Accueil > SOIGNE TA GAUCHE : Ministère de la démagogie

SOIGNE TA GAUCHE : Ministère de la démagogie

Publie le lundi 19 mars 2007 par Open-Publishing
3 commentaires

de Genica Baczynski

Nicolas Sarkozy devrait se simplifier la tâche et constituer au plus vite un ministère de la démagogie. Il se croit intelligent, il n’a l’intelligence que de son ambition. Avec son projet d’un ministère de l’identité nationale et de l’immigration, il ne marche pas sur les brisées du Front national, il le précède et légitime une abjection. Même Bayrou, l’inventeur de l’eau tiède, s’en offusque.

Pour Nicolas Sarkozy comme pour Jean-Marie Le Pen, l’identité est une donnée qui ne souffrirait pas d’évolution. Elle constituerait une somme, une sorte de conservatoire de l’exclusion. C’est une façon comme une autre de se réfugier dans une enfance fossile et caricaturale à force d’idéalisation bêtasse. Il se dit républicain en associant la citoyenneté à la nationalité.

Il ignore l’histoire de France et, passant, l’histoire de la République qui, justement, à ses débuts ne confondaient pas les origines avec les droits. Marat qui siégeait à la Convention était Suisse, Anarchis Cloots, "le citoyen du monde", venait des Pays-Bas et Thomas Payne, député du Nord, était Anglo-américain. Tous représentaient le peuple et bénéficiaient de la citoyenneté française. La République ne leur avait pas demandé de se naturaliser pour la défendre. Il suffisait qu’ils "méritent de l’humanité".

C’est Thiers qui, après la Commune, a supprimé cette disposition. Il se défiait de l’Internationale ouvrière. Résultat ­­— contre lequel Victor Hugo s’est élevé —, Garibaldi, le sauveur de Dijon, a été écarté de l’Assemblée nationale.

Il y a quelque chose de pourri dans cette affaire de ministère de l’immigration et de l’identité nationale. Personne n’a demandé aux Résistants étrangers, provenant d’une soixantaine de pays, de renoncer à leur singularité avant de prendre les armes contre le fascisme et l’occupant nazi, quand Vichy avait instauré un Commissariat aux affaires juives. Et l’on ne les a même pas récompensés d’une citoyenne d’honneur, eux qui se sont voulus « Français de préférence », pour reprendre le vers d’Aragon, quand la France et la République étaient bradées par un gouvernement éminemment « national ». Nicolas Sarkozy parle de valeurs communes, héritées de l’histoire française. Il argumente son projet en prétendant disputer la nation à Jean-Marie Le Pen. Mais quelle nation ? Qui le lui demande et surtout qui lui demande d’institutionnaliser la discrimination ? Il se tourne vers le Canada pour justifier l’injustifiable. Encore faudrait-il qu’il nous explique en quoi consiste l’identité nationale canadienne. Il veut procéder à des examens de passage ? Faut-il y soumettre, à titre posthume, les héros de l’Affiche rouge, eux qui prononçaient le mot « liberté » avec des accents improbables, puis les recaler pour des fautes de syntaxes ? À force de considérer que Le Pen pose de bonnes questions auquel il apporte de mauvaises réponses, il serait plus judicieux de s’interroger sur la pertinence de ce qui ne ressemble en fin de compte qu’à une porcherie.

Messages

  • Ca ressemble à du déjà vu !

    Le Pen propose de s’inspirer d’un passé ayant laissé des traces indélébiles dans la mémoire de ceux qui n’étaient pas Arien. Sarkozy affirme sans détours qu’il veut faire une politique à la mode du gouvernement de Vichy : travail, famille, patrie.

    Ces deux hommes, qui de fait sont très proches, sont dangereux pour la liberté des peuples et la démocratie !

    Michel Mengneau.

  • Pour le bien des peuples, il faut soumettre certains candidats à la présidentielle à un contrôle anti-dopage.

    Quelques pistes s’imposant d’elles-même....

    Le Pen, voilà un cas intéressant. Pas le personnage en lui-même, loin de là. Intéressant pour les ethnologues surpris de voir un individu dont les origines porteraient à croire que ses goûts vont vers le cidre et le chouchen et qui, pour se démarquer de ses habitudes ancestrales, s’adonne sans retenu à la bière bavaroise. Vous me direz : on ne voit pas pourquoi il y aurait de quoi s’alarmer ! Car il faut bien le reconnaître, la bière bavaroise n’est pas plus mauvaise qu’une autre, même souvent excellente. Effectivement, on ne se serait pas inquiété s’il n’y avait pas eut des débordements dû à l’absorption massive de cette boisson.
    L’exemple le plus frappant fut celui de la dernière nuit de juin 1934, pendant laquelle une bande de joyeux drilles, après avoir écumé les bars de Munich où ils éclusèrent maintes pintes de bière, finirent la soirée en se battant à l’arme blanche, avec des couteaux de cuisine de tailles imposantes paraît-il. Il étaient entre amis, certes. Mais demandez à Mégret s’il souhaite que les petites sauteries du FN se terminassent de cette façon. En l’occurrence il s’agit bien là d’un effet dévastateur d’une boisson courante. Mais pour être plus précis, il faut relater le fait que le mélange avec une autre substance y était pour beaucoup. Ils avaient pris du mein kampf. Produit nocif par excellence, avec la particularité d’être, entre autres, un puissant abrasif de l’épiderme. Dont l’une des principales actions est de faire disparaître la pigmentation chez des individus naturellement basanés, voire encore plus foncés. Cependant, ils y a des sujets rébarbatifs à vouloir changer de peau, ne supportant pas le produit ils subissent de fortes bouffées de chaleur, ils ont alors l’impression d’être à l’intérieur d’un four ; incandescence non voulue et quasiment irréversible pour le malheureux qui la subit.

