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Le ralliement de personnalités de gauche au sarkoton

Publie le vendredi 18 mai 2007 par Open-Publishing
19 commentaires

de Copas

J’entends, ici et là, bien des reproches aux Kouchner, Allegre, Besson, etc, qui "trahiraient" la gauche en allant à la soupe d’un gouvernement Fillon.

Mais enfin, que reproche-t-on ?

Le chemin ayant déjà été fait dans les pratiques, ce qu’on reproche en somme c’est de l’exprimer politiquement ? Sous forme d’une combinaison gouvernementale ?

Les politiques de droite de la gauche, quand elle était aux affaires, ont eu un prolongement : Rafarin, puis Villepin et maintenant Sarko.... Il y a là une logique ordinaire des choses.

Il y a longtemps qu’une grande partie des dirigeants de gauche sont pour le libéralisme versant jungle, pour une politique cruelle et impérialiste au Moyen Orient (les positions saugrenues de Royal sur l’Iran), contre la démocratie en Europe en ayant soutenu un projet de constitution foulant aux pieds 200 ans de batailles pour avoir des régimes + démocratiques,....

Il est logique que certains accordent leurs penchants concrets et doctrinaux avec leurs actes politico-gouvernementaux : En se nommant de droite, pro-capitalistes et sarkoziens.

Le grave ce n’est pas que des ralliés venant de gauche aillent à la soupe sarkofage, ce qui est grave est en amont, bien en amont, dans le soutien à des orientations massivement anti-démocratiques, anti-sociales, ultra-libérales, etc.

Le ralliement à sarko n’étant que la petite framboise qu’on met au sommet d’un très gros gateau au chocolat....

C’était la chronique d’au nom de la gauche.....

Messages

  • Avec le Ralliement de Kouchner, La "modernité" social libérale est définitivement de droite.
    N’oublions pas que cet homo politicus gamellus traduire cet homme politique qui va à la gamelle faisait parti de l’équipe désir d’avenir de Mme Royal et à ce titre qu’ils étaient sur la même longueur d’onde idéologique.

    Quelles conséquences,

    Idéologiquement la pensée des Straus Kahn et autres Segolènes est définitivement une impasse ou plutot une passerelle vers la Droite. On le savait, mais là, Kouchner nous en donne la preuve irré-futable !!!

    Par conséquent, il existe réellement un boulevard (au moins une avenue) politique et idéologique à la gauche du ps, et que si la gauche antilibérale ne sait pas s’allier comme elle en fait la preuve dernièrement et bien ce sera un gachi impardonnable. Voyez nos amis allemands du Die Linke, qui on mis leurs divergences de côté pour s’allier entre communistes, socialistes et autres partisans d’une vraie ligne de gauche.

    Léonnard

    • Tout cela est bien vrai il suffit d’en revenir aux fondamentaux : Le socialisme est un ensemble de courants, dont les premiers sont apparus au cours du XIXe siècle. Ils combattent l’individualisme ; défendent les notions d’égalité, d’égalitarisme et de solidarité. Il s’agit selon ses tenants de procéder à « l’abolition du gouvernement politique des hommes par d’autres hommes » et de « passer à une administration des choses par les hommes eux mêmes ». Le socialisme est ainsi un projet à la fois économique (collectivisme économique, autogestion, économie mixte), social (égalité), et politique (démocratie).

      La sociale-démocratie : En réduisant son opposition à l’idéologie communiste à un désaccord sur la question de la révolution comme principe d’action, la social-démocratie choisit une conquête du pouvoir par l’élection et en respectant les principes de la démocratie représentative.

      Elle triomphe au cours de la seconde moitié du XXe siècle, période pendant laquelle tous les pays d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord adoptent, à des rythmes divers, des réformes social-démocrates aboutissant à l’État-providence.

