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Appel de Syndicalistes pour la grève générale (CGT, de la FSU, de Solidaires, de la CDMT, de la CTU, du STC…)
Publie le mardi 21 septembre 2010 par Open-Publishing9 commentaires
Pour le retrait du projet de loi sur les retraites et pour nos revendications
Syndicalistes pour la grève générale

Syndicats de la CGT, de la FSU, de Solidaires, de la CNT, de la CDMT, de la CTU, du STC, …
Ensemble, nous construisons la grève générale pour le retrait du projet de loi sur les retraites !
Ensemble, pour un syndicalisme de lutte plus fort et plus efficace.
Le projet de loi sur les retraites est encore une preuve que la lutte des classes existe, et que la classe sociale qui n’est pas la nôtre la mène activement. Les annonces catastrophistes à coup de milliards qui manqueraient pour nos retraites ont pour seul but de masquer la réalité : patrons et gouvernement veulent nous faire travailler plus longtemps et nous payer moins, pour dégager encore plus de profits sur notre travail.
Pourtant, de l’argent il y en a … dans les poches du patronat et des actionnaires.
Sur seulement 3 ans, de 2007 à 2009 (année de crise !), les entreprises françaises du CAC 40 ont fait 212 milliards de bénéfice. En 2009, ces mêmes entreprises ont distribué 39 milliards d’euros à leurs actionnaires. Les « niches fiscales » réservées aux 1% les plus riches représentent 3 milliards par an, les cadeaux au patronat sous forme d’exonérations de charges sociales, 15 milliards chaque année.
Largement plus que les sommes, parfois fantaisistes, qu’on nous dit nécessaires dans 40 ans !
– Avant la fin du travail des enfants, les patrons expliquaient « ce n’est pas supportable économiquement, on ne peut pas ! ».
– Avant la journée de 8 heures, les patrons expliquaient « ce n’est pas supportable économiquement, on ne peut pas ! ».
– Avant les 40 heures, les patrons expliquaient « ce n’est pas supportable économiquement, on ne peut pas ! ».
– Avant les 35 heures, les patrons expliquaient « ce n’est pas supportable économiquement, on ne peut pas ! ».
– Avant la retraite à 65 ans, les patrons expliquaient « ce n’est pas supportable économiquement, on ne peut pas ! ».
– Avant la retraite à 60 ans, les patrons expliquaient « ce n’est pas supportable économiquement, on ne peut pas ! ».
Aujourd’hui, c’est pareil ! Mais le rapport de forces entre classes sociales étant ce qu’il est, gouvernement et patrons ne luttent plus contre la réduction du temps de travail mais pour le rallonger.
2 ans de plus pour avoir droit à la retraite, c’est comme nous reprendre 24 années de congés payés, comme s’il fallait les rembourser avant de partir en retraite !
Il faut arrêter ça ! Retrait du projet de loi, annulation des contre-réformes des retraites qui se succèdent depuis 1993, prise en compte des revendications syndicales sur les travaux pénibles et dangereux, l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, etc. Soyons à l’offensive ! Nous sommes légitimes à vouloir récupérer le fruit de notre travail, à vouloir en décider l’utilisation pour le bien être collectif.
Les journées de grève et manifestations interprofessionnelles de ces derniers mois, et aussi plusieurs luttes sectorielles, confirment que les travailleurs et travailleuses veulent se battre. L’expérience montre que face à des enjeux comme le projet de loi sur les retraites ou pour obtenir satisfaction sur nos revendications, la répétition de journées isolées ne permet pas de gagner.
En 2009, la grève générale a débouché sur des acquis en Guadeloupe et en Martinique.
En France, la même année, les journées d’action de janvier, mars, avril, mai n’ont rien donné et se sont terminées par une mobilisation affaiblie en juin. Tirons le bilan de nos expériences, ne recommençons pas la même chose en 2010. Mars, mai, juin, septembre, nous étions des millions dans la rue ; cela crée un rapport de forces, mais il faut maintenant l’utiliser, assumer l’affrontement social … c’est ce qui nous permettra de gagner.
