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11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video)
Publie le lundi 22 septembre 2008 par Open-Publishing19 commentaires

de Gilles Millet
En un livre qui vient de paraître, deux journalistes, au terme d’une enquête fouillée, relancent la thèse de la bavure militaire.
Quarante ans de mystère. Et on ne sait toujours pas, aujourd’hui, ce qui a provoqué le crash de la caravelle Ajaccio-Nice qui s’est abîmée en mer le 11 septembre 1968. Une catastrophe qui a fait quatre-vingt-quinze victimes. Une affaire classée par la justice et désormais amnistiée.
Officiellement, au terme d’une enquête de cinq ans, c’est toujours la thèse de l’accident, provoqué par un incendie à l’arrière de l’appareil, qui prédomine. Une version qui a été avancée par la commission technique qui s’était penchée sur l’affaire et qui a été reprise par trois juges d’instruction successifs.
Mais, on le sait, depuis le début, d’énormes doutes subsistent et beaucoup d’observateurs, dont une partie des familles des malheureux passagers, restent persuadés que la caravelle a été l’objet d’une "bavure" militaire ; l’appareil ayant été touché par un missile désactivé lors de manoeuvres ayant eu lieu dans la région le jour de la catastrophe.
C’est ce qui a poussé deux journalistes, Max Clanet et Jean-Michel Verne, à reprendre, en détail, l’ensemble de cette affaire dans un livre, Secret d’État (Édition Ramsay), qui paraît ce mois-ci. Ouvrage qui, en se penchant minutieusement sur l’ensemble de l’enquête à laquelle ils ont eu accès, ne fait que renforcer l’hypothèse du missile tant les contradictions, les oublis, voire les mensonges qui existent dans le dossier, notamment militaires, poussent à mettre en cause la version officielle.
Une « vérité » qui pourtant jusqu’ici, n’a pu être formellement remise en cause faute de véritables preuves. Et, surtout, de témoignages directs de militaires ayant joué un rôle dans cette affaire. Ce qui, quarante ans après, peut paraître étonnant.
Alors, que reste-t-il, outre une série de témoignages de seconde main, faisant état d’une bavure militaire que rappellent Clanet et Verne ? Le dossier, rien que le dossier. Et les mensonges, rien que les mensonges. Ainsi, ce courrier aux familles du ministre de la Défense de l’époque, Michel Debré, qui affirme qu’à l’époque des faits, « les champs de tirs de la région étaient fermés », ce qui au regard des documents récupérés auprès de l’armée par les journalistes est manifestement inexact.
Il est parfaitement établi que le 11 septembre des tirs de missiles ont eu lieu dans la région, entre 8 h 30 et 12 heures, à l’endroit même du passage de la caravelle À en croire Clanet et Verne, ils devaient avoir lieu au-dessous de la ligne de passage de l’avion qui, peut-être, en « mordant » sur l’itinéraire réservé aux missiles, aurait été touché par erreur.
À tout cela s’ajoutent les documents manifestement tronqués ou modifiés sur les manoeuvres militaires qui ont pu être consultés par certaines familles et les journalistes. Comme si, délibérément, les services de l’armée avaient voulu cacher tout ce qui aurait pu amener à mettre en cause de manière précise le comportement de ceux qui étaient chargés du tir. Une sorte de réécriture de l’histoire militaire locale permettant d’écarter toute idée de bavure. La commission technique chargée de l’enquête ne faisant, au fond, que préserver le « secret d’État » évoqué par les journalistes, sans travailler de manière indépendante afin d’aboutir à la vérité. Un travail « sous influence » qui a été repris de manière non critique par la justice.
A titre d’exemple, lorsqu’un expert affirme que le feu a pris du côté du réacteur gauche de l’appareil et s’est propagé à l’intérieur, la commission, elle, affirmera que le feu a pris du côté du réacteur droit. Ce qui exclut, comme par hasard, que le tir ait pu provenir de la gauche de l’appareil au moment où il virait pour rejoindre l’aéroport de Nice, donc ait pu provenir de l’île du Levant où étaient situés des lance-missiles. Et, par la suite, histoire sans doute de ne pas contredire l’hypothèse retenue, on ne cherchera pas à récupérer en mer les réacteurs de l’appareil. Alors que des moyens techniques existaient pour réaliser cette opération.
Et les auteurs évidemment n’ont pas eu l’autorisation de consulter les archives de la base de l’île du Levant. A moins, autre hypothèse, que le fameux missile ai été tiré d’un patrouilleur qui se trouvait en mer à ce moment-là et dont le livre de bord a été amputé, encore une fois par hasard, de la page concernant le 11 septembre. Ce qu’ont constaté Clanet et Verne.