    N’y allons pas par quatre chemins, comme Le Pen use lui aussi de cet sorte d’ersatz nauséabond, aucune raison valable ne s’oppose à ce qu’il soit sanctionné.

    Sarkozy, cet homme est fatigué ! Les cernes sous les yeux, le creusement des rides, des propos indécents et des rictus incontrôlés sont les témoins de la mauvaise santé du personnage. On a longtemps pensé à un abus de céciliate. Mais ce médicament sous forme de pilule douce amère est trop inconstant pour être totalement incriminé. Non, le regard parfois terne, suivie de période où l’on constate que c’est celui d’un halluciné, laissent à croire qu’il prendrait plutôt des drogues plus fortes et de façon plus régulière que la céciliate. Nous n’irons pas jusqu’à prétendre qu’il s’approvisionne en produits auprès du cartel de Medellin, se serait probablement exagéré. Quoique, dans le monde qui est le sien, la séparation avec des milieux peu recommandables, mais aux chiffres d’affaire non négligeables, n’est pas toujours très bien définie. Nous ne citerons que les banques, dans lesquelles circulent de l’argent blanchi, mais pas propre pour autant.

    Ayant plus ou moins écarté cette hypothèse, c’est en feuilletant un dictionnaire des champignons que nous est venu la réponse sur les causes de l’état déliquescent du personnage.

    Cela vient d’une pratique peu commune utilisée par ses lointains ancêtres pour s’envoyer en l’air. Dans des temps reculés, les peuplades d’Europe centrale faisaient sécher un champignon bien déterminé, puis une fois le séchage terminé ils en mâchaient des petits fragments qui les transportaient dans un monde hallucinatoire. Nous avons omis volontairement de précisé le nom de ce champignon hallucinogène de peur que des inconscients, des faibles d’esprits, accros des paroles, des façons de faire démagogiques du fac-similé de Napoléon veuillent sans discernement suivre son exemple. Nous rajouterons, pour les dissuader totalement, que ce champignon dans un premier temps donne mal à la tète, puis rend à moitié fou, et si on a le malheur de l’avaler c’est l’issue fatale en perspective.
    Non content de faire des rêves d’hallucinés par des moyens qui peuvent paraître à certains naturels, il se shoote définitivement en complétant avec un machin conseillé par son frère : de la médef, pure et dure de surcroît. On connaît bien les propriétés de ce produit, allant de paire avec la méthode utilisé précédemment il favorise la folie des grandeurs, exacerbe le goût du gain, tout cela en supprimant radicalement chez l’individu un quelconque respect du bien-être social. Moralité, y-a vraiment pas de quoi être rassuré !!

    Bon, l’aperçu sur les méthodes employées par le maire de Neuilly est suffisamment éloquent, en rajouter nous saperait encore plus le moral, pour le bien du peuple il est impératif de sanctionner ce quidam.

    Michel Mengneau

  • 70000 mariage forcée en frnace, ce chiffre utilisée par le ministére de l’interieur est la plus grosse suopercheire statistique que des politiques ont pu faire gober aux citoyens francais....Sur le lien quie je vais vous communiquez on affirme aprés des calculs(un peu plus seurieux et mlogique) qu’en france existe 70 000 jeune femmes francaise d’origine etrangére...On suppose donc que toute ces filles sont suceptible d’etre la cible de marieur francais..Ce chiffre est dans le discours ambiant de de villiers à sarkozy, il alimente cette vision que face a la défaite des politiques francaises, on commence à eth neciser la question social, pour ne pas justement q’attaquer a cette cause sociale....Il n’ya pas plus de mariage forcé en france, mais l’acte est indigne et nous devons combattre jusqu’a son irradication, mais en utilisant ces maniéres on stigmatise plus que l’on repond, l’islam devient donc l’etandard de l’ignorance, le dangereux guerrier de la republique, tout en oublinat qu’ils ont fait la republique et qu’ils ont echoué, ces politiques du vide l’on denaturé, francais voter mais d’abord penser

    http://penombre.assoc.free.fr/public/44/14.htm