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Qui est Jean-Pierre DENIS, Président du Groupe Crédit Mutuel Arkéa ?

par Valeurs Mutualistes ?

Publie le lundi 25 mars 2013 par Valeurs Mutualistes ? - Open-Publishing
19 commentaires

"Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’École des hautes études commerciales (HEC), titulaire d’une maîtrise de sciences économiques et d’une maîtrise de droit, Jean Pierre Denis a rejoint l’Inspection des Finances en 1988, à sa sortie de l’ENA.

Directeur adjoint du cabinet de Jacques CHIRAC à la mairie de Paris de juin 1992 à juin 1995, il l’avait alors suivi à l’Élysée où il s’était vu confier les fonctions de secrétaire général adjoint de la présidence de la République.

Il entre dans le Groupe VIVENDI en 1998, comme conseiller du Président pour les opérations de croissance externe.

Il est nommé en octobre de la même année directeur délégué de DALKIA et membre du Comité exécutif de Vivendi Environnement, puis directeur général (1999) et président directeur général de DALKIA (2001-2003) et membre du directoire de Vivendi Environnement (2000-2003).

En novembre 2003, il est nommé président du directoire de la BDPME puis, en août 2003, président directeur général de l’Anvar et est missionné par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Économie et des Finances, pour créer un groupe dédié au financement des PME.

Il devient donc président directeur général du Groupe OSEO en juillet 2005.

En Septembre 2007 il est nommé vice président exécutif, puis en septembre 2008 président du Groupe Crédit Mutuel Arkéa."

http://www.telecom-bretagne.eu/ecole/partenaires/parrainage/jean-pierre_denis.php

Messages

  • Le Point - Publié le 17/01/1998 à 12:22 - Modifié le 25/01/2007 à 12:22

    Recrutements politiques

    "A la Générale des Eaux, la lutte contre la fracture sociale n’est pas une formule vide de sens. Le premier employeur privé de France met même un point d’honneur à voler au secours d’une catégorie de personnels particulièrement victime de la précarité de l’emploi : les anciens conseillers gouvernementaux au chômage pour cause d’alternance.

    Ces derniers mois, la Compagnie a ainsi embauché une douzaine de cadres dans les galeries du pouvoir. Dernier en date à quitter les ors de la République pour les couloirs capitonnés de la Rue d’Anjou, Jean-Pierre Denis, secrétaire général adjoint à l’Elysée, où il suivait depuis deux ans les dossiers économiques et industriels. Les nouvelles fonctions de cet inspecteur des finances, nommé conseiller personnel de Jean-Marie Messier, PDG de la Générale des eaux, sont encore floues. Officiellement, il doit suivre les opérations de croissance externe de la Compagnie. Mais, en interne, les spéculations vont bon train. « Il a été jugé trop inexpérimenté pour prendre des fonctions directement opérationnelles, estime un cadre historique du groupe. Mais il est programmé à moyen terme pour accéder à la direction de Havas. En attendant, il doit se pencher sur le devenir de la CEP, sa filiale d’édition. »

    Jean-Pierre Denis rejoint quelques pointures politiques fraîchement recrutées comme Thierry de Beaucé, un ancien secrétaire d’Etat « d’ouverture » de Michel Rocard. La nomination de ce diplomate bombardé directeur délégué pour les affaires internationales, mais peu connu pour ses qualités de manager, a fait jaser. « Il est pourtant l’homme parfait pour assurer au mieux la représentation du groupe à l’étranger », plaide-t-on rue d’Anjou. Idem pour l’ancien député RPR Alain Marsaud. Doté d’un titre de directeur général adjoint, ce magistrat antiterroriste en détachement est censé faire profiter la maison de ses compétences en intelligence économique. « Une fonction dont nous étions dépourvus jusqu’ici », dit-on dans l’entourage de Jean-Marie Messier.

    D’autres recrutements moins voyants, réalisés dans les aréopages de droite comme de gauche, sont venus compléter l’état-major de la Compagnie, ces dernières semaines. Ont notamment été nommés Olivier Grunberg (ancien des cabinets Balladur et Idrac), Cyril-Roger Lancan (ex-Emmanuelli), Pierre Servent (ex-Millon), Agnès Audier (ex-Idrac), Jean-Pierre Frémont (ex-Bayrou)... « Ces nominations ont obtenu, le cas échéant, le feu vert de la Commission de déontologie de l’administration », précise-t-on, agacé, au siège de la Compagnie.

