vermine

Anéantir la vermine

Insolente désolation du spectacle indigne de nos représentants politiques.

Représentants de commerce d’un monde salement détérioré par une minorité d’indigènes inquiètants.

Mi hommes, mi bêtes, virtuoses de la décadence , ils se roulent dans une boue obsène du mensonge, de l’avidité, de la honte et de la haine.

Tsunamie de la folie , aucune camisole ne retient leur folie destructrice .

Le fric et le pouvoir, dont ils s’abreuvent puent la mort.

Alors, que toute notre humanité agonise en soin paliatif ,

cancer en stade terminal de l’exclusion,et de la fabrique de sous-hommes

Alors que les métastases de la misère et du désepoir atteint au plus profond, notre dignité d’homme,

ils se gavent d’artifices.

Pourtant aucun botox n’épargne la laideur de leur être.

Aucun palace ne les préserve de la vacuité et la béance de leur vie

Ils ne voient , ni reniflent la puanteur de leur âme gangrénée par la pourriture de leur arrogance.

Pourtant , leur désespérante décrépitude continue sa contagion mortelle .

Insensibles et incapables ils ignorent leur déchéance fatale.

Elle viendra aussi sûr que leur cadavre , au fond de la morgue finirra de pourrir,

De ce lent procéssus vers le néant .

Pas d’artifice, ni faire valoir au règne des morts.

Alors , moi qui ne suis rien, je leurs conseille de converser avec leur cadavre.

Moi qui ne suis rien, je leurs dit aussi, qu’on finira bien par être nombreux à ne plus pouvoir sentir leur fétide arrogance qui ronge chaque jour,

la désolente vie de ceux qui tiennent encore debout.

Car seules les grandes âmes résistent au néant,

Mais de leurs carcasses , il ne restera que l’horreur de leur disgrâce.

Alors moi privée d’ emploi, en survie je leur dit :

« Méfiez vous de la colère et la rage qui grondent ,

instincts des vivants,et seuls remèdes,

vaccins à l’immonde .

Chômeuse rebelle