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Deux des plus actifs ennemis du Commerce d’armes illégal, étaient dans le « Vol AF 447 »

Publie le mercredi 10 juin 2009 par Open-Publishing
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Deux des plus actifs ennemis du Commerce d’armes illégal, étaient dans le « Vol AF 447 »

D’après un rapport complémentaire, dans le crash du « Vol Air France 447 » deux des plus éminents ennemis du commerce d’arme international illégal et du trafic de drogue ont péri.

Dans une révélation qui va certainement attiser les « Théories du Complot », sur la perte de l’aéronef, le rapport révèle que deux personnages clefs dans la lutte internationale sans fin contre le trafic d’armes et de drogues ont péri lorsque l’avion a brutalement chuté.

Tous deux étaient particulièrement actifs dans leurs efforts pour contrer le commerce illégal des armes en Amérique du Sud.

Un Argentin de 39 ans, Pablo Dreyfus, était considéré comme une pièce maîtresse dans la lutte des Autorités brésiliennes pour stopper le trafic d’armes et de drogue des gangs de Rio. Il était consultant pour « Small Arms Survey », un « think-thank » localisé à Genève.

L’autre consultant de « Small Arms Survey », Ronald Dreyer un diplomate suisse qui est aussi décédé dans le crash, était Coordinateur de la « Déclaration de Genève sur la Violence armée » et travaillait avec des Missions de l’ONU à El Salvador, au Mozambique, en Azerbaïdjan, au Kosovo, et en Angola., selon ce qu’à déclaré « Scotland Yard » au « Sunday Herald ».

« The Survey » déclare sur son Site Web que Dreyer était en passe de mobiliser plus de 100 pays pour la cause du Développement et du Désarmement.

La suite en anglais sur :
http://iraqwar.mirror-world.ru/arti...

Ou sur :
http://rawstory.com/08/news/2009/06...

Bon c’est vrai que cette histoire de « Tubes de Pitot » qui foutent en l’air un Airbus c’est bizarre. Y a quand même d’autres moyens maintenant sur un avion de connaître sa vitesse ; dont le GPS, même s’il ne donne que la « vitesse sol » et pas la « vitesse air ».

Faire « décrocher » un Airbus, en chute libre de 10 000 mètres alors qu’il a des systèmes automatiques de volets hypersustentateurs, et des avertisseurs de décrochage, il me semble que c’est un peu tiré par les cheveux.

Même sur un Monomoteur Robin DR 400, ou un Morane, dès la vitesse critique de décrochage atteinte les volets Fowler s’ouvrent automatiquement et les alarmes sonnent. Et ça n’est pas les capteurs « de Pitot » qui déclenchent, ni le pilote, mais l’angle d’incidence de l’écoulement laminaire qui fait ouvrir les volets hypersustentateurs.

J’aimerai bien avoir l’avis d’un pilote de ligne sur le sujet.

Traduct Gilong.

G.L.

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