    Sans doute. Mais, en interne, la multiplication de ces embauches politiques commence à semer le trouble. « Cette façon de faire n’améliore pas l’image de la maison », reconnaît un dirigeant pourtant réputé « dans la ligne ». Elle laisse en effet planer un doute sur la volonté proclamée de Jean-Marie Messier de rompre définitivement avec les pratiques d’influence en vigueur sous son prédécesseur, Guy Dejouany.

    L’omniprésence des hommes de cabinet dans une entreprise en négociation permanente avec le pouvoir ne peut laisser indifférent. Car la Générale des eaux continue bel et bien de vivre grâce aux contrats publics. L’année dernière, par exemple, seul le pôle « environnement », regroupant les activités déléguées par les collectivités locales (eau, énergie, déchets et transports), a gagné de l’argent. Dans le même temps, l’exploitation des autres secteurs du groupe, comme l’immobilier, le BTP ou la communication, activités par essence moins soumises au bon vouloir des pouvoirs publics, s’est soldée par des pertes."

    http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2007-01-25/recrutements-politiques/916/0/88159

  • Événement - « Moins d’Etat, moins d’impôt », nouveau slogan ?. Une partie de la majorité pousse à l’abandon du thème de la « fracture sociale ».

    21 avril 1997 à 00:36

    "La thèse libérale. Dès lors, le terrain le moins miné apparaît être celui du « moins d’Etat-moins d’impôt ». C’est la thèse vigoureusement défendue par Jean-Pierre Denis, le secrétaire général adjoint de l’Elysée, par Alain Madelin, qui a rendez-vous en début de semaine à Matignon ou par Nicolas Sarkozy, reçu à Matignon il y a peu. Ce week-end encore, les trois hommes étaient en contact pour élaborer un argumentaire en prévision de la campagne. Le même point de vue est défendu par les amis patrons de Jacques Chirac. Coïncidence, le chef de l’Etat déjeune ce midi à l’Elysée en compagnie d’une brochette de PDG français et européens. « La discussion va porter là-dessus », précise un expert patronal. L’idée défendue par cette camarilla libérale n’est plus de procéder à un énième plan d’économie, mais de redéfinir massivement le poids de l’Etat dans l’économie française. Un projet ambitieux, qui passe par une restructuration en profondeur de la fonction publique, en termes de mobilité interne par exemple, mais surtout de recrutement. Chaque année, 60 000 fonctionnaires partent à la retraite. Pour les libéraux, il conviendrait de ne pas renouveler la moitié de ces postes. Cette réforme porterait aussi sur les multiples subventions versées chaque année par l’Etat."

    http://www.liberation.fr/evenement/0101211321-moins-d-etat-moins-d-impot-nouveau-slogan-une-partie-de-la-majorite-pousse-a-l-abandon-du-theme-de-la-fracture-sociale

  • Jean-Pierre Denis, 36 ans, actuel secrétaire général adjoint de l’Elysée en attendant mieux dans le privé. Rastichirac

    15 janvier 1997 à 15:59

    Ce cerveau bien fait, Jacques Chirac l’a nommé à 35 ans secrétaire général adjoint de l’Elysée. Les dossiers économiques transitent par ses neurotransmetteurs : le mariage Dassault-Aérospatiale, l’opération GEC Alsthom-Framatome, l’avenir de Thomson. Un feu a été allumé dans la cheminée. Autour du jeune secrétaire général adjoint, le décor paraît un écrin déployé à dessein. Mais l’avenir de Jean-Pierre Denis est ailleurs, dans une entreprise privée. Le héros de sa génération, c’est Jean-Marie Messier, le patron de la CGE. « Une référence, un modèle de trajectoire », dit Denis. Messier a renouvelé la mythologie de l’inspecteur des finances. Père de cinq gosses, le kangourou diplômé a enchaîné les sommets dare-dare. Inspecteur des finances, cabinet d’Edouard Balladur, banque Lazard, et, enfin, les Grandes Jorasses, la succession de Guy Dejouany à la Générale des eaux, le tout en moins d’une décennie. Le nirvana, la CGE, pour ce genre de personnage : à l’interface entre la politique et les affaires. Dans les sphères du pouvoir, là où l’oxygène se fait délicieusement rare.