Pour le reste, les journalistes s’interrogent également sur la provenance exacte du missile qui aurait pu être tiré dans le cadre de manoeuvres purement françaises, à moins qu’il ne s’agisse de celles de l’Otan, voire de celles de militaires israéliens qui, à cette époque, s’entraînaient en France.
http://info.club-corsica.com/soc_108_006.html
Une plainte 40 ans après le crash de la Caravelle
Rebondissement dans l’affaire du crash de la Caravelle Ajaccio-Nice qui a fait 95 morts le 11 septembre 1968 au large du cap d’Antibes. Des proches de victimes ont déposé une plainte contre X avec constitution de partie civile aujourd’hui au tribunal de grande instance de Nice. Les familles des passagers morts dans cette catastrophe aérienne n’ont jamais cru à la version officielle qui avait conclu à un départ de feu suivi d’une perte de contrôle fatale à la Caravelle.
Détenteurs de nouveaux témoignages recueillis ces derniers mois, les proches des victimes soutiennent la thèse d’un tir de missile sol-air qui aurait accidentellement détruit l’avion. « Nous ne cherchons ni sanction, ni réparations pécuniaires, juste la vérité », expliquent les frères Louis et Mathieu Paoli qui se battent depuis des années pour que la justice rouvre ce dossier.
Plainte contre X pour un crash en 1968
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Le collectif des victimes de l’accident de la Caravelle d’Air France Ajaccio-Nice, le 11 septembre 1968 au Cap d’Antibes, a déposé une plainte contre X avec constitution de partie civile, a annoncé le président de cette association, M. Mathieu Paoli.
Le but de la plainte, déposée devant le Tribunal de Nice, est d’obtenir la réouverture d’une information judiciaire sur cette catastrophe, qui avait fait 95 morts, en raison de la présence de nouveaux éléments, a indiqué M. Paoli.
"Nous avons énormément d’éléments accréditant la thèse du missile", a assuré M. Paoli qui, avec ses deux frères, a perdu ses parents dans la catastrophe.
En décembre 1972, un rapport officiel avait établi que "la perte de la Caravelle avait pour cause un incendie d’origine indéterminée dans la cabine".
En 2007, une demande de réouverture de l’instruction sur la foi de nouveaux témoignages avait été rejetée par le parquet de Nice.
Parmi les nouveaux éléments justifiant, selon le collectif, la réouverture d’une enquête figurent des témoignages inédits ainsi qu’un rapport de la préfecture maritime de Toulon —dit "document zonex"— établissant l’existence d’activités militaires dans la zone traversée par l’avion.
"On a la preuve que le 11 septembre 1968, il y avait dans la zone traversée par la Caravelle des activités militaires importantes", a déclaré à l’AFP l’un des avocats du collectif, Me Paul Sollacaro.
Caravelle du vol Ajaccio-Nice - L’autre 11 septembre
Le 11 septembre 1968, à 10 h 33, l’appareil assurant la liaison entre la Corse et le continent était victime d’un accident au large du cap d’Antibes. Les familles des 95 victimes se battent depuis quatre décennies pour connaître la vérité, qu’elles estiment cachée par les pouvoirs publics.
Louis, Mathieu et Jacques Paoli avaient à l’époque 21, 24 et 30 ans. Leurs parents, Ange-Marie et Toussainte, 61 et 59 ans, effectuaient un de leurs derniers vols entre la Corse et le continent : ils habitaient et travaillaient à Paris mais avaient l’intention, une fois retraités, de s’installer sur l’île de Beauté, dans le village de Pastricciola. Comme 87 autres passagers et les six membres d’équipage, ils ont péri dans l’accident de la Caravelle Ajaccio-Nice.
On a commémoré jeudi dernier les attaques du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center, mais cet anniversaire d’un autre 11 septembre a fait moins de bruit. Depuis quarante ans pourtant, les trois fils Paoli contestent la version officielle des causes de la catastrophe et se battent pour que soit rouverte l’enquête, malgré le secret défense et la prescription des faits depuis 1983. Ils ont créé un Collectif des familles des victimes (CFV), qui rassemble 65 % des familles. L’enquête officielle a conclu en 1972 à un « incendie d’origine indéterminé dans la cabine », dans la partie arrière droite de l’appareil, peut-être dû à une cigarette jetée dans les toilettes.
