Accueil > Chéreque : je me couche
Chereque parle de marges de manœuvre. C’est le retrait qui est exigé par les salariés.
Il peut se préparer et préparer le terrain à ses futures trahisons, il en a l’habitude. Il est passé maitre en la matière. Mais le mouvement est en train de se lancer localement avec beaucoup de courage des vrais intéressés..
Une nouvelle trahison de sa part et de celle d’autres "leaders" nationaux sera plus difficile cette fois. Il nous faut nourrir la même détermination que celle qui les anime dans leur renoncement. Le courage contre leur lâcheté !
Envoyons le dans les poubelles de l’histoire.
AVANTI !
"Entre quelques jours de gréve et deux ans de notre vie, il faut choisir".
Messages
1. Chéreque : je me couche., 1er octobre 2010, 10:43, par Mengneau Michel
C’est pas qu’il se couche, c’est qu’il ne s’est pas levé pour defendre les travailleurs...
Il avait accepté d’entrée en faisant cependant un peu de bruit pour faire remarquer qu’il était là, ça lui permettait de rester couché en disant : "Je m’occupe de vous !".
2. Chéreque : je me couche., 1er octobre 2010, 11:42, par Droldidé
Chérèque n’a d’autre choix que de s’opposer à cette réforme. D’une part à cause du mépris que Naposarko lui affiche ouvertement. D’autre part s’il veut que la CFDT reste crédible aux yeux des travailleurs en général et de ses militants et adhérents en particulier.
Mais dans cette affaire ceux qui tirent les ficelles sont bien loin de l’exagone (même si les exécutants locaux le font avec plaisir et conviction). La manipulation est faite par le bras armé du capitalisme mondial, l’agence de notation telle que Moody’s qui fait pression sur les gouvernements acquis aux "vertus" du libéralisme. En dévaluant ou en menaçant de dévaluer ses notes elle mène la danse à sa guise. Les gouvernements, pour satisfaire Moody’s grignotent un peu plus le contrat social les liant au peuple. D’où les réformes désengageant les états du soutien à ses citoyens actuellement en cours partout en Europe.
Les capitalistes disposent d’une infrastructure monstrueuse, vicelarde et malheureusement bien rodée.
Reste au peuple, soit le renoncement, soit la rebellion.
...On verra le 2 octobre !!!