    En attendant, Jean-Pierre Denis « fait du cabinet ». Le dossier Thomson lui a donné du souci, même s’il a été sauvé par le gong de la Commission des privatisations. Favorable à Alcatel, il a vu le Premier ministre préférer Matra. Et la presse annoncer sa démission. Une presse, dit-on, désinformée par des collègues de travail hostiles. Dominique de Villepin, par exemple.

    Jean-Pierre Denis, disent ses proches, a été fort dépité de cette mésaventure. Une amie insolite l’a consolé : Anne Lauvergeon, aujourd’hui associée-gérante de la banque Lazard. Elle l’a précédé au même poste élyséen : « Il y a chez Jean-Pierre, sous des dehors conformistes, quelque chose de direct et de loyal qui suscite l’amitié », note Anne Lauvergeon. Elle lui a expliqué qu’à ce poste, ce très haut poste d’observation, on voyait surtout remonter les problèmes. « Le pouvoir d’un conseiller de l’Elysée est limité. Vous n’êtes là que pour préparer des décisions qui ne sont pas les vôtres. Vous n’êtes pas un politique. » L’Etat l’a sélectionné, avec ce système censé assurer la sélection des meilleurs. Finistérien, Jean-Pierre Denis a grandi à Audierne, petit port de pêche et de plaisance. Son père était médecin. Il a été pensionnaire au lycée Saint-Louis de Châteaulin, dans une école confessionnelle, comme 65% des enfants bretons. Les grandes écoles ont parachevé sa mise en condition : HEC, l’ENA, l’inspection des Finances. Brun au regard intense et bleu, les traits presque féminins, Jean-Pierre Denis rajoute une bûche dans l’âtre. Sûr de son excellence. « Jean-Pierre a sauté un maximum de haies le plus vite possible. C’est un solitaire de cours de récré. Un cérébral pur, qui l’emporte en interro écrite... » dit un ancien camarade d’école.

    Ce garçon perfectionniste a pris épouse dans la noblesse républicaine. Marie-Laure, conseillère d’Etat, est fille de Jean-René Bernard, récemment nommé au Conseil de la Banque de France. Sous Georges Pompidou, elle jouait à l’Elysée, où son père occupa la fonction de secrétaire général adjoint. « Si moi-même j’étais né dans les plus beaux quartiers de la capitale, j’aurais peut-être eu moins d’appétit », note son mari, affichant ses ambitions. Mais au service de quoi, cette énergie ?

    De son bureau d’angle, au second étage du palais, on aperçoit toitures, beaux nuages parisiens, jardins. Les K2 des énarques. On se grise, sur le toit du monde, mais on ne décide pas de grand-chose. « Si, chaque matin, la couleur de mon costume. » Bien coupé, le costume de crooner, avec des souliers qui miroitent. « Je ne me sens pas l’appétit d’une carrière politique. Et la haute administration, c’est difficile... » Il ira dans le privé. On gagne mieux sa vie, on peut agir. L’Elysée, c’est 40 000 francs par mois, le portable 24 heures sur 24. Après l’inspection, Denis songeait à travailler dans une banque privée. Mais Juppé recommande Denis au maire de Paris. « C’était hors norme, travailler avec un personnage de premier plan, et qui m’était sympathique. » Cordial avec tous, intime avec personne, Chirac a vite fait de séduire. Un an plus tard, Denis est candidat au poste de directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, ministre du Budget. Sarkozy lui préfère un autre inspecteur des finances. Denis doit rester aux côtés d’un Chirac isolé.

    « Là, j’ai eu peur de ne plus travailler. De n’avoir plus rien à mouliner. » Jean-Pierre Denis parle de lui comme d’un robot ménager. Il évoque sa valeur marchande et même son absence de valeur marchande. Aussi négocie-t-il avec Jacques Chirac un accord avantageux : Denis monte un réseau de patrons pour préparer la présidentielle ­ et remplir son carnet d’adresses. « Il m’a servi de produit d’appel », dit Denis, ingénu. Premier patron à inaugurer son carnet d’adresses : Didier Pineau-Valencienne, le patron de Schneider.