      Certaines mesures de contrôle des marchés et des capitaux sont relâchées à partir des années 1980, sous l’impulsion de partis de droite tels que les conservateurs britanniques ou canadiens et les républicains américains. En Europe, ce courant est qualifié de « néolibéral » par les anticapitalistes, les altermondalistes, et certains sociaux-démocrates.

      L’effondrement du bloc communiste à partir de 1989, l’accélération de la mondialisation économique, et les succès électoraux des conservateurs dans plusieurs pays conduisent à une remise en question de certains principes sociaux-démocrates. Ils reprennent ainsi des éléments politiques du centre, voire de la droite, comme l’acceptation des privatisations industrielles ou de la mondialisation. Cette stratégie, parfois appelée « troisième voie » ou « social-libéralisme », permet aux travaillistes britanniques (menés par Tony Blair) de retrouver durablement le pouvoir en 1997, après quinze ans d’opposition. On en retrouve des éléments aux États-Unis (Bill Clinton, tombeur de George Bush) ou en Allemagne (Gerhard Schröder, tombeur d’Helmut Kohl).

      Le libéralisme est une doctrine politique et économique née dans l’Europe des Lumières aux XVIIe et XVIIIe siècles, qui repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits naturels sur lesquels aucun pouvoir ne peut empiéter, qui sont la liberté, et le plus souvent le droit à la propriété. En conséquence, les libéraux veulent limiter les prérogatives de l’État et des autres formes de pouvoir, quels qu’en soient la forme et le mode de désignation.

      Au sens large, le libéralisme prône l’établissement d’une société caractérisée par la liberté de penser des individus, le règne du Droit naturel, le libre échange des idées, l’économie de marché et son corollaire l’initiative privée, et un système transparent de gouvernement dans lequel les droits des minorités sont garantis.

      A partir de là, il est évident de faire le constat que le social-libéralisme (?) va du PS à l’UMP ce qui est la réalité vraie du fond idéologique de toutes ces boutiques, et que par suite les néo-marxistes et autres alternatifs authentiques rassemblent moins de 10% du corps électoral dispersés dans de petits groupes hétérogènes. C’est vrai qu’il est aussi ridicule (mais bien pratique pour tous les petits soldats) d’appeler "socialiste" B. Kouchner que libéral Sarkozy (dans la pratique) dans la mesure ou les seuls résultats connus (bien que discutés) de ce dernier sont le fait d’une politique basée sur la répression étatique (Les radars sur les routes ...). En gros on appelle socialiste des gens qui ne le sont pas fondamentalement et libéraux des gens qui ne le sont pas non plus si on veut bien se référer l’exacte définition de ces courants philosophiques.

    • attention les socialistes ALLEMANDS - cad qu´ils sont pour le socialisme , n´a rien a voir avec le ps (france ou allemagne) = sociaux -democrates , en francais ces socialistes sont des gens qui correspondent a une partie "droite pc" ou a des mrg ( a peu pres pour vous faire une idee), par contre avec la nouvelle gauche nous acceptons des gens du ps de gauche ( s´ils partent du ps )s´ils viennent chez nous, nous sommes en train de rassembler ce qui est au moins ANTILIBERAL , salut j f dieux encarte die linke (direction anarchie) stuttgart

  • C’est l’Archiduc "OTTO de HABSBOURG", Député Européen

    qui a crée la "Société SAINT-SIMON" destinée à convertir des

    élephant du P.S. à la pensée unique

    dont SEGOLENE.

    Dissoute vers 1999,

    cette société a été remplacée par "LE SIECLE"

    Michèle

    • Tout à fait d’acord !

      Que ça serve de leçon aux coco et autres gens de gauches qui trouvaient :

      _"sympathique" le Droit d’Ingérence : Kouchner, après avoir été pro guerre en Irak, devient pro Sarko.

      _"naturel" de fricotter avec les curés charitables : Martin Hirsch d’Emaus s’engage pour le président le plus anti-social qu’on est jamais eu. Boutin elle on moins a tjrs joué franc-jeu.

