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La rectrice de Toulouse se planque avant le désastre
Publie le samedi 5 mars 2005 par Open-Publishing1 commentaire
"La rectrice de toulouse démissionne faute de moyens" (le Parisien du 4 mars 2005), elle a "finalisé sa décision quand elle a dû annoncer la suppression dans les collèges et lycées pour la rentrée 2005-2006".
Une syndicaliste de l’UNSA, syndicat qui soutint Allègre, estime que "cette démarche exceptionnelle risque de faire tache d’huile".
C’est mal connaître la capacité des guignols nommés à la tête des rectorats à avaler des couleuvres.
Il se trouve que N. Belloubet-Frier a essuyé des échecs à plusieurs reprises cette année en raison de fortes mobilisations des personnels de l’Education nationale et des familles, et compte tenu des caractéristiques particulières de la région,( très marquée à gauche, mais hélas, plus "gauche plurielle" que gauche honnête) il est possible qu’elle en ait assez de jouer les porte-voix de la positive attitude ministérielle.
Elle avait pourtant encore du coeur à l’ouvrage à la rentrée 2003 sur une chaîne de l’audiovisuel public, quand je lui mettai le nez dans le désastre qui se profilait à l’horizon : elle se montrait alors satisfaite de sa visite dans une école où tout allait "pour le mieux".
Qu’on se rassure : elle ne pointera pas au RMI, elle reprend son enseignement de droit.
Messages
1. > La rectrice de Toulouse se planque avant le désastre, 5 mars 2005, 20:18
Il s’agit d’une suppression de 200 postes selon le Parisien.