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La crise capitaliste en son point culminant ?

par joclaude

Publie le mercredi 3 février 2021 par joclaude - Open-Publishing
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La crise économique capitaliste entamée déjà depuis quelques années ne fait que s’aggraver avec la pandémie qui bien sûr précipite les événements sociaux. Cette crise contrairement à celles du passé historique se fait sans allures guerrières même si l’Elysée déclare qu’on est en guerre ne serait-ce que par les conséquences sanitaires mortelles ! D’ailleurs le monarque ainsi laisse transparaître son inquiétude de ces événements qui font ressortir dans l’opinion entre autre les insuffisances de dispositifs dans la gestion de l’Humanitaire ! A cette déclaration il ne fera aucune mobilisation générale ? Car même s’il n’a pas lu MARX il a dû apprendre quand même dans ses études élitistes les conséquences dramatiques des crises capitalistes précédentes ! D’ailleurs MARX voit bien se dessiner à travers ses écrits sur la Commune de Paris la violence anti-sociale et criminelle qu’il décrit comme un cataclysme que génère le régime capitaliste pour coûte que coûte sauver ses privilèges ou périr ! Sauf que la peur peut aussi changer de camp comme au fil des décennies éclatent des Révolutions victorieuses ! Je me demande si je ne suis pas en train d’y perdre mon latin sur le devenir de la crise maintenant s’aggravant ? Il m’apparaît dans les hautes sphères gouvernementales qu’une certaine inquiétude doit y régner par trop d’hésitations Et est-ce que la médiatique officielle suffira encore longtemps à retarder une crédibilité qui s’envole ? Les montées au créneau agacées du monarque au terme de la législature qui lui reste prennent plutôt des allures de “sauve qui peut “ ! Comme quelqu’un a pu dire : on ne peut pas se fouetter soi même !

Messages

  • Complètement d’accord avec cette analyse mais je crois que le rôle des larbins du capitalisme, que sont les politiques et d’autres -on voit que les dirigeants syndicaux mériteraient bien d’être semblablement qualifiés- ne doit pas être surévalué : le peuple le pressent quand on voit l’énorme abstention aux élections . Ces social-traitres -politiciens et dirigeants syndicaux- ne peuvent rien contre le déterminisme social implacable qui détermine l’histoire, et les décisions qu’ils prennent n’ont rien de contingent : elles visent à perpétuer le pouvoir d’une classe qui voit son avenir se ternir et celui des travailleuses et des travailleurs s’éclairer : vive la révolution communiste , vive le prolétariat.