    Pendant la campagne électorale, Denis dirige la cellule présidentielle. En février 1995, il commet un chef-d’oeuvre d’équivoque politique, le discours de la porte de Versailles. Le républicanisme de Seguin et l’ultralibéralisme de Madelin sont concassés avec les idées de Juppé, pour donner le plus extravagant catalogue de promesses électorales. « Jean-Pierre est un ordinateur. Les synthèses, il adore », dit Denis Conus, un ancien camarade. Mais quelle est la doctrine de cet ordinateur. « La doctrine de Jean-Pierre ? Non attendez... » Le collaborateur d’Alain Juppé éclate de rire. « Directeur de cabinet de Sarkozy, il aurait été plus balladurien que Balladur ! Sa doctrine, c’est lui-même. »

    Vers quel éden regarde ce jeune Breton ? « Il ne faut pas partir trop vite. » Jean-Marie Messier lui a proposé de rentrer à la CGE. Denis aurait offert sa démission au président de la République, celui-ci aurait refusé. « Je songerai à partir quand je n’aurai plus de grain à moudre », dit l’intéressé... Havas, banque Lazard, CGE ? Ou le groupe François Pinault, breton comme lui, avec lequel il fait du vélo le week-end... « Il y a encore ici des dossiers qui m’amusent », dit Denis. Un dossier fun, la redéfinition de la politique économique et sociale ?

    Des Jean-Pierre Denis, la technostructure en compte une petite ribambelle. Au service des politiques. Encore faut-il qu’il y ait de nouvelles voies à ouvrir. Faute de mouliner dans le vide."

    Jean-Pierre Denis en 5 dates

    1960 Naissance.

    1984 HEC, promotion « Allez les cadres ».

    1988 ENA, promotion Montaigne. Juin 1992 Directeur-adjoint du maire de Paris, chargé des finances et du budget.

    Mai 1995 Secrétaire-général adjoint de l’Elysée. "

    http://www.liberation.fr/portrait/0101203318-jean-pierre-denis-36-ans-actuel-secretaire-general-adjoint-de-l-elysee-en-attendant-mieux-dans-le-prive-rastichirac

  • Dans l’affaire Madec c/ CMB-ARKEA -

    A ma gauche - (à mon extrême-gauche même) - un pov’ breton tout maig’ et tout pov’.

    A ma droite - (à droite... à droite ?) - un grand grand grand patron (breton aussi) comme on les aime, qui a tenté de se refaire une virginité sous des "valeurs mutualistes".

    Mais c’est raté .... La presse et le Web ont de la mémoire.

    Ami et/ou collaborateur de Messier, de Chirac, de Pinaut, de Sarkozy...pour finir Président d’un groupe "mutualiste"..... :-D ça fait rêver.

    C’est un peu comme Madame Claude en présidente de la Commission pour l’abolition de la prostitution, ou le grand méchant loup baby-sitter du Petit Chaperon rouge.... ?

    Jean-Pierre.

    Un mec super. Avec des valeurs impec’ mutualistes donc.

    Qui donne envie qu’on se défonce pour lui.

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article134031

  • Aux intervenants de : Qui est Jean-Pierre Denis , Président du Groupe Crédit Mutuel Arkéa
    Un grand MERCI pour le combat de Michel Madec !

    Que Michel ait fait le choix d’une grève de la faim , c’est avant tout SON CHOIX que je respecte même si je n’approuve pas , car en toute connaissance de cause des TORTURES mentales et physiques qu’elle inflige à son auteur !

    Que ceux qui soutiennent Michel , se contentent plein d’espoir , pouvoir obtenir satisfaction du CMB , par une liste de soutien , qui au final et à ce jour , s’essouffle déjà plus rapidement que prévu , que ceux-ci sachent qu’il en faut beaucoup plus que çà pour commencer à faire SOURCILLER et à INQUIETER ces REQUINS de la FINANCE et de LA MONARCHIE REPUBLICAINE FRANCAISE !

    Ces environ 1200 signes de simple et chaleureuse solidarité viennent de petites gens comme moi , comme vous , n’ayant à ce jour AUCUN IMPACT , AUCUNE INFLUENCE sur le déroulement et les décisions prises en HAUT-LIEU !

    Attendre le moindre sentiment d’Humanisme de ces OLIGARQUES de la HAUTE VOLTIGE , c’est comme espérer devenir millionnaire avec un billet de la Loterie Nationale ! Utopique !