      _"séduisante" la construction européenne, qui serait amendable pour la rendre sociale : Jean-Pierre Jouyet après avoir conseillé Mitterrand pour nous enfumer avec des considérations infantilisantes sur la paix et l’amitié entre les peuples, va mettre en oeuvre la cristallisation des dogmes libéraux dans un nouveau traité.

      Léo

    • Ce mec c’etait déjà plus rien, maintenant c’est son faire part qu’il vient de signer ! Okrent couche avec un mort vivant , horrible !

      Brando

    • _"séduisante" la construction européenne, qui serait amendable pour la rendre sociale : Jean-Pierre Jouyet après avoir conseillé Mitterrand pour nous enfumer avec des considérations infantilisantes sur la paix (...)

      Les libéraux authentiques sont contre le traité qui est un constructivisme à grande échelle. Plus un pays est libéral avec une économie qui tourne, moins il est pressé de rallier le traité (Irlande, Angleterre, la SUisse se fout de l’Europe etc ...). La France par contre est dépendante de la contruction Européenne comme toutes les démocratie-sociales. C’est évident.

  • Entre cette gauche caviar et une droite avec repris de justice c’est vraiment le changement !!!!!!momo11

  • Kouchner, Homme de gauche !! ???, Quelle bonne blague.

    Il n’y a pas de trahison, puisque les gens du PS sont des gens de droite, donc ils sont bien à leur place, ils sont bien chez eux.

    Le vrai problème c’est comment rompre l’alliance entre la vrai gauche, la gauche du combat et de la résistance avec ce PS qui est en fin de compte un parti de droite. La vrai gauche va continuer à nous dire de voter pour le moins mal ???. Ils sont tous de la même famille (Droite et PS), ils mangent ensemble, sortent des mêmes écoles, se marient entre eux, se lègues les biens entre eux.

    Au lieu de discuter si Kouchner a trahit ou pas, discutons comment construire une gauche de rupture et de combat.

    • Un peu caricaturale la remarque ...tous les militants ou sympathisants PS ne sont pas des gens de droite ...

      Il ne faut pas les oublier car sinon la Gauche pourra se résumer à moins de 10%de l’électorat Français et là, on risque pas d’aller bien loin........

      Le Kouchner a rallié la droite , il n’est plus et n’a d’ailleurs js été un homme de gauche , voilà tout !

      Marjo

  • LES RADIS DU PARTI SOCIALISTE...

    La particularité du radis, par ailleurs excellent légume à la particularité, chacun le sait, d’être rose à l’extérieur et blanc dedans....et d’être un légume !

    Or le Parti Socialiste a toujours compté dans son jardin de tels légumes prompts à oter leur costume rose pour leur tissu blanc, outre le fait qu’ils ont souvent servi de passerelle à de funestes - pour la classe ouvrière - ralliements.

    A ce propos "L’histoire du réformisme" en 2 tomes parue aux Editions Sociales en 1976 ainsi que "La rosenclature" paru en 1990 aux éditions Messidor/Editions Sociales que j’encourage à lire illustrent le cheminement du PS et les "accidents de parcours" politiques de certains de ses membres et non des moindres. Quand ce n’est pas le PS in fine qui partage le pouvoir avec le MRP de Lecanuet "père spirituel" de Bayrou, puis De Gaulle.

    Dès 1945 (le 24 Octobre) Léon Blum écrit "Le MRP a rallié la plus grande partie des troupes de la vieille droite" auquel il donne un brevet de laïcisme ! Déjà le PS prone à cette époque le tripartisme pour refuser l’union de la gauche, marginaliser le PCF et ne pas affronter la droite, errement qu’il payera cher !

    De 1947 à 1951 le gouvernement est composé de socialistes, radicaux et MRP.