Nos collectifs syndicaux CGT, FSU, Solidaires, CNT, CDMT, CTU, STC déclarent travailler ensemble à construire un mouvement d’ampleur, la grève générale pour le retrait de ce projet de loi sur les retraites et pour la satisfaction de nos revendications !
Au-delà de cet important enjeu, nos sections syndicales, syndicats, unions interprofessionnelles, fédérations, réfléchissent ensemble aux moyens à mettre en œuvre pour renforcer le syndicalisme de lutte : réunissons-nous à la base, dans les entreprises, les services, les villes … opposons-nous solidairement aux méfaits du patronat … échangeons sur nos pratiques … travaillons ensemble nos revendications … dégageons des axes revendicatifs précis et unifiants … faisons connaître les luttes …
Maintenant, il faut agir !
C’est au nom de « la crise » que gouvernement et patronat veulent nous imposer de nombreux reculs sociaux. Le projet de loi sur les retraites est l’attaque frontale et générale ; mais l’offensive patronale se traduit aussi par les licenciements, la précarité, les salaires bloqués, des conditions de travail exécrables, etc.
Mais cette crise, c’est celle de leur système économique : le capitalisme qui repose sur l’exploitation de la grande majorité (salarié-e-s en activité, au chômage, en retraite, en formation) par une minorité (patrons et actionnaires).Cette crise, c’est celle de leur système politique. Celui des services rendus contre quelques légions d’honneur, celui des conseils aux milliardaires pour se soustraire à la loi pendant qu’est prônée la « tolérance zéro » contre la délinquance, celui qui nie le droit à l’autodétermination des peuples, qui attise le racisme, les discriminations. Celui où la démocratie est remplacée par l’élection de politicien-ne-s professionnel-le-s qui considèrent n’avoir aucun compte à rendre de leur mandat.
Patronat, banques, institutions internationales (FMI, Banque mondiale, …) sont autant de relais du capitalisme engagé dans une offensive globale contre la classe ouvrière : destruction des services publics, gel ou baisse de salaires, démantèlement des garanties sociales, répression antisyndicale … les recettes du capitalisme sont internationales. Le syndicalisme doit aussi répondre à ce niveau, avec une détermination bien plus grande que cela ne se fait actuellement.
Syndicalistes, nous pensons que c’est l’action directe et collective des travailleurs et des travailleuses qui fait changer les choses. Notre démarche n’est pas proclamatoire mais soucieuse de construire la grève générale nécessaire. Il ne s’agit pas d’exiger des structures syndicales nationales d’agir en dehors des mandats décidés dans le cadre de leur fonctionnement interne.
Nous voulons :
– Rassembler, coordonner, les nombreux collectifs syndicaux de lutte. Pour cela nous appelons toutes les structures, tous les syndicalistes qui se reconnaissent dans cet appel à provoquer des réunions locales afin d’en faire l’outil d’un débat syndical renouvelé à la base.
– Unir nos efforts, entre sections syndicales, syndicats, unions interprofessionnelles, fédérations,
– Construire un réseau syndical utile à toutes celles et tous ceux qui veulent défendre et pratiquer un syndicalisme de lutte, un syndicalisme qui affirme que nos intérêts sont opposés à ceux de nos exploiteurs.
– Gagner sur les retraites !
Syndicats de la CGT, de la FSU, de Solidaires, de la CNT, de la Confédération démocratique martiniquaise des travailleurs (CDTM), de la Centrales des travailleurs unis (CTU) de Guadeloupe, du Syndicat des travailleurs corses (STC), …
Ensemble, nous construisons la grève générale pour le retrait du projet de loi sur les retraites !
Ensemble, pour un syndicalisme de lutte plus fort et plus efficace.