    Le constat est amer sur la solidarité bretonne lorsqu’on s’aperçoit que quelques "énarques" bretons , quelques "directeurs" ou "dirigeants" bretons se considèrent déjà au-dessus de la population bretonne , et déjà , sur un "petit nuage" d’indifférence qui leur autorise le droit d’être tout à la fois les JUGES et les BOURREAUX-FOSSOYEURS dans l’exécution systématique et très "libérale" du creusement des tombes DE LEURS SEMBLABLES !

    Fouiller dans le passé de ces AGRESSEURS de la VIE des "petits" n’est pas un acte répréhensible ni-même immoral en vertu des lois humaines qui devraient encore régir ce monde , mais UN ACTE DE LEGITIME DEFENSE ! Etre conduit dans une IMPASSE ne laisse que très peu de choix à la future victime ! Soit se résigner , capituler et tout accepter , même l’appel du pied de LA GRANDE FAUCHEUSE... ou de l’ANKOU puisque nous sommes en Bretagne ... ou alors se BATTRE à ARMES EGALES , c’est à dire avec les mêmes méthodes peu reluisantes il est vrai , utilisées SANS AUCUN SCRUPULE par l’adversité !

    Alors , continuons TOUS ENSEMBLE à fouiller les INFOUILLABLES , les INTOUCHABLES de la Monarchie-Aristocratique Française !

    A ce propos , nous reviendrons par la suite sur la frilosité étonnante et excessive des "élus" de Carhaix ...et de ses habitants (8000 âmes environ) qui bien entendu a ses principales origines et "justifications" ... dans des AFFAIRES DE GROS SOUS ... avec le CMB !

    • les bretons sont-ils endormis ? on ne les entend pas ASSEZ !!!!!!! !
      DEBOUT, REVEILLEZ VOUS

      je suis d’accord avec vous, qui fera plier ces banquiers broyeurs ?? le combat est rude et c’est justement pour cela qu’il faut le poursuivre

      allez dans les agences du CB, devant les agences du CMB, distribuez des tracts clairs et faciles à comprendre , faites signer la pétition, balancez toutes les infos sur vos réseaux, faites vous photographier sur un lieu d’action et envoyez la photo sur les réseaux, photographiez vous chez vous avec une pancarte, " aujourd’hui je jeûne pour soutenir michel madec, surendetté, en grève de la faim, le CMB ARKEA ne veut pas l’aider", allez sur le site du conseil général et celui du conseil régional , listez tous les mails auxquels vous avez accès et balancez des mails TOUTE LA JOURNEE, , écrivez au CMB ARKEA, aux élus bretons ( les lettres se perdent moins qu’un mail qui peut être considéré comme un SPAM), à Hollande, aux ministres, à la presse nationale, à la presse régionale, entrez dans les agences du Cm et demandez des nouvelles de Michel Madec , montez sur une grue et montrez votre cul, vos seins, et parlez de Michel , ALERTEZ vos SYNDICATS, etc etc etc etc ... des idées on n’en manque pas
      il faut OQP le terrain

      ouest france est complice, aucun article digne de ce nom
      radio bleue bretagne est complice, aucun interviouw, malgré mes demandes répétées

      VITE VITE VITE

    • Jean Marie,

      On n’est plus au temps des discours, on est au temps des ACTES. C’est de VOTRE action que dépends ma vie.

      Pas de larmes, des ACTES !!!

      Carland

    • Salut Michel ,
      Si je peux facilement comprendre ton désarroi , je ne comprends pas ce que tu attends de plus de moi ? Qu’attends-tu par des ACTES ?
      Le peu de temps qu’il me reste dans une journée de 24h (elle commence à 4h du matin et se termine au mieux à 10h) , je m’investis du mieux que je peux pour ta cause ... pour que tu sortes vainqueur de ce combat !

      Cela m’est pénible de te le rappeler dans de tels moments pour toi , mais 2 bretons sur 3 et 2 entreprises bretonnes sur 3 sont clients au CMB ! (Entendu de la bouche-même de Jean-Pierre Denis dans un interview au journal Le télégramme .)

      Si toutes ces personnes "respectables" encore à ce jour , s’investissaient d’1/10 de ce que je fais dans ton sens sans pour autant m’en glorifier , je pense que ton problème serait déjà réglé positivement pour toi .

      Ce n’est pas moi qui détient la solution miracle , c’est en tout premier lieu L’ENSEMBLE des BRETONS !

