous cherchons les solutions pour relancer l’économie », a averti Laurence Parisot. Avant de déplorer l’existence d’un « sentiment de vengeance » à l’égard des patrons, qui vient « des politiques et parfois des syndicats ».
(…)
Messages
1. risque majeur de crise sociale » cf parisot, 30 janvier 2009, 14:09, par momo11
Ce n’est pas un sentiment de vengeance,mais une furieuse envie de se débarrasser de vos personnes par tous les moyens.momo11
1. risque majeur de crise sociale » cf parisot, 30 janvier 2009, 18:46, par St LAURENT
___Vé momo , y paraît qu’ils sont tous réunis à Davos à ç’t’heure ....______________________ ça fait rêver nan ?
2. "risque majeur de crise sociale" cf parisot, 30 janvier 2009, 14:56
Bien sûr Mme Parisot ! Pourquoi pas !!!
’’C’est pas moi c’est l’autre’’ !!!!!!
Le Medef et les abonnés du cac40 sont ceux qui font la politique puisque c’est eux qui sont les actionnaires des banques, ces mêmes banques qui ’’prêtent ’’ à l’Etat pour qu’il fonctionne...des sommes qui varient suivant... ’’la manière dont sont suivis leurs conseils et les actions menées’’...
Vous me suivez ?
Les syndicats ne sont certes pas blancs comme neige mais quant à les accuser de ’’se venger’’...de n’avoir pas assez de fric du patronnat pour faire fonctionner leur guitoune ??? Peut-être !...
Allons donc ! De qui se moque-t-on ? Je n’ai jamais vu quiconque cracher dans la soupe de celui qui le nourrit !!!
3. "risque majeur de crise sociale" cf parisot, 30 janvier 2009, 15:16
Elle n’est pas gonflée celle-là de parler ainsi !?
Je me souviens qu’un certain Jospin au début des années 2000 disait que le politique ne pouvait pas grand chose dans les choix économiques, que c’était la grande finance qui commandait. J’étais scandalisée à l’époque de voir le politique à la remorque de la finance, mais en même temps il devait y avoir dessous des tractations, du chantage parce que l’époque était plus florissante qu’aujourd’hui. Le jeune trader Kerviel est en fait le détonateur de toute la puanteur financière qui s’était amassée en un vaste abscès pendant ces dernières années, jusqu’à exploser à la "gueule" de tout le monde, révélant le degré de pourriture avancée du capitalisme sauvage.
Pour en revenir au sujet, quelle traitresse cette Parisot. C’est trop facile de rejeter la faute sur les syndicats qui ne sont que l’émanation des salariés, qui ne peuvent pas être responsables de cette crise étant donné qu’ils sont les "vaches à lait" du capitalisme. Quant aux politiques, eh bien en regardant comment fonctionne Sarko et ses laquais, là j’avoue qu’il y a collusion avec le médef qui est une des composantes de la grande finance.
Elle devra rendre des comptes le moment venu.
Vu l’ampleur des dégâts sur fond de manipulations et de mensonges, il y a fort à parier que cette crise sociale qui enfle au fur et à mesure des jours qui passent, donne naissance à une révolution qui assassine le capitalisme tel qu’il est pour entrer dans une ère nouvelle, prospère cette fois pour ceux qui se lèvent tôt pour "gratter la couenne des cochons".
Ce qui est important aujourd’hui c’est de refuser de se laisser "traire comme une vache à lait". Il est temps de se partager le pouvoir, en France et partout ailleurs pour avancer vers une autre société solidaire et intelligente.