Premiers signataires :
Jean-Marc Angèle, secrétaire générale du syndicat unitaire du commerce CTU ;
Ali Bendris, délégué syndical SUD Energie CGT-E Dalkia ;
Didier Bernard, délégué syndical CGT et comité de lutte Continental Clairoix ;
Georges Berry, secrétaire général du Syndicat des Douanes CTU ;
Patycia Bogard, déléguée SUD Téléperformance Le Mans ;
Jean-Claude Briart, secrétaire syndicat CGT Bâtiment du Douaisis ;
Jean Brignole, secrétaire général STC ;
Marc Brunet membre de la CA du SNES-FSU Aix-Marseille (Emancipation) ;
Sébastien Chatillon, délégué syndical SUD-Rail Paris Sud-Est ;
Jacques Chibaudel, secrétaire STC Chemins de Fer Corses ;
Quentin Dauphiné, membre du Conseil National du SNES-FSU (Emancipation) ;
Jean-Pierre Delannoy, secrétaire régional CGT Métallurgie Nord Pas de Calais ;
Nadine Déon, délégué départementale Solidaires Doubs ;
Etienne Deschamps, juriste de la CNT nettoyage de la région parisienne ;
Pascal Devernay, délégué départemental Solidaires Seine maritime ;
Martine Donio, déléguée syndicale SUD PTT Solidaires Puy de dôme ;
Jean Luc Dupriez secrétaire Union Locale CGT Nérac ;
Vincent Duse, militant CGT Peugeot Mulhouse ;
Michel Fabre, délégué CDMT ;
Emile Fabrol, délégué CGT Services publics Seine St-Denis ;
Jean-Mathias Fleury, membre de la CA nationale du SNES-FSU (Emancipation) ;
Didier Fontaine, délégué départemental Solidaires Paris ;
Jean-Louis Frisulli, délégué départemental Solidaires Seine St Denis ;
Manu Georget, secrétaire du syndicat CGT Philips EGP Dreux ;
Julien Gonthier, délégué SUD ISS-LP Solidaires Industrie ;
Eddy Guilain, délégué CGT St Gobain Securit Aniche ;
Jérôme Guilain, secrétaire Union Locale CGT Douai ;
Yves Juin, délégué CGT territoriaux Rennes ;
Bettina Larry, secrétaire du CE Banque populaires Caisse d’Epargne Ile-de-France, SUD BPCE ;
Christophe Laventure, délégué régional SUD Culture Solidaires Basse-Normandie ;
Nicols Lefebvre, UGICT-CGT Ville de Paris ;
Patrice Le Formal, élu CGT Comité d’Entreprise SBFM (Lorient) ;
Mael Le Goff, Délégué du personnel SBFM (Lorient) ;
Pierre Le Méhanès, secrétaire général syndicat CGT SBFM (Lorient) ;
Jean-Yves Lesage, délégué syndical CGT imprimerie Desfossés 93 ;
Olivier Lorreyte, SUD Education Angers ;
Xavier Mathieu, délégué CGT et comité de lutte Continental Clairoix ;
Frédéric Michel, Solidaires Bouche du Rhône ;
Pascale Montel, secrétaire syndicat CGT Métallurgie Flandres Douaisis Dunkerquois ;
Patricia Morlans, déléguée départementale Solidaires Haute-Garonne ;
Alain Mosconi, secrétaire national STC ;
Philippe Najewalek, secrétaire général Union Locale CGT Douai ;
Nathalie Neil-Riou, memebre de l’Union fédérale ICT Métallurgie CGT (Philips Dreux) ;
James Perus, secrétaire général syndicat CGT Métallurgie du Douaisis ;
Dany Perutin, secrétaire général CDMT ;
Hervé Pinto, secrétaire général CDMT Poste ;
Alain Plaisir, membre du Conseil Central Syndical CTU ;
Cristian Popescu, délégué syndical Solidaires Prévention/Sécurité ;
Guy Pottiez, secrétaire général syndicat CGT Renault Douai ;