      Je ne peux être qu’UN CONTRIBUTEUR PARMI D’AUTRES à ton combat !
      Au-delà et par expériences passées , je sais que pour moi le terrain risque d’être fortement miné !

      Mais je t’assure en toute sincérité que TON URGENCE reste également la mienne !

      A très bientôt !

    • Mon combat est pour la dignité. Pas pour fouiller les poubelles. Quand tu parles de désarroi, de qui parles tu ? Je ne suis pas un désespéré, je me bat, certes je suis dans un combat inégal, mais je le savais en commençant. C’est bien pour cela que ce n’est pas de discours qu’on a besoin, mais d’actes.

      Info concrète :

      A Morlaix ce matin, ils étaient une dizaine a manifester pacifiquement. Ils ont été reçu par le directeur de l’agence du CMB, Ils sont en train de s’organiser en comité de soutien. J’aurai plus d’infos dans la journée.

      Voila un bon exemple de ce qu’il faut faire. Des actes !

      Carland

    • Désolé de te décevoir Michel , mais tout en continuant à faire parti de ton soutien (si tu le veux bien encore) , je préfère ne plus faire de déclarations concernant ton combat ! Je n’ai pas vocation à servir de bouc émissaire à quiconque , pas même à toi dont je comprends plus facilement les raisons .

  • Tant pis si je dérange, tant pis si j énerve
    Je veux m’adresser aux deux derniers intervenats dont je connaisl’humanisme, la solidarité sans faille avec MICHEL :

    Putain, Jean Marie, tu es breton ?
    OUi ? ça expliquerait que tu sois tétu.

    Tu reviens sur les rapports de FORCE et écris

    Etre conduit dans une IMPASSE ne laisse que très peu de choix à la future victime !

    Comment peux tu dire à MICHEL (oui, il nous lit !) qu’il est dans l’impasse ?

    Mon copain le jazzman gascon bien connu de certains ,LUBAT du Festival d’UZESTE s’amuse souvent à jongler avec le slogan soixante huitard, en le"transformant" en

    "Ce n’est qu’un COMBAT..continuons le DEBUT"

    Tu as une curieuse façon , pardonne m a franchise - d’’analyser un processus de type de Résistance assez inédite dans cePays , concernant un problème , le débiteur acculé faceua Banquier"tout puissant" - qui n’est pas de nature à servir de détonateur à la Lutte anticapitaliste..

     Quand ceux qu’on appelle au soutien -bretons ou semi catalans comme moi- sont eux -même étranglés par leurpropre banquier, ..quand les médias sollicités ont un BANQUIER comme "oxygène de fonctionnement" pour qui connait la crise dela Presse écrite, quand les stations locales de FR3..sont objectivement, TOUTES avec un espace d’expression pluraliste..d’autant plus restreint que les "vrais " rédacteurs en CHEF sont les chefs du Bipartisme..En totale connivence !

    Quand les élus que nous avons alertés sont dans l’attente de telle ou telle décision, , concernant une intervention financière sur tel investiissement , une subvention pour ceci ou cela etc etc !, décision relevant d’un "pool bancaiire"dans lequel un CREDIT MUTUELest des plus impliqués, dans la vie"économique" des régions
    Tu en rajoutes une louche en présentant l’alternative suivante

    Soit se résigner , capituler et tout accepter , même l’appel du pied de LA GRANDE FAUCHEUSE... ou de l’ANKOU puisque nous sommes en Bretagne ... ou alors se BATTRE à ARMES EGALES , c’est à dire avec les mêmes méthodes peu reluisantes il est vrai , utilisées SANS AUCUN SCRUPULE par l’adversité !

    Vaincre ou mourir ?
    D’abord comme c’est la peau de Michel et pas la mienne qui es ten jeu, je ne reprends pas ton cri de juste impatiente colère..

    Je vais plus loin, si tu m’y autorises-tant pis d’ailleurssi tu ne m’y aautorises pas !)

     :)

    NON, mon Camarade les"armes ne sont pas jamais égales entre le K et notre classe,(travailleurs et/ou victimes collatérales de l’exploitation
    ILS POSSEDENT et DECIDENT , : c’est ce qui conduit
    ici à bien voir que la lutte de Rébellion à la normalité de la résignation qu’entreprend Michel, y compris avec la forme qu’il a librement choisi, c’est AUSSI un plus pour une réflexion de centaines et centaines depersonnes qui"suivent"son cas .Lequel aide à mieux comprendre ce qu’est le"monstre financier"

    A lui tout seul Michel est un Comité de SOUTIEN au combat communiste !

