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ClimateGate

Publie le mercredi 2 décembre 2009 par Open-Publishing
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Alors que la conférence de Copenhague sur le climat se rapproche, un débat qui prend les dimensions d’un scandale scientifique se développe en Grande Bretagne et aux Etats-Unis tandis que les médias français sont globalement muets sur le sujet.

Des milliers de mails d’un grand centre de recherche climatique britannique (CRU) groupant des chercheurs clés du GIEC ont été piratés et rendus accessibles à tous ( http://www.eastangliaemails.com/index.php ).

Ils révèlent des falsifications de données destinées à obtenir les résultats souhaités , des manipulations destinées à empêcher des chercheurs de publier, voire à les faire chasser de l’université, ... Bref à distordre les faits au profit d’"Une vérité qui dérange" : celle qui rend l’homme et le CO2 soi-disant responsables du réchauffement climatique.

Phil Jones, responsable du CRU, auteur de mails révélateurs, protagoniste principal du ClimateGate a démissionné temporairement le temps de permettre à une enquête indépendante de faire la lumière sur les faits incriminés ( http://www.ajc.com/news/nation-world/uk-climate-scientist-to-221080.html ).

Si ceux-ci venaient à être confirmés, mais de nombreux mails parlent d’eux-mêmes ( http://skyfal.free.fr/?p=422 ), ce serait "Le pire scandale scientifique de notre ère" ( http://www.alterinfo.net/Changement-climatique-voila-le-pire-scandale-scientifique-de-notre-ere_a39904.html ).

La propagande généralisée sur réchauffement climatique anthropique (RCA) deviendrait alors un équivalent occidental de l’affaire Lyssenko, mettant en évidence une nouvelle fois, crise au beau milieu de la crise, la corruption galopante du système politico-médiatique capitaliste ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Trofim_Denissovitch_Lyssenko ).

Les mesures préconisées par les verts radicaux adeptes du RCA, dont le financement est fabuleux (100 milliards par an), constitueraient, plus qu’une escroquerie, un quasi crime contre l’humanité au regard du montant deux fois moins important (50 milliard par an) qui suffirait à résoudre les problèmes de base de l’humanité : alimentation accès à l’eau potable, soins de base, éducation, ... pour tous.

Rappelons qu’un milliard d’habitants de la terre souffre de la faim et que 6 millions d’enfants - une shoa par an dont (bizarrement ???) on parle (1) nettement moins que de l’autre - meurent de faim, de manque d’eau potable, de manque de soins.

Il est clair en effet que si 100 milliards sont mobilisés et en grande partie pour des projets pharaoniques inutiles (enfouissement du CO2 par exemple) sur la base d’informations erronées prétendument scientifiques cela se fera au détriment des projets indispensables, prioritaires pour l’amélioration du sort des habitants les plus défavorisés de la planète.

(1) (notamment nos bons ex nouveaux "philosophes" médiatiques)

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