Pascal Poyen, délégué départemental Solidaires Saône et Loire ;
Frank Raymon, secrétaire général en charge des secteurs Commerce-Energie-Industrie CDMT ;
Théo Roumier, délégué départemental Solidaires Loiret ;
Secrétariat confédéral CNT ;
Julien Sergère, délégué CGT Educ’action 94 ;
Eric Sionneau, délégué départemental Solidaires Indre et Loire ;
Pierre Stambul, élu au CDFN FSU, SNES-FSU (Emancipation) ;
Djiby Sy, secrétaire syndicat SUD Solidaires Bâtiment Travaux Publics ;
Magali Villegier, délégué CGT cheminots Annecy ;
Olivier Vinay, membre de la CA nationale du SNES-FSU et du BDFN de la FSU (Emancipation) ;
Franck Wangoothem, délégué syndical CGT Philips Dreux ;
Philippe Wullens, secrétaire du syndicat SUD Chimie Total Dunkerque ;
Olivier Youinou, délégué SUD Santé-Sociaux Hôpital Mondor Créteil
Pour signer : www.syndicalistesunitaires.org
Contacts : contacts@syndicalistesunitaires.com
Messages
1. Appel de Syndicalistes pour la grève générale (CGT, de la FSU, de Solidaires, de la CDMT, de la CTU, du STC, …, 21 septembre 2010, 12:55
LE tract en pdf est ici
http://syndicalistesunitaires.org/IMG/pdf/2010_-_9_-_20_-_Appel_Syndicalistes_Unitaires.pdf
2. Appel de Syndicalistes pour la grève générale (CGT, de la FSU, de Solidaires, de la CDMT, de la CTU, du STC, …, 21 septembre 2010, 16:06
Pourtant, vous confondez toujours " Aller à... " ( voire " Rentrer dans... ou dedans ? ) avec " aller vers... " ; Voir le trajet de la manif du 23/09/2010, dans le tract des Orgas ; Ils indiquent comme point d’arrivée de la Manif : " En direction du Medef "... où sont garés les Bus ???
3. Syndicalistes pour la grève générale (Appel), 21 septembre 2010, 22:15, par Sergio
Et après ?
4. Syndicalistes pour la grève générale (Appel), 21 septembre 2010, 22:31
Sans préjuger de la valeur des uns ni des autres, ni même engager de débat de fond sur le texte, mais, puisque ce texte est publié ici et est destiné à être lu, commenté, voire,qu’on nous demande de signer, deux (premières) questions me taraudent à la lecture de ce texte :
– les signataires s’expriment-ils en leur nom propre et à titre individuel, ou sont-ils mandatés par leur syndicat/section syndicale/ UL ?
– les signataires, tous syndicalistes à ce que je vois, dont beaucoup ayant certaines responsabilités, ont-ils d’ores et déjà enclenché le mouvement de grève générale et reconductible au sein de leur lieu de travail ?
Merci des précisions éventuelles (pour qu’on sache où on va avec ce texte, ce qui, en la période actuelle, me semble un minimum)
1. Syndicalistes pour la grève générale (Appel), 22 septembre 2010, 10:33, par jean valjan
poser ces questions c’est y répondre ! il manque des signatures de grandes fédérations comme celle de la chimie CGT qui appelle aussi celle des fonctionnaires qui appelle a une reconductible, préavis déposé pour le 24 jusu’au 29 ,sud Rail qui appelle de la même manière etc on ne sait pas tout encore
2. Syndicalistes pour la grève générale (Appel), 22 septembre 2010, 10:34, par jean valjan
BRETAGNE MORBIHAN 23 SEPTEMBRE ET COMITE DE GREVE !