Or le CFV pense que la Caravelle a pu être victime d’un tir de missile non armé, ayant touché son réacteur gauche, lors de manœuvres militaires françaises ou de l’Otan. Une hypothèse toujours démentie par le ministère de la Défense, qui affirme qu’aucun exercice n’a eu lieu à ce moment et cet endroit-là, « qu’il s’agisse de la marine, de l’armée de l’air, ou de la Délégation générale de l’armement ou de toute autre force ou unité ».
Deux cérémonies ont eu lieu mercredi et jeudi dernier, à Nice et à Ajaccio. En espérant l’apparition d’éléments nouveaux, grâce notamment à la publication d’un livre (lire encadré), les frères Paoli dénoncent « l’insupportable silence officiel ». Les quarante ans passés « n’ont pas estompé notre profonde douleur. La peine est aussi vive, car on nous cache toujours la vérité et nous n’avons pas retrouvé l’apaisement. Le deuil ne peut se faire »…
Un livre apporte des éléments nouveaux
Dans l’enquête Secret d’Etat qu’ils viennent de publier, les journalistes et écrivains Jean-Michel Verne et Max Clanet rappellent l’historique de l’accident de la Caravelle et apportent des éléments nouveaux. Ils évoquent notamment le « zonex », récapitulatif militaire des événements survenus dans les « zones d’exercice » de la région.
Selon eux, « le zonex du 11 septembre 1968 indique sans aucune confusion possible des tirs » dans la zone entre 8 h 30 et 18 heures. Les auteurs dénoncent dans cette affaire le « désastre judiciaire » de l’enquête et de ses suites, affirmant notamment que trois témoignages (l’un faisant état d’une explosion, le deuxième d’un avion chasseur Mirage III, le troisième d’une « boule de feu ») n’ont pas été pris en compte. En outre, Verne et Clanet ont eu accès à une série de documents inédits de la marine, où plusieurs éléments les ont troublés : des mots rayés au stylo, des pages ou documents manquants, et notamment une page du journal de bord de la frégate lance-missiles Suffren présente sur les lieux. C’est la page du 11 septembre 1968 entre 6 heures et midi : la page a été arrachée et remplacée par une autre demi-page, collée à la place.
Secret d’Etat. 11 septembre 1968, le crash de la Caravelle Ajaccio-Nice, éd. Ramsay, 248 p., 17 euros.
Entretien - Mathieu Paoli, 64 ans, l’un des enfants de victimes
FRANCE-SOIR. Que souhaitez-vous, quarante ans après le drame ?
MATHIEU PAOLI. Ce que nous souhaitons, c’est que l’Etat sorte enfin de sa coquille. Les autorités nous ont ouvert des archives, mais il reste beaucoup de choses cachées. Les archives que nous avons consultées ne correspondent pas aux témoignages que nous possédons.
Quel est pour vous l’obstacle le plus difficile à surmonter, le secret défense ou le fait que l’affaire est prescrite ?
C’est la prescription, prononcée en 1983 et confirmée il y a deux ans par le procureur Eric de Montgolfier. L’armée veut bien nous ouvrir une partie de ses archives et lève en partie le secret défense, mais, quand nous apportons de nouveaux éléments ou témoignages, on nous oppose la prescription. Nos avocats vont encore travailler sur ce sujet.
Pensez-vous que le 40e anniversaire de la tragédie et la publication d’un livre feront bouger les choses ?
Oui, je pense. Nous espérons de nouveaux témoignages, notamment d’anciens militaires, qui à l’époque étaient tenus au silence, le chef des armées étant le général de Gaulle, chef de l’Etat. Et, à défaut d’avoir obtenu une entrevue avec le président Sarkozy, nous avons demandé à être reçus par Christian Estrosi, le député maire de Nice et président du conseil général, qui fut ministre récemment et a des relations.
Avez-vous le sentiment que les autorités ont tout fait pour connaître la vérité ?
Non, loin de là, et des choses restent cachées. Près de 9.000 photos ont été prises, et les familles des victimes n’en ont vu que très peu. En outre, le réacteur gauche, que nous pensons avoir été touché par un missile, est toujours à 2.300 mètres de fond. Aujourd’hui, avec l’Ifremer et les moyens modernes, on pourrait aller le chercher. On a bien réussi à remonter à la surface les petites cuillères du Titanic, on pourrait récupérer ce réacteur !
http://www.francesoir.fr/societe/2008/09/17/caravelle-du-vol-ajaccio-nice-l-autre-11-septembre.html
Messages
1. 11 settembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT, 23 septembre 2008, 08:19, par Abdel
Affaire à comparer utilement avec celle d’un avion italien, survenue au début des années 80.