    Puis c’est l’expérience du Front Républicain en 1954 (détournement du Front Populaire) avec les "démocrates libéraux" et les "démocrates conservateurs" donc hors des communistes, sous la direction de Guy Mollet alors secrétaire de la SFIO. Puis en 1956 le gouvernement Gaillard pour "le motif de défense républicaine". Enfin l’approbation de la constitutionn gaullienne.

    DE 1958 à 1962 il participe puis soutien la politique du Général de Gaulle.Dès que les nouvelles institutions sont en place le PS peut se retirer du pouvoir une fois leur assise assurée.Guy Mollet déclare à cet effet : " Ma conduite a été dictée par des considérations tactiques (...)entre le péril d’une dictature (...) et le péril d’un mouvement populaire (...)au bénéfice du communisme" Le 51e Congrès PS reconnait en 1959 :"Nous nous sommes prétés à trop de compromissions depuis la Libération. Nous allons de concessions en compromissions." Comme quoi l’attitude du PS n’est pas nouvelle !

    Donc le ralliement à Sarkozy de membres du PS n’est pas fortuit mais relève d’une logique propre au réformisme, à la social-démocratie. La nouveauté c’est que la droite est à l’origine de la satisfaction de cet appetit et permet de jeter les bases d’une recomposition déjà entamée par le PS par son glissement social-libéral et illustrée par l’inversion du calendrier électoral voulu par Jospin.

    Mais peut-être le vil peuple risque de jeter du sable dans ce rouage, d’ou le positionnement prudent du PS avant le législatives.

    Jacques Gleises

  • copas ce n’est pas un ralliement de gens de gauche mais des gens du ps ce qui fait une grosse difference, désolé !
    e

    • Jean-David Levitte, l’ancien ambassadeur de France à Washington nommé conseiller diplomatique et "sherpa" de Nicolas Sarkozy sera le vrai ministre ! Kouchner est un guignol pour amuser les gogos, tous les politiques connaissent bien le personnage !
      henri

    • Mon propos était celui-là (je me suis probablement mal exprimé) :

      * Une grande partie de ce qui s’appelle la gauche a des positions pro-capitalistes, ultra-libérales, et surtout des pratiques en concordance avec ces positions.

      Il n’y a donc pas de ralliements de gauche à droite quand on devient ministre de Sarko, mais un choix entre écuries capitalistes, entre Clinton et Bush pour s’exprimer d’une façon imagée. Bien sûr ce sont des écuries qui n’ont pas exactement les mêmes politiques mais elles poursuivent assidument le même but (comme on l’a vu lors du référendum, et lors des gouvernements de "gauche" et de "droite").

      Je n’ai donc pas grand chose à reprocher à Kouchner, à part ce que je peux exprimer quand je pense à Chirac, DSK, Sarko, Fillon, Bayrou, etc.... Il est logique avec son évolution. Mais comme pour beaucoup d’hommes venus de combats honorables, "on" a tendance a les regarder avec des lunettes du passé et ils ne sont plus là où beaucoup de gens croient qu’ils sont.

      Pour ce qui est de ce qui a été dit ici sur la social-démocratie :
      Pour moi il n’y a presque plus de socio-démocrates et ceux qui s’en prétendent n’ont absolument rien de ce qui a fait la social-démocratie du passé :

      - Ils n’ont plus que des liens essentiellement électoraux avec les travailleurs (voir la composition sociologique du PS et le type de liens entretenus avec ceux-ci).

      - Ils ne sont plus sociaux : Choix de l’ultra-liberalisme (ils sont à droite du gouvernement américain de l’immédiat avant-guerre.

      - Ils ne sont plus pour un changement de sociétés (même par des réformes).

      - Ils ne sont même plus démocrates en ayant soutenu un projet de constitution piétinant 200 ans de combats pour le bel idéal de la démocratie (règles d’emblée pro-bourgeoises, inchangeables au concret, non séparations des pouvoirs, insuffisances graves sur l’inviolabilité de la liberté d’expression, etc...).