Sarkozy , Fillon et l’UMP ne veulent rien entendre ! Toujours plus nombreux, ça ne leur suffit pas, alors, montons en puissance, montrons- leur que nous sommes déterminés :
le 21 Septembre : distribution de tracts sur LORIENT ( RDV devant l’UL Lorient à 7h15 )
En plus de la manif intersyndicale du 23 septembre ( 10h maison des syndicats ) le 23 septembre, l’Union Locale CGT de Lanester Hennebont et sa région donne RDV à ses syndicats et à tout ceux qui veulent agir et se faire entendre plus fort : -le matin à 6h45 au rond point de lann Sevelin
l’après midi sur le parking de la SBFM à 13h45 . Par ailleurs, le Comité de grève se réunira à l’UL de lanester le même jour à 17h Le succès de cette journée d’actions dépend de chacun d’entre nous ! Salariés, Retraités, Chômeurs, Jeunes, ensemble et dans la lutte, faisons de cette journée de grève et d’actions une journée dont Sarkozy et l’UMP se souviendront !
3. Syndicalistes pour la grève générale (Appel), 22 septembre 2010, 14:10
Ne dévie pas ma question stp et arrête de tortiller.
Mosconi, par exemple, il signe tout seul ou pour le STC ?
Si c’est tout seul,et pas pour son syndicat, pourquoi ?
Les DS, les DP, les élus Ce, les gégénes, ils signent sans leur UL/ section et/ou leur syndicat de base ? Pourquoi ?
Il y a un VRAI problème de démocratie syndicale à la base là, alors ne faites pas comme ceux que nous combattons, et commencez par appliquer ce que vous prônez, camarades. Sinon vous donnez du grain à moudre et à la CFDT et à ce à quoi on prétend s’opposer en interne (c à d les soces dém, en gros).
Perso, quand je signe un "appel commun" à qque chose, ou un texte, ou que j’ai un truc à dder à ma fédé par rapport à la branche, à la profession, je consulte mes camarades, je mets la question à l’ordre du jour, on débat, et on vote , j’ai un mandat pour signer au nom de "ma" structure ou pas.
Si j’ai pas de mandat, bien sur je peux signer à titre individuel, mais alors bonjour l’aveu de faiblesse !!!!! ça veut dire deux choses : que je n’ai pas réussi à convaincre la majorité de la structure que je représente, et alors deuxième question : je ne suis plus "en phase" avec la majorité de la structure que je représente, donc quelle est ma légitimité ?
Donc désolée camarades, moi ce genre d’appels, de ce seul point de vue, ça ne me va pas.
En plus je ne comprends pas pour quoi c’est faire ni à qui ça s’adresse.
Moi si j’ai un pb avec ma fédé mon UL ou mon UD, c’est pas comme ça que j’essaie de le régler.
Notre action ça doit être une action collective, "de masse" comme on dit. Si on n’y arrive pas il faut d’abord se remettre en question soi même et aussi "avaler" le fait que parfois, sans sombrer non plus dans l’accompagnement du réformisme du "troupeau" ni oublier ce que c’est qu’un travail de classe, être "trois pas" devant les masses c’est gratifiant pour l’ego, mais un peu loin et voué à l’échec.
Et je ne justifie nullement le comportement de certains organes de la direction nationale (pour la CGT, notamment le bureau confédéral) ni que j’approuve ou valide les décisions prises depuis 3 ans dans les orientations des luttes.
LL
5. Syndicalistes pour la grève générale (Appel), 22 septembre 2010, 13:29, par mn cheville cgt chu clermont-ferrand
votre appel interpelle, mais pouvez dire clairement ce que signifie cette phrase de votre appel :
" il ne s’agit pas d’exiger des structures syndicales nationales d’agir en dehors des mandats décidés dans le cadre de leur fonctionnement interne" ???
6. Syndicalistes pour la grève générale (Appel), 22 septembre 2010, 14:15
Autre question, parce que je ne connais pas ce syndicat : chez SUD, c’est quoi un "délégué départemental" ? C’est ll’équivalent d’un "secrétaire d’UD" à la CGT ? C’est élu ou désigné comment ? ça a quels rapports avec la base ? Question pour apprendre hein, sans méchanceté. pour comprendre.