1. 11 settembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT, 23 septembre 2008, 11:17
Enquête du 20h consacrée à ce brûlant sujet...
http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,4098317,00-l-enquete-est-relancee-quarante-ans-apres-le-crash-.html
2. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 23 septembre 2008, 11:49
La vérité est quelque part dans les films d’essai de missiles réalisés par la société fabricante : Nord Aviation
1. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 25 septembre 2008, 13:52, par Mathieu PAOLI
Bonjour,
Merci de vous intéresser à notre combat. Si vous avez des éléments complémentaires , merci de prendre contact avec moi.
bien cordialement,
Mathieu PAOLI
2. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 4 octobre 2008, 10:51, par Patrick33
J’ai lu avec attention le (seul) rapport officiel du BEA, je m’étonne que malgré un replacement moteur intervenu quelques jours avant l’accident, personne n’a émis d’hypothese concernant un probleme lie à la jonction mat moteur lors de la repose branchement elec, fuel, hydraulique...
Que sont devenus les morceaux remontés, surtout ce des cadres >50 ?
Cdlt
Patrick
3. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 28 novembre 2008, 17:18, par bernard
Monsieur
Je cherche à obtenir la liste des victimes du carsh de la carevelle Ajaccio - Nice.
Merci de m’indiquer comment l’obtenir
Meilleures salutations
Bernard
4. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 1er mars 2009, 22:50, par Amelia Giuliani
bonjour,
le but de ce message est de reprendre contacte avec Mr Paoli.
j’ais en effet quité la france depuis 8 mois, et je vis aujourd’hui en colombie, je suis la fille d’une des victimes de cet accident, Mr John Giuliani.
Merci de bien vouloir fair suivre ce message ainsi que mes coordonées internet, mon éloignement géographique ne m’eloigne pas de ce combat pour la vérité de ce qui a boulversé nos vies à jamais.
Bien cordialement,
Amelia Giuliani
Adresse E.mail:mamelia.santafe@hotmail.fr
5. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 6 mars 2009, 18:40, par Mieze olivier
monsieur je désirerai avoir la liste des personnes victimes de l accident d avion la liaison ajaccio /nice ayant de la famille qui a périt ce jour là je souhaiterai vous apporter ma modeste contribution . Veuillez s il vous plait et avec insistance répondre a ma requete voici ma boite mail oliviermieze@yahoo.fr
6. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 10 mai 2010, 21:24, par Marjorie
Bonjour,
Vous pouvez consulter la liste des victimes à la page 946 du JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE (14 décembre 1972). Ce document en format PDF se trouve sur le lien suivant :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_1611_Air_France
Cordialement,
Marjorie
7. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 11 mars 2011, 10:17, par PHILIPPE MARTINETTI
LISTE DES PASSAGERS ET EQUIPAGE SUR LE SITE
AJACCIO ART HISTOIRE CULTURE
PAGE AJACCIO ET ACCIDENT CARAVELLE
MERCI
8. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 18 mai 2011, 05:37
A cette époque, un voisin était électricien de bord sur un sous marin à Toulon.
A la suite de cet accident, tout l’équipage a été consigné pendant 15 jours.
Y a-t-il un lien ?
9. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 7 septembre 2015, 09:51, par cloarec raymond
mesieurs PAOLI mathieu et daniel
BONJOUR
je suis mon epouse et moi meme RAYMOND CLOAREC//AMIS DES PIMIENTA//dont QUI QUI
je viens tous les ANS a la stele et ASSISTE A LA MESSE AVANT// de st helene//J Y SERAI CETTE ANNEE AUSSI.
POUR VOTRE INFORMATION//
IL FAUT QUE VOUS SACHIEZ//que pour la premiere fois cette annee est organisee//LE 11 SEPTEMBRE//UNE MARCHE DU SOUVENIR//sur mon initiative et a la demande de nombreux marcheurs de la ville de nice//SENSIBILISES PAR LA CATASTROPHE DEPUIS TOUJOURS ?
DONC LE 11 SEPTEMBRE//nous effectuerons ?
/////////////////LA MARCHE DU SOUVENIR////////////////
DEPART //7 H OO DEVANT LA STELE//DIRECTION LE CAP D ANTIBES//
MINUTE DE SILENCE//AU CAP D ANTIBES//en face de l axe du lieu de la catastrophe//ET RETOUR POUR CEUX QUI LE VOUDRONT OU retour par le train
JE SOUHAITAI QUE VOUS EN SOYEZ INFORME AVANT DE VOUS SALUR ET DE VOUS LE DIRE DE VIVE VOIX LE 10 SEPTEMBRE //DEVANT LA STELE
SALUTATIONS ET
A BIENTOT
raymond cloarec
10. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 17 janvier 2016, 17:22, par Phare2labas
Bonjour,
Je suis à la recherche d’un membre de ma famille qui était steward pour Air France et qui serait décédé dans ce crash mais je n’ai aucune certitude. Comment puis-je trouver la liste des personnes décédées le 11 septembre 1968 ?