      Ni sociaux, ni démocrates, ni socio-démocrates, bref, il faut cesser de regarder la couleur des mots pour en voir les contenus au concret et dans les actes.

      Le problème c’est que nous continuons, même à gauche, d’utiliser des termes qui ne décrivent pas ce que sont ces gens et courants annoncés comme de gauche.

      Quand Rocard ou Kouchner ou DSK disent qu’ils veulent faire de la social-démocratie, nous sommes déjà dans le charcutage de la signification des choses.

      Si le PS devenait social-démocrate au sens plein du terme ça serait déjà un grand virage à gauche de ce parti, non en termes de postures mais en termes d’actes et d’engagements.

      Une grande vague se termine avec l’adieu à la social-démocratie de l’essentiel des PS, partis "travaillistes", ou "socio-démocrates" en Europe.
      Des champs immenses s’ouvrent à ceux qui veulent réellement se battre pour le social, la démocratie, pour les travailleurs ... Ceux-ci ne sont pas dans les PS mais dehors. Ces champs peuvent réunir les réformistes et les révolutionnaires, tous ceux qui sont pour au moins defendre avec fermeté les interets des travailleurs et de l’essentiel des populations.

      Personne n’a raté le fait de la poussée electorale d’un ex-parti maoïste aux Pays-Bas (16,5%), ni les potentiels considérables qui se montrent en termes électoraux en France (si des solutions politiques unificatrices étaient trouvées), en Italie, au Portugal, en Europe du Nord, en Allemagne et en Grande-Bretagne (mêmes problèmes qu’en France).

      Copas

  • LES INSTITUTIONS, LES HOMMES ET LES FEMMES QUI LES FONT FONCTIONNER NE SONT QUE LE

    REFLET D UNE REALITE DEMOCRATIQUEMENT EXPRIMEE (MEME SI ON EN CONTESTE LES

    MODALITES), ON A LES ELUS QU’ON MERITE !!!

    LE PROJET A GAUCHE EST A REFONDER EN TOTALITE,DANS DES DIFFICULTES ENORMES,LES

    RESPONSABILITES DE CET EFFONDREMENT IDEOLOGIQUE EST ET DOIT ETRE PARTAGE,SANS CE

    PREAMBULE RIEN DE NOUVEAU NE SERA POSSIBLE.

    PEUT¨ETRE Y ARRIVERONS NOUS APRES LA TROISIEME GUERRE MONDIALE,TOUS LES

    NATIONALISMES MILITAIRES,ECONOMIQUES,CULTURELS SE METTENT EN PLACE POUR QUE CETTE

    ISSUE MONDIALE DEVIENNE INCONTOURNABLE ET S IMPOSE COMME SEULE SOLUTION GLOBALE.

    NOUS AURONS PEUT ETRE UN FACTEUR DECLANCHANT AVEC LA REPONSE QUE LA "COMMUNAUTE

    INTERNATIONALE" VA DONNER AU NUCLEAIRE IRANIEN DANS LES SEMAINES QUI VIENNENT.

    RASPOUTINE

  • voila aussi comment on pourrait décrire cette "alliance" très guerrière de deux "atlantistes"

    C’est prémonitoire de la prochaine guerre contre l’Iran ?

    doc-45483.jpg

    P. Bardet

    (remarque : ce montage n’est pas de moi, mais d’un camarade qui publie parfois en commentaires)

    • le ps son logo ; la rose ! nous on est vert et rouge , cad : la paix - economie pour les gens - ecologie , partager argent -travail -temps, le ps ne peut nous trahir le ps sera tjs social-democrate reformateur , c´est comme le capitalisme il n´a pas de fautes -il est lui meme LA FAUTE ! salut j f dieux

  • Le PS est un parti de droite, une droite soft. Qui le croyait de gauche ??? Voilà qui risque de radicaliser une bonne partie de l’electorat PS... Le PS éclaté...