    Alors, aller faire les poubelles pour voir si tel banquier se traine pas une casserolle, NON et NON

    Pas plus qu’on ne combat le chien enragé qui te mord en le mordant...

     L a copine d eMichel qui signe la "la dame du bois-joli" ne m’en voudra pas de dire que son coup de gueule me touche comme il touchera Michel

    Mais ces sont les MASSES qu’il faut"toucher"
    Et je ne crois pas aux vertus de l’impératif genre" Bretons, réveillez-VOUs " etc etc..

    Ce n’est pas avec une sono tonitruante qu’on convaincra, ni un appel à des mots d’ordre hors de portée d’un soutien de Masse
    ..
    L’idée de telle initiative peut être excellente mais il ne sert à rien d’avoir raison

    Il faut CONVAINCRE, patiemment

    Ne pas , chaque matin, tordre le nez parce que nous n’avons rassemblé que (??) 1200 signatures !

    Putain, vous en avez beaucoup des pétitions sur"net" avec ce chiffre,

    Il ne s’agit pas pour moi de’asperger B.C de gaz euphorisants comme tel CRs martyrisant cette pauvre Boutinavec des tortures uniquement acceptables contreles Good Year..

    Mais de demander avec fraternelle insistance qu’on ne cultive pas le "défaitisme" dans nos rangs par défaut d’analyse des rapports de force, en tenant compte que le"monde" n’est pas comme nous le souhaiterions !

    C’est bien pour cela que des vieux croutons comme moi, sont encore debout pour aider à le changer !
    Et se prétendent donc COMMUNISTES

    Très cordialement.

    A.C

    • Pour apporter des éléments de réponse à la question titre du billet, je vous recommande cet excellent article publié sur un des blogs invités de Mediapart :

      http://blogs.mediapart.fr/blog/pipotin/240313/jean-pierre-denis-ou-le-discredit-mutuel

    • Salut Alain !

      Le cri d’appel de Michel me visant en particulier , mais sans aucun grief de ma part contre lui suite à çà , me conforte un peu plus dans mes convictions personnelles qu’il faut , au contraire de toutes modérations stériles et inutiles suggérées vis à vis du CMB , que nous nous investissions beaucoup plus dans la recherche de "perles" concernant les dirigeants du CMB .

      Il faut déranger ces "Messieurs" dans leur stratégie d’immobilisme ...assassine !

      Tu nous parles de convaincre patiemment , je ne pense pas que Michel est la même perception que nous du mot patiemment !

      Je pense qu’au contraire , il y a URGENCE !

      Amicalement

    • Après quelques recherches rapides, j’ai été frappé par l’image caricaturale de cet énarque, ancien inspecteur des finances et admirateur de Jean-Marie Messier. Comment une telle personnalité a-t-elle pu arriver à la tête d’une structure qui se revendique « mutualiste » et, par conséquent, peut-on encore accréditer l’esprit même de mutualisme de cette banque en s’intéressant à ses dirigeants ?

      Excellente question !! Je me suis demandé la MEME CHOSE.

    • Excellente question !! Je me suis demandé la MEME CHOSE.

      Ca m’étonne de toi. je te pensais plus au courant de ce qui était advenu dans le Mouvement mutualiste ces 30 dernières années. Et comment celui-ci avait été noyauté dès les années 80 pour collecter le pognon des Travailleurs et diriger leur protection sociale vers l’Assuranciel privé.

      J P Denis n’est pas "arrivé" à la tête du CMB. Il y a été "mis en place". Comme la majorité des dirigeants des différents Crédits Mutuels de France. Par des taupes bien placées à l’intérieur de ceux-ci.

      Et encore plus grave, quant on sait que le Crédit Mutuel comporte parmi ses Administrateurs régionaux de nombreux militants de la CGT et du PCF dont je connais le dévouement et la sincérité ça laisse planer un doute sur la régularité de l’organisation des élections au sein de ces mêmes caisses et le choix des candidats et qui les choisit.

      Ca fait un bail que je suis passé chez d’autres. A me faire étrangler je préfère que ça ne soit pas par des gens qui se prétendent mes amis.

      G.L.