Par avance, merci pour votre aide.
Marie-Hélène
3. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 19 mai 2010, 17:47, par Jean-Guy CORLAY
A cette époque, je possèdais une imprimerie avec studio de dessin intègré,
13 place Maurice Marchais 56000 VANNES . L’imprimerie s’appelait " DEWATINE "
puis IMPRIMERIE de VANNES - Jean-Guy CORLAY SA. Un matin, j’ai reçu un client qui m’a entretenu pour un travail à un exemplaire, autrement dit, il désirait que ce fut secret.
Si mes souvenirs sont fidèles, il portait une casquette de marin. En quelques phrases il m’a expliqué ce qu’il désirait et si c’était dans mes compétences.
En gros il voulait que je lui dessine une forme ressemblant à un chalut de pêche, avec deux grosses roues métalliques, supportant et pouvant tirer un filet métallique clos. Je lui ai répondu que c’était possible, si il consentait à m’aider pour les détails. C’est à ce moment qu’il m’a dévoilé la finalité de sa commande : Récupérer au fond de la mer Méditerranée, tous les débris de la Caravelle. Il tenait à ce que les mailles du filet métallique fassent 50 mm. Il voulait surtout remonter à la surface un pistolet ou révolver, je ne m’en souviens plus.
Cet homme devait avoir dans les 50 ans, calme, et connaissait très bien son sujet. C’était sans doute un marin. Il n’était pas Vannetais.
Quand je lui ai posé la question rituelle du délai, il m’a répondu : je passe prendre le travail ce soir à 19h00.
Ii est venu, il a étudié mon travail,le style, les cotes. Il m’a dit OK. Il m’a payé. Je ne l’ai jamais revu. Je n’ai jamais su son nom ni son aresse, il m’a règlé en espèces.
Le temps s"est écoulé, j’ai cèdé et je suis à la retraite.
1. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 23 août 2011, 17:24, par MBDX33
Cher Jean Guy Corlay, je vous fais part d’un article , qui étaye vos dires concernant la chalut. Dans cet article on explique que deux navires câbliers ont participé aux recherches L’Ampère et le Marcel Bayard. Ce dernier batiment était basé à Brest. Vannes - Brest, ce n’est pas si loin, on reste en Bretagne. On peut tout imaginer, en particulier qu’un officier auquel on aurait demandé de mettre au point le chalut, veuille réaliser une esquisse avant et se soit tourné vers vous.
Cordialement.
4. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 10 mai 2011, 20:54, par Bambis
Le Commandant de Bord, Michel Salomon, était un membre de ma famille.
C’est un secret de polichinel le fait de cacher que la Caravelle a été victime d’un missile.
Personnellement, j’en ai eu confirmation, en 91. Lors d’une discussion avec le Commandant de l’avion qui m’avait amenée à La Guadeloupe, je dis que je connaissais bien le CDT. Ce dernier se retourne vers un collègue, beaucoup plus jeune, et lui dit "tu sais, la Caravelle descendue par le missile".
Donc, tout Air France au moins, le sait depuis des lustres.
1. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 22 juillet 2014, 18:13, par barberis
J’ai connu l’oncle de Michel SALOMON , c’était un professeur de Math à MENTON
il s’appelait Léon SALOMON et était originaire d’ARBOIS.
Pendant plusieurs années il a cherché à connaître la vérité sur ce crash et il était convaincu que c’était un tir de missile qui avait descendu cette caravelle. Il disait que l’accident avait eu lieu le jour où la base aéronavale de Fréjus faisait les tirs d’entrainement...
2. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 23 septembre 2016, 02:37, par Bambis
Olala, mon tonton Léon ! Oui, c’est bien lu, le frère de ma grand-mère ! Ah quel caractère !!!!Mon arrière grand-père était d’Arbois, et ma grand-mère habitait à Martigny, dans le 01, où il avait fait construire aussi
3. 11 septembre 1968 : Crash de la Caravelle AJACCIO-NICE, UN SECRET D’ETAT (video), 23 septembre 2016, 02:39, par Bambis
Martignat, près